La Côte d`Ivoire doit au président burkinabè Blaise Compaoré, qui fut facilitateur dans la crise dans ce pays, "l`aboutissement" de son processus électoral, a affirmé lundi le président ivoirien Alassane Ouattara, en visite d`une journée au Burkina Faso.
"Je suis à Ouagadougou pour mon voir mon frère et ami le président Blaise Compaoré, pour le saluer pour tout ce qu`il a fait pour nous, Ivoiriens, à l`occasion de ces difficultés que nous avons vécues ces dernières années", a déclaré M. Ouattara à la presse à son arrivée.
S`adressant à M. Compaoré, il a poursuivi: "Je voudrais vous saluer non seulement pour votre contribution mais surtout pour votre grande patience parce que je suis bien placé, avec" l`ancien "président Henri Konan" Bédié "et le Premier ministre Guillaume Soro, pour savoir que ce n`était pas tâche facile".
"Vous avez discrètement mais fermement contribué à faire en sorte que nous puissions arriver à des élections démocratiques et transparentes" en novembre dernier, "je pense très sincèrement que nous vous devons l`aboutissement de ce processus électoral", a-t-il ajouté.
En 2007, M. Compaoré était devenu contre toute attente "facilitateur" dans la crise ivoirienne après avoir été accusé par les partisans de Laurent Gbagbo, alors au pouvoir, d`être le parrain de la rébellion politico-militaire de 2002 qui a divisé la Côte d`Ivoire.
Les négociations avaient abouti à la signature en mars 2007 de "l`accord de Ouagadougou" par les camps du président aujourd`hui déchu Laurent Gbagbo et de Guillaume Soro, alors chef de la rébellion.
"Tout le monde connaît la place de l`accord de Ouagadougou dans le processus de paix (et) le processus électoral en Côte d`Ivoire", a affirmé Alassane Ouattara, exhortant M. Compaoré à demeurer aux côtés des Ivoiriens.
"Nous n`avons pas terminé la mission que nous nous sommes assignée ensemble. Dans les mois à venir, nous aurons des élections législatives", a-t-il souligné.
"Je suis à Ouagadougou pour mon voir mon frère et ami le président Blaise Compaoré, pour le saluer pour tout ce qu`il a fait pour nous, Ivoiriens, à l`occasion de ces difficultés que nous avons vécues ces dernières années", a déclaré M. Ouattara à la presse à son arrivée.
S`adressant à M. Compaoré, il a poursuivi: "Je voudrais vous saluer non seulement pour votre contribution mais surtout pour votre grande patience parce que je suis bien placé, avec" l`ancien "président Henri Konan" Bédié "et le Premier ministre Guillaume Soro, pour savoir que ce n`était pas tâche facile".
"Vous avez discrètement mais fermement contribué à faire en sorte que nous puissions arriver à des élections démocratiques et transparentes" en novembre dernier, "je pense très sincèrement que nous vous devons l`aboutissement de ce processus électoral", a-t-il ajouté.
En 2007, M. Compaoré était devenu contre toute attente "facilitateur" dans la crise ivoirienne après avoir été accusé par les partisans de Laurent Gbagbo, alors au pouvoir, d`être le parrain de la rébellion politico-militaire de 2002 qui a divisé la Côte d`Ivoire.
Les négociations avaient abouti à la signature en mars 2007 de "l`accord de Ouagadougou" par les camps du président aujourd`hui déchu Laurent Gbagbo et de Guillaume Soro, alors chef de la rébellion.
"Tout le monde connaît la place de l`accord de Ouagadougou dans le processus de paix (et) le processus électoral en Côte d`Ivoire", a affirmé Alassane Ouattara, exhortant M. Compaoré à demeurer aux côtés des Ivoiriens.
"Nous n`avons pas terminé la mission que nous nous sommes assignée ensemble. Dans les mois à venir, nous aurons des élections législatives", a-t-il souligné.