Les choses sont claires à l’Asec mimosas. Il n’y a pas deux capitaines dans le navire jaune et noir et, le capitaine demeure Me Roger Ouégnin. Pour les 5 prochaines saisons, il rêve de hisser son club sur le toit de l’Afrique.
Déjà 22 longues années que le PCA de l’Asec mimosas, Me Roger Ouégnin est aux affaires. Et le temps reste toujours ensoleillé dans le club le plus populaire de Côte d’Ivoire. N’êtes-vous blasé après 22 ans passés à la tête du club jaune et noir ? « Non ! C’est une passion. Je suis avocat et amoureux du football. C’est de famille. Jusqu’à son décès en 1998, mon père était un grand dirigeant de l’Asec. C’est une seconde religion chez nous. Je ne peux pas être blasé. Je suis au service de l’Asec jusqu’à ce que toutes mes forces m’abandonnent ». Depuis décembre 1989, pour être plus précis, le boss de Sol béni garde intact son amour, sa passion et ses grandes ambitions pour l’Asec mimosas. Un club qu’il rêve de voir monter sur le toit de l’Afrique. «Je suis un serviteur de l’Asec…», avoue-t-il. Plein d’humilité. Et d’ajouter : « Il y a toujours de la ferveur autour de l’Asec et j’en suis fier. J’espère ne jamais décevoir les Actionnaires et le public sportif ivoirien car l’Asec a apporté, depuis que je suis là, beaucoup au football ivoirien ». Dimanche, à la Bourse du travail à Treichville, à la faveur d’une énième AG, Me Roger Ouégnin a été reconduit à la tête de l’Asec mimosas pour les 5 prochaines années. Il s’agit de son 6è mandat. En clair, il reste à ce poste jusqu’en… 2016. «Nous sommes obligés d’évoluer et nous évoluerons car ce nouveau mandat sera placé sous le signe du dynamisme, de l’action et du rêve », promet-il. Malgré la raréfaction des sponsors et la démobilisation des supporters de l’Asec, Roger Ouégnin, loin des présidents « volcaniques » et célèbres pour leurs dérapages verbaux , rassure et passe même la sixième vitesse : « L’Asec mimosas a atteint une telle dimension qu’elle doit désormais fonctionner comme les grands clubs européens. Nous permettrons aux investisseurs de s’intéresser à l’Asec. L’objectif est que notre club devienne le meilleur en Afrique. Sur tous les plans ».
Guy-Florentin Yaméogo
Déjà 22 longues années que le PCA de l’Asec mimosas, Me Roger Ouégnin est aux affaires. Et le temps reste toujours ensoleillé dans le club le plus populaire de Côte d’Ivoire. N’êtes-vous blasé après 22 ans passés à la tête du club jaune et noir ? « Non ! C’est une passion. Je suis avocat et amoureux du football. C’est de famille. Jusqu’à son décès en 1998, mon père était un grand dirigeant de l’Asec. C’est une seconde religion chez nous. Je ne peux pas être blasé. Je suis au service de l’Asec jusqu’à ce que toutes mes forces m’abandonnent ». Depuis décembre 1989, pour être plus précis, le boss de Sol béni garde intact son amour, sa passion et ses grandes ambitions pour l’Asec mimosas. Un club qu’il rêve de voir monter sur le toit de l’Afrique. «Je suis un serviteur de l’Asec…», avoue-t-il. Plein d’humilité. Et d’ajouter : « Il y a toujours de la ferveur autour de l’Asec et j’en suis fier. J’espère ne jamais décevoir les Actionnaires et le public sportif ivoirien car l’Asec a apporté, depuis que je suis là, beaucoup au football ivoirien ». Dimanche, à la Bourse du travail à Treichville, à la faveur d’une énième AG, Me Roger Ouégnin a été reconduit à la tête de l’Asec mimosas pour les 5 prochaines années. Il s’agit de son 6è mandat. En clair, il reste à ce poste jusqu’en… 2016. «Nous sommes obligés d’évoluer et nous évoluerons car ce nouveau mandat sera placé sous le signe du dynamisme, de l’action et du rêve », promet-il. Malgré la raréfaction des sponsors et la démobilisation des supporters de l’Asec, Roger Ouégnin, loin des présidents « volcaniques » et célèbres pour leurs dérapages verbaux , rassure et passe même la sixième vitesse : « L’Asec mimosas a atteint une telle dimension qu’elle doit désormais fonctionner comme les grands clubs européens. Nous permettrons aux investisseurs de s’intéresser à l’Asec. L’objectif est que notre club devienne le meilleur en Afrique. Sur tous les plans ».
Guy-Florentin Yaméogo