Le petit geste n'a échappé à personne à l'aéroport "présidentiel" de Malabo. Arrivé 30 minutes avant le président Ouattara, le président Zimbabwéen Robert Mugabe a voulu descendre les marches de l'échelle de coupée sans l'aide de personne. Mais à peine a t-il fait un pas qu'il s'est rendu compte de la dangerosité de l'opération. Il a dû s'accrocher fermement au bord de l'échelle pour éviter toute mauvaise surprise. "Cet homme est trop fatigué", a lâché un photographe.
Alassane Ouattara poursuivi par les journalistes
A sa sortie d'audience avec le président Obiang Nguema, le président Alassane Ouattara n'a accordé que 1,47 minutes aux nombreux journalistes qui souhaitaient lui arracher plusieurs mots. Non satisfaits, ces derniers l'ont quasiment poursuivi du bâtiment annexe au centre de conférence puis du centre de conférence à sa voiture. Mais le président est resté serein.
Le président Alassane rencontrera la communauté ivoirienne
Une rencontre entre le président Alassane Ouattara et la communauté ivoirienne (environ 500 personnes) vivant en Guinée Equatoriale est prévue. L'heure et la date précise de la rencontre ne sont pas encore connues mais elle se tiendra à l'immeuble "GEPETROLE" (société d'exploitation du pétrole de Guinée Equatoriale) de Malabo, sur la route de Sipopo.
Un mini car de la communauté ivoirienne fait une sortie de route
Les Ivoiriens résidents à Malabo qui se sont rendus à l'aéroport pour accueillir le président Alassane Ouattara ont connu quelques moments de frayeur. Frustrés de n'avoir pas été autorisés à saluer comme il se devait leur président, certains, à bord d'un mini car ont tenté de rattraper son cortège qui filait à vive allure pour Sipopo. Malheureusement, le mini car, sur un virage, fera une sortie de route avant de se renverser. On dénombre un blessé léger.
Un morceau de papaye à 1 000FCFA
La vie à Malabo est excessivement chère. C'est que rien de ce que consomment les équato guinéens n'est produit dans leur pays. Tout provient du Cameroun ou du Gabon. Ils ont tous abandonné l'agriculture à cause du pétrole que le pays produit à hauteur de 400 mille barils par jour. Ainsi, un ananas qu'on peut s'offrir à Abidjan à 300Fcfa est vendu à Malabo à 10000Fcfa. Une papaye est vendue à 2500Fcfa. Un journaliste ivoirien qui adore ce fruit a dû se contenter de la moitié, obtenue après un marchandage serré, à 1000FCfa. Signalons à toutes fins utiles que le franc Cfa est la monnaie utilisée en Guinée Equatoriale mais les billets sont différents de ceux utilisés à Abidjan par exemple.
Pas de factures d'électricité à Malabo
A Malabo, il n'y a pas de société type "CIE" comme en Côte d'Ivoire pour commercialiser l'électricité. Il n'y a donc pas de factures. Avant l'installation de l'électricité dans une maison, les agents font l'inventaire des appareils qui s'y trouvent puis fixent en conséquence un montant que le consommateur doit payer chaque mois. C'est tout. Et il n'y a pas d'électricité dans toute la ville de Malabo. Pour exemple, le quartier Timbabé qui est à quelques mètres du centre ville et où sont logés les journalistes ivoiriens, n'est pas électrifié. Seules quelques maisons équipées d'un groupe électrogène sont éclairées la nuit tombée.
Alassane Ouattara poursuivi par les journalistes
A sa sortie d'audience avec le président Obiang Nguema, le président Alassane Ouattara n'a accordé que 1,47 minutes aux nombreux journalistes qui souhaitaient lui arracher plusieurs mots. Non satisfaits, ces derniers l'ont quasiment poursuivi du bâtiment annexe au centre de conférence puis du centre de conférence à sa voiture. Mais le président est resté serein.
Le président Alassane rencontrera la communauté ivoirienne
Une rencontre entre le président Alassane Ouattara et la communauté ivoirienne (environ 500 personnes) vivant en Guinée Equatoriale est prévue. L'heure et la date précise de la rencontre ne sont pas encore connues mais elle se tiendra à l'immeuble "GEPETROLE" (société d'exploitation du pétrole de Guinée Equatoriale) de Malabo, sur la route de Sipopo.
Un mini car de la communauté ivoirienne fait une sortie de route
Les Ivoiriens résidents à Malabo qui se sont rendus à l'aéroport pour accueillir le président Alassane Ouattara ont connu quelques moments de frayeur. Frustrés de n'avoir pas été autorisés à saluer comme il se devait leur président, certains, à bord d'un mini car ont tenté de rattraper son cortège qui filait à vive allure pour Sipopo. Malheureusement, le mini car, sur un virage, fera une sortie de route avant de se renverser. On dénombre un blessé léger.
Un morceau de papaye à 1 000FCFA
La vie à Malabo est excessivement chère. C'est que rien de ce que consomment les équato guinéens n'est produit dans leur pays. Tout provient du Cameroun ou du Gabon. Ils ont tous abandonné l'agriculture à cause du pétrole que le pays produit à hauteur de 400 mille barils par jour. Ainsi, un ananas qu'on peut s'offrir à Abidjan à 300Fcfa est vendu à Malabo à 10000Fcfa. Une papaye est vendue à 2500Fcfa. Un journaliste ivoirien qui adore ce fruit a dû se contenter de la moitié, obtenue après un marchandage serré, à 1000FCfa. Signalons à toutes fins utiles que le franc Cfa est la monnaie utilisée en Guinée Equatoriale mais les billets sont différents de ceux utilisés à Abidjan par exemple.
Pas de factures d'électricité à Malabo
A Malabo, il n'y a pas de société type "CIE" comme en Côte d'Ivoire pour commercialiser l'électricité. Il n'y a donc pas de factures. Avant l'installation de l'électricité dans une maison, les agents font l'inventaire des appareils qui s'y trouvent puis fixent en conséquence un montant que le consommateur doit payer chaque mois. C'est tout. Et il n'y a pas d'électricité dans toute la ville de Malabo. Pour exemple, le quartier Timbabé qui est à quelques mètres du centre ville et où sont logés les journalistes ivoiriens, n'est pas électrifié. Seules quelques maisons équipées d'un groupe électrogène sont éclairées la nuit tombée.