Le ministre de l’Enseignement Supérieur, M. Cissé Ibrahim Bacongo trouve périphérique et dérisoire, le débat sur la dissolution de la Fesci. Il estime que la Fesci est d’abord, une association, et sa création, obéit à la liberté d’association, qui est un droit constitutionnel. En clair, pour le ministre, dissoudre la Fesci, serait une violation de la Constitution.
Coulisses Publié le jeudi 4 août 2011 | L’intelligent d’Abidjan