BRUXELLES - La RDCongo qui organisera l'élection présidentielle avant la fin de l'année, risque de devenir une autre Côte d'Ivoire avec "de sérieuses perturbations de la paix dans le pays et dans la région des Grands lacs au cours des 12 prochains mois", a averti lundi le révérand Jean-Paul Moka, candidat du Mouvement bleu à la prochaine présidientelle, dans un communiqué diffusé à Bruxelles.
Il a préconisé l'organisation de l'élection dans un climat réellement apaisé et bien préparé qui pourrait donner lieu à un scrutin et des résultats acceptables et acceptés par la plus large majortié des Congolais.
M. Moka actuellement basé en Belgique, ancienne puissance coloniale de la RDCongo, a mis en doute à cette occasion la volonté des hommes politiques congolais à abourit à une solution concertée et constitutionnelle pour la mise en place des prochaines institutions du pays.
Un scénario similiaire à la Côte d'Ivoire est le plus probable lors de la proclamation des prochains résultats électoraux ainsi qu'une crise humanitaire accentuée, si l'on se réfère aux déclarations de certains candidats à la présidentiellle, a-t-il indiqué.
M. Moka a exprimé son opposition à l'actuelle gestion des élections.
Il a préconisé l'organisation de l'élection dans un climat réellement apaisé et bien préparé qui pourrait donner lieu à un scrutin et des résultats acceptables et acceptés par la plus large majortié des Congolais.
M. Moka actuellement basé en Belgique, ancienne puissance coloniale de la RDCongo, a mis en doute à cette occasion la volonté des hommes politiques congolais à abourit à une solution concertée et constitutionnelle pour la mise en place des prochaines institutions du pays.
Un scénario similiaire à la Côte d'Ivoire est le plus probable lors de la proclamation des prochains résultats électoraux ainsi qu'une crise humanitaire accentuée, si l'on se réfère aux déclarations de certains candidats à la présidentiellle, a-t-il indiqué.
M. Moka a exprimé son opposition à l'actuelle gestion des élections.
