Le budget de finances de 2011 est connu, depuis le
mercredi 22 juin. Il est estimé à 3050,4 milliards de
FCFA. En hausse de 5,3% (soit 153 milliards de FCFA
par rapport à celui de 2010), celui-ci ne prend en
compte que la période du 26 avril 2011. La particularité
de ce budget, est qu’il est axé sur des actions dites
prioritaires. A travers ce budget, le gouvernement
Ouattara entend remettre la Côte d’Ivoire au travail et
donner un sens de vie à chacun.
Donner un sens de vie aux Ivoiriens, cela implique
beaucoup de sacrifices. Et le Président Alassane
Ouattara en est la solution. Le budget de finances
communiqué le mercredi, en conseil des ministres,
résume tout. En priorité, le chef de l’Etat veut restituer
aux Ivoiriens ce pour lequel, ils ont consenti des
sacrifices énormes, à savoir le PPTE (initiative pour la
réduction de la dette des pays pauvres très endettés).
A ce niveau, il a consacré 42% du budget, au service de
la dette, soit près de 1282 milliards de FCFA. C’est une
obligation pour lui, dans le cadre des mesures devant
conduire à l’atteinte du PPTE. Dans ses priorités, le
Président de la République entend répondre aux
exigences de la reconstruction du pays, qui doit
nécessairement passer par la remise en l’état des outils
de production, à travers ceux des entreprises. Les
actions de l’Etat en faveur des secteurs productifs
(entreprises), se résument en appui, sous forme de
facilité fiscale et d’apurement des arriérés intérieurs.
Au titre des investissements, la part prévue dans le
budget de finances, et estimée à 340 milliards de FCFA,
(soit 11,2% du budget de finances), passera à 500
milliards de FCFA, à la demande du chef de l’Etat. Le
Président de la République entend, à travers cette
enveloppe, lutter contre la pauvreté, et surtout contre
le chômage. Son souci est d’aider les entreprises du
secteur privé à l’aider, à occuper une partie de la
jeunesse, jusque-là sans emploi et qui constitue de
façon permanente un danger pour la société et pour la
vie de la nation. Toujours en réponse aux bailleurs de
fonds, et aussi dans le cadre des actions prioritaires, le
budget de finances prévoit au titre des dépenses pro-
pauvres, une enveloppe de 840 milliards de FCFA. Celle-
ci prend en compte, le développement rural, la
construction d’infrastructures de base, l’éducation, la
santé. Ladite enveloppe participe de l’amélioration de
l’accessibilité des populations, à l’eau potable et à
l’électricité. Outre ces priorités, le chef de l’Exécutif
ivoirien a à cœur de créer les conditions de créations
d’emplois. Cela passe, par une normalisation de la
situation sociopolitique, à travers la consolidation de la
paix sociale, le renforcement de la sécurité des
personnes et des biens. Toutes ces actions ont donc
des coûts.
Honoré Kouassi
mercredi 22 juin. Il est estimé à 3050,4 milliards de
FCFA. En hausse de 5,3% (soit 153 milliards de FCFA
par rapport à celui de 2010), celui-ci ne prend en
compte que la période du 26 avril 2011. La particularité
de ce budget, est qu’il est axé sur des actions dites
prioritaires. A travers ce budget, le gouvernement
Ouattara entend remettre la Côte d’Ivoire au travail et
donner un sens de vie à chacun.
Donner un sens de vie aux Ivoiriens, cela implique
beaucoup de sacrifices. Et le Président Alassane
Ouattara en est la solution. Le budget de finances
communiqué le mercredi, en conseil des ministres,
résume tout. En priorité, le chef de l’Etat veut restituer
aux Ivoiriens ce pour lequel, ils ont consenti des
sacrifices énormes, à savoir le PPTE (initiative pour la
réduction de la dette des pays pauvres très endettés).
A ce niveau, il a consacré 42% du budget, au service de
la dette, soit près de 1282 milliards de FCFA. C’est une
obligation pour lui, dans le cadre des mesures devant
conduire à l’atteinte du PPTE. Dans ses priorités, le
Président de la République entend répondre aux
exigences de la reconstruction du pays, qui doit
nécessairement passer par la remise en l’état des outils
de production, à travers ceux des entreprises. Les
actions de l’Etat en faveur des secteurs productifs
(entreprises), se résument en appui, sous forme de
facilité fiscale et d’apurement des arriérés intérieurs.
Au titre des investissements, la part prévue dans le
budget de finances, et estimée à 340 milliards de FCFA,
(soit 11,2% du budget de finances), passera à 500
milliards de FCFA, à la demande du chef de l’Etat. Le
Président de la République entend, à travers cette
enveloppe, lutter contre la pauvreté, et surtout contre
le chômage. Son souci est d’aider les entreprises du
secteur privé à l’aider, à occuper une partie de la
jeunesse, jusque-là sans emploi et qui constitue de
façon permanente un danger pour la société et pour la
vie de la nation. Toujours en réponse aux bailleurs de
fonds, et aussi dans le cadre des actions prioritaires, le
budget de finances prévoit au titre des dépenses pro-
pauvres, une enveloppe de 840 milliards de FCFA. Celle-
ci prend en compte, le développement rural, la
construction d’infrastructures de base, l’éducation, la
santé. Ladite enveloppe participe de l’amélioration de
l’accessibilité des populations, à l’eau potable et à
l’électricité. Outre ces priorités, le chef de l’Exécutif
ivoirien a à cœur de créer les conditions de créations
d’emplois. Cela passe, par une normalisation de la
situation sociopolitique, à travers la consolidation de la
paix sociale, le renforcement de la sécurité des
personnes et des biens. Toutes ces actions ont donc
des coûts.
Honoré Kouassi