Fofana Nourlo, Elève niveau Tle (22 ans) : “Je suis contente”
«Je suis contente d'avoir fait mon identification. Cette opération est importante pour nous qui avons rejoint le groupe. On doit savoir ce que nous allons devenir après. Moi, je veux devenir un soldat à part entière. Si je suis retenue dans l'armée, je serai très heureuse. Dans le cas contraire, je suis prête à exercer n'importe quel métier. Il n y a pas de saut métier.»
Coulibaly Mama Pogoh (auxiliaire en pharmacie) : “Je veux être dans l'armée”
« Je suis avec les Frci depuis seulement 2011. Je veux être militaire pour servir mon pays. J'aime bien le métier des armes, pas pour faire du mal mais, pour protéger et défendre les populations»
Doumbia Fanta (Etudiante) : “Je veux intégrer l'armée nouvelle”
«Je veux intégrer l'armée de la Côte d'Ivoire. C'est à cause des miliciens que j'ai pris les armes. Avant le déclenchement de la crise, ils étaient basés à Dioulabougou, notre quartier. Ils nous menaient la vie dure avec la complicité de certains éléments des ex Fds. C'est pour me défendre que j'ai pris les armes et je pense y rester. Je suis étudiante mais, je n'ai pas pu m'inscrire pour commencer ma première année. Aujourd'hui, avec cette opération, je souhaite intégrer l'armée régulière.»
Z.C
«Je suis contente d'avoir fait mon identification. Cette opération est importante pour nous qui avons rejoint le groupe. On doit savoir ce que nous allons devenir après. Moi, je veux devenir un soldat à part entière. Si je suis retenue dans l'armée, je serai très heureuse. Dans le cas contraire, je suis prête à exercer n'importe quel métier. Il n y a pas de saut métier.»
Coulibaly Mama Pogoh (auxiliaire en pharmacie) : “Je veux être dans l'armée”
« Je suis avec les Frci depuis seulement 2011. Je veux être militaire pour servir mon pays. J'aime bien le métier des armes, pas pour faire du mal mais, pour protéger et défendre les populations»
Doumbia Fanta (Etudiante) : “Je veux intégrer l'armée nouvelle”
«Je veux intégrer l'armée de la Côte d'Ivoire. C'est à cause des miliciens que j'ai pris les armes. Avant le déclenchement de la crise, ils étaient basés à Dioulabougou, notre quartier. Ils nous menaient la vie dure avec la complicité de certains éléments des ex Fds. C'est pour me défendre que j'ai pris les armes et je pense y rester. Je suis étudiante mais, je n'ai pas pu m'inscrire pour commencer ma première année. Aujourd'hui, avec cette opération, je souhaite intégrer l'armée régulière.»
Z.C
