ABIDJAN - Le président ivoirien Alassane Ouattara a exprimé mardi à Abidjan sa volonté de hisser la Côte d'Ivoire au rang des pays émergents.
A l'occasion d'un séminaire gouvernemental sur l'adoption d'une charte d'éthique, le chef de l'Etat ivoirien a affiché sa détermination à relancer l'économie ivoirienne.
"Il nous faut profiter au maximum du crédit dont jouit la Côte d'Ivoire nouvelle auprès de la communauté financière internationale pour mobiliser les capitaux, facteurs de production de richesses et améliorer les conditions de vie de nos populations", a-t-il recommandé.
Pour Alassane Ouattara, la relance économique et la croissance à deux chiffres que le pays appelle de tous ses vœux passent nécessairement par des exigences de bonne gouvernance et le respect de principes éthiques.
"Notre pays n'a que trop souffert des pratiques peu recommandables qui ont gravement entaché la crédibilité de notre administration publique. La corruption, la course effrénée à l'enrichissement illicite, le trafic d'influence, les abus de biens sociaux, le népotisme, le clientélisme, les détournements de tous genres ont été érigés en mode de gestion", a-t-il déploré, insistant sur la nécessité d'une rupture avec ces "travers".
Le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro et les ministres du gouvernement Ouattara ont ainsi signé de manière individuelle une charte d'éthique devant le chef de l'Etat.
A en croire M. Soro, il s'agit d'un "acte fort" qui vise la moralisation de la vie publique, la familiarisation avec la culture de la compétitivité et de l'excellence, et qui constitue une base solide devant permettre au gouvernement ivoirien d'aller de l'avant.
A l'occasion d'un séminaire gouvernemental sur l'adoption d'une charte d'éthique, le chef de l'Etat ivoirien a affiché sa détermination à relancer l'économie ivoirienne.
"Il nous faut profiter au maximum du crédit dont jouit la Côte d'Ivoire nouvelle auprès de la communauté financière internationale pour mobiliser les capitaux, facteurs de production de richesses et améliorer les conditions de vie de nos populations", a-t-il recommandé.
Pour Alassane Ouattara, la relance économique et la croissance à deux chiffres que le pays appelle de tous ses vœux passent nécessairement par des exigences de bonne gouvernance et le respect de principes éthiques.
"Notre pays n'a que trop souffert des pratiques peu recommandables qui ont gravement entaché la crédibilité de notre administration publique. La corruption, la course effrénée à l'enrichissement illicite, le trafic d'influence, les abus de biens sociaux, le népotisme, le clientélisme, les détournements de tous genres ont été érigés en mode de gestion", a-t-il déploré, insistant sur la nécessité d'une rupture avec ces "travers".
Le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro et les ministres du gouvernement Ouattara ont ainsi signé de manière individuelle une charte d'éthique devant le chef de l'Etat.
A en croire M. Soro, il s'agit d'un "acte fort" qui vise la moralisation de la vie publique, la familiarisation avec la culture de la compétitivité et de l'excellence, et qui constitue une base solide devant permettre au gouvernement ivoirien d'aller de l'avant.