La ponctualité d’ADO a fait des ‘’victimes’’ du côté de la presse. Certains journalistes et photographes de la presse nationale et internationale l’ont payé cash. Ces derniers n’ont pu avoir accès à la salle parce que la cérémonie prévue pour 9 h a effectivement démarré à cette heure-là, tandis que pour d’autres, c’est au moment où ils franchissaient le portail d’entrée que la cérémonie prenait fin. Avec ADO, on ne badine avec la ponctualité.
Coulisses Publié le mercredi 6 juillet 2011 | Le Patriote