Les Chefs des Missions de paix des Nations Unies en Afrique de l`Ouest se sont félicités samedi à Dakar, du dénouement de la crise postélectorale ivoirienne. Ils ont également salué l`évolution positive de la situation politique dans ce pays marquée notamment par l`investiture du président, Alassane Ouattara, en présence de plusieurs personnalités, y compris le Secrétaire général des Nations Unies.
Au cours de leur 21è réunion de concertation de Haut niveau, les Représentants spéciaux du Secrétaire général des Nations Unies pour le Libéria, pour la Guinée Bissau, pour l`Afrique de l`Ouest et le Représentant exécutif du Secrétaire général pour la Sierra Léone, ont été informés des nouveaux chantiers en Côte d`Ivoire par le Chef de l`Opération des Nations Unies dans ce pays, YJ Choi.
M. Choi a mis en exergue les défis en matière de sécurité, d`assistance humanitaire, de respect des droits de l`homme et de réconciliation nationale, ainsi que la tenue des élections législatives. Après cet exposé, les Chefs de Mission ont réitéré la disponibilité de l`ONU à aider le peuple ivoirien, en vue de retrouver une paix définitive, préalable à un développement économique harmonieux.
Les Chefs des Missions de paix ont tenu à exprimer leurs vives préoccupations par rapport à l`impact de la crise ivoirienne dans la sous-région et notamment au Libéria.
Selon les chiffres du Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR), 180.000 réfugiés ivoiriens auraient traversé la frontière depuis le début de la crise et continuent d`y affluer. De plus, les rapports font état de mouvements de présumés combattants ivoiriens à la frontière et du retour des mercenaires libériens.
Dans leur appréciation générale de la situation en Afrique de l`Ouest, les participants ont souligné l`organisation d`élections jugées crédibles et transparentes au Bénin, au Cap-Vert, au Niger et au Nigéria. Selon eux, le bon déroulement de ces processus électoraux témoigne des avancées démocratiques dans la sous-région.
Les Chefs de Mission, au cours de leurs débats, ont mis en exergue le danger sécuritaire que constitue le trafic de drogue ainsi que ses conséquences pour la stabilité des pays de la sous-région. Ils ont insisté sur la nécessité de trouver les voies et moyens de combattre ce phénomène transfrontalier.
Source: ONUCI
Au cours de leur 21è réunion de concertation de Haut niveau, les Représentants spéciaux du Secrétaire général des Nations Unies pour le Libéria, pour la Guinée Bissau, pour l`Afrique de l`Ouest et le Représentant exécutif du Secrétaire général pour la Sierra Léone, ont été informés des nouveaux chantiers en Côte d`Ivoire par le Chef de l`Opération des Nations Unies dans ce pays, YJ Choi.
M. Choi a mis en exergue les défis en matière de sécurité, d`assistance humanitaire, de respect des droits de l`homme et de réconciliation nationale, ainsi que la tenue des élections législatives. Après cet exposé, les Chefs de Mission ont réitéré la disponibilité de l`ONU à aider le peuple ivoirien, en vue de retrouver une paix définitive, préalable à un développement économique harmonieux.
Les Chefs des Missions de paix ont tenu à exprimer leurs vives préoccupations par rapport à l`impact de la crise ivoirienne dans la sous-région et notamment au Libéria.
Selon les chiffres du Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR), 180.000 réfugiés ivoiriens auraient traversé la frontière depuis le début de la crise et continuent d`y affluer. De plus, les rapports font état de mouvements de présumés combattants ivoiriens à la frontière et du retour des mercenaires libériens.
Dans leur appréciation générale de la situation en Afrique de l`Ouest, les participants ont souligné l`organisation d`élections jugées crédibles et transparentes au Bénin, au Cap-Vert, au Niger et au Nigéria. Selon eux, le bon déroulement de ces processus électoraux témoigne des avancées démocratiques dans la sous-région.
Les Chefs de Mission, au cours de leurs débats, ont mis en exergue le danger sécuritaire que constitue le trafic de drogue ainsi que ses conséquences pour la stabilité des pays de la sous-région. Ils ont insisté sur la nécessité de trouver les voies et moyens de combattre ce phénomène transfrontalier.
Source: ONUCI