Depuis des jours, des bruits de couloirs, filtrés au Golf hôtel, font dire que les nouvelles autorités légales et légitimes caressent le désir de réorganiser les festivités de la célébration du cinquantenaire ivoirien. Déjà, les différents acteurs culturels se pourlèchent les babines et piaffent d’impatience, parce que, selon eux, cette période permettra de faire de bonnes affaires.
Coulisses Publié le jeudi 5 mai 2011 | L’intelligent d’Abidjan