« Excellences Mesdames les Premières Dames,
Monsieur le Directeur exécutif du Fonds Mondial de lutte contre le SIDA, la Tuberculose et le Paludisme,
Monsieur le Directeur exécutif de l’ONUSIDA,
Distingués invités,
Tout d’abord je voudrais remercier particulièrement la Première Dame de France, Madame Carla Sarkozy, de m’avoir associée à ce déjeuner de travail à l’occasion du G8. Cette initiative fait honneur et fierté à la Côte d’Ivoire. Après plusieurs années de crise, la Côte d’Ivoire entame une phase nouvelle avec la conviction que la stabilité et la démocratie vont lui permettre de réaliser des progrès significatifs, surtout dans le domaine de la santé.
Mesdames et Messieurs,
Quelle est la situation des femmes et des enfants face au VIH/SIDA en Côte d’Ivoire ?
Dans notre pays, le taux de prévalence national selon la dernière enquête effectuée par le Ministère de la Santé est de 4,7 %. Par ailleurs, sur un million (1.000.000) de femmes enceintes chaque année en Côte d’Ivoire, cinquante mille femmes (50.000) sont séropositives.Pour y remédier, la Côte d’Ivoire veut faire sienne la vision d’une « nouvelle génération sans SIDA » et tout mettre en œuvre pour :
- renforcer le système de santé par une nette amélioration de l’accès aux soins ;
- multiplier les centres de dépistage précoce dès la naissance de l’enfant
- conseiller et promouvoir le dépistage systématique chez les femmes enceintes,
- et enfin augmenter les ressources financières allouées à la protection maternelle.
Mesdames et Messieurs,
Pour conclure, je voudrais prendre l’engagement d’œuvrer personnellement à soutenir toutes les initiatives et programmes de lutte contre le VIH/SIDA particulièrement chez la mère et l’enfant. Et pour terminer mon propos, je souhaiterais réitérer mes encouragements à l’endroit de l’ONUSIDA pour son engagement quotidien et mon admiration envers toutes les Premières Dames qui œuvrent déjà dans ce sens.
Je vous remercie. »
Source : Service Communication Première Dame
Monsieur le Directeur exécutif du Fonds Mondial de lutte contre le SIDA, la Tuberculose et le Paludisme,
Monsieur le Directeur exécutif de l’ONUSIDA,
Distingués invités,
Tout d’abord je voudrais remercier particulièrement la Première Dame de France, Madame Carla Sarkozy, de m’avoir associée à ce déjeuner de travail à l’occasion du G8. Cette initiative fait honneur et fierté à la Côte d’Ivoire. Après plusieurs années de crise, la Côte d’Ivoire entame une phase nouvelle avec la conviction que la stabilité et la démocratie vont lui permettre de réaliser des progrès significatifs, surtout dans le domaine de la santé.
Mesdames et Messieurs,
Quelle est la situation des femmes et des enfants face au VIH/SIDA en Côte d’Ivoire ?
Dans notre pays, le taux de prévalence national selon la dernière enquête effectuée par le Ministère de la Santé est de 4,7 %. Par ailleurs, sur un million (1.000.000) de femmes enceintes chaque année en Côte d’Ivoire, cinquante mille femmes (50.000) sont séropositives.Pour y remédier, la Côte d’Ivoire veut faire sienne la vision d’une « nouvelle génération sans SIDA » et tout mettre en œuvre pour :
- renforcer le système de santé par une nette amélioration de l’accès aux soins ;
- multiplier les centres de dépistage précoce dès la naissance de l’enfant
- conseiller et promouvoir le dépistage systématique chez les femmes enceintes,
- et enfin augmenter les ressources financières allouées à la protection maternelle.
Mesdames et Messieurs,
Pour conclure, je voudrais prendre l’engagement d’œuvrer personnellement à soutenir toutes les initiatives et programmes de lutte contre le VIH/SIDA particulièrement chez la mère et l’enfant. Et pour terminer mon propos, je souhaiterais réitérer mes encouragements à l’endroit de l’ONUSIDA pour son engagement quotidien et mon admiration envers toutes les Premières Dames qui œuvrent déjà dans ce sens.
Je vous remercie. »
Source : Service Communication Première Dame