“Bruits de bottes à Abidjan », a dit l’organe qui nous fait perdre Le Temps. La révélation est de taille, venant du relais appartenant à la deuxième dame du grand chef, celle qui dort au Nord. Les frontistes qui ont perdu l’élection présidentielle et la guerre qu’ils ont lancée contre leur propre pays, veulent à nouveau mettre en mal la Côte d’Ivoire. Depuis un bon moment, ils n’ont de cesse de faire des déclarations à l’emporte- pièce et des sorties bien cocasses.
Plus pour se faire peur que pour effrayer le pouvoir Ouattara. C’est pourquoi, si la menace n’est vraiment pas réelle, les nouvelles autorités ne doivent pas baisser la garde. Ceux qui bavardent à perdre le souffle, sont bien connus. Ce sont Blé Goudé Charles, Konan Boniface et dernièrement, après sa fuite éhontée, le commandant Jean Noel Abéhi. Tout le monde sait de quel endroit, ils se donnent en spectacle. Il importe pour le pouvoir d’interpeller les pays d’où ils émettent ce type de discours. A défaut, il faut donner forme aux différents mandats d’arrêt lancés contre eux et les prendre là où ils sont, pour répondre des actes criminels orchestrés pendant une décennie et plus encore, durant la longue crise postélectorale. Les Ivoiriens qui ne veulent plus vivre de tels cauchemars, attendent vivement que le gouvernement Ouattara mette le grappin sur ces activistes et criminels. Les nombreux crimes et exactions contre les populations ne sauraient restés impunis. Plus que jamais, la Côte d’Ivoire a besoin de justice, de réparation et de paix. Les vaincus de la présidentielle et de la guerre créée sans vergogne, ne peuvent nullement continuer de narguer les victimes, à travers une morgue plus qu’hautaine. Cela n’est pas acceptable et les gouvernants doivent prendre les mesures idoines pour épingler ces fauteurs de troubles. On ne peut pas accepter que ces voyous, après avoir tenté de mettre le pays à feu et à sang, ne gardent pas le profil bas et n’expriment pas de compassion pour les malheurs provoqués. Plus grave, ils jouent les fanfarons et les braves. Pour la lutte contre l’oubli, qui pourrait engendrer une nouvelle tragédie, il importe de mettre ces tueurs et autres prédateurs de notre économie sous les verrous. C’est l’endroit qui leur sied le mieux, après tant de misères vécues par le peuple de Côte d’Ivoire. Non à la revanche mais force doit demeurer à la justice qui apaise les cœurs et les esprits
Plus pour se faire peur que pour effrayer le pouvoir Ouattara. C’est pourquoi, si la menace n’est vraiment pas réelle, les nouvelles autorités ne doivent pas baisser la garde. Ceux qui bavardent à perdre le souffle, sont bien connus. Ce sont Blé Goudé Charles, Konan Boniface et dernièrement, après sa fuite éhontée, le commandant Jean Noel Abéhi. Tout le monde sait de quel endroit, ils se donnent en spectacle. Il importe pour le pouvoir d’interpeller les pays d’où ils émettent ce type de discours. A défaut, il faut donner forme aux différents mandats d’arrêt lancés contre eux et les prendre là où ils sont, pour répondre des actes criminels orchestrés pendant une décennie et plus encore, durant la longue crise postélectorale. Les Ivoiriens qui ne veulent plus vivre de tels cauchemars, attendent vivement que le gouvernement Ouattara mette le grappin sur ces activistes et criminels. Les nombreux crimes et exactions contre les populations ne sauraient restés impunis. Plus que jamais, la Côte d’Ivoire a besoin de justice, de réparation et de paix. Les vaincus de la présidentielle et de la guerre créée sans vergogne, ne peuvent nullement continuer de narguer les victimes, à travers une morgue plus qu’hautaine. Cela n’est pas acceptable et les gouvernants doivent prendre les mesures idoines pour épingler ces fauteurs de troubles. On ne peut pas accepter que ces voyous, après avoir tenté de mettre le pays à feu et à sang, ne gardent pas le profil bas et n’expriment pas de compassion pour les malheurs provoqués. Plus grave, ils jouent les fanfarons et les braves. Pour la lutte contre l’oubli, qui pourrait engendrer une nouvelle tragédie, il importe de mettre ces tueurs et autres prédateurs de notre économie sous les verrous. C’est l’endroit qui leur sied le mieux, après tant de misères vécues par le peuple de Côte d’Ivoire. Non à la revanche mais force doit demeurer à la justice qui apaise les cœurs et les esprits