A l’occasion de la célébration de la fête nationale, les autorités de la première capitale et de Bonoua ont appelé les populations à la cohésion sociale et à la paix.
Les populations fêtent dans la sobriété
Les populations de Bonoua et de Bassam ont célébré dimanche le 51ème anniversaire de l’indépendance avec sobriété à cause du drame du vendredi « noir ». Dans ces deux villes, les autorités administratives ont tenu le même message de cohésion sociale et de paix. Le Sous-préfet de Bonoua a invité ses administrés à faire table rase du passé et à travailler pour construire une nation prospère. « Nous venons de vivre une expérience collective et chacun doit en tirer les leçons qui lui permettront de s’élever au-dessus des contingences matérielle et des considérations égoïstes pour penser intérêt national, sans distinction aucune. Nous ne devons considérer que l’intérêt du pays et nous impliquer résolument dans le processus de réconciliation », a suggéré Coulibaly Magloire. Il a rendu un vibrant hommage au président Alassane Ouattara qui a repositionné le pays sur l’échiquier mondial et renouer avec institutions financières internationales. Dans son adresse, le Préfet de Bassam a aussi mis l’accent sur l’esprit d’ouverture du président Ouattara qui a fait de la réconciliation la pierre angulaire de sa politique. Bernard Douabou Gninia lancé un appel à tous les exilés à revenir au bercail pour participer du pays. « A toux ceux qui ont dû quitter notre département, je les exhorte à revenir car leur place est ici avec nous. On n’est jamais mieux ailleurs que chez soi. Allons à la réconciliation, à la paix à l’unité et à la fraternité. Apportons notre contribution afin de soutenir le programme du chef de l’Etat », a invité le gouverneur. L’administrateur civil rêve de voir les prochaines élections se dérouler dans le calme et la convivialité, ce qui va sceller définitivement la paix. Le député-maire Jean Michel Moulod, le Président du Conseil général, Akoï Kacou Innocent étaient présents.
Dali Edison
Les populations fêtent dans la sobriété
Les populations de Bonoua et de Bassam ont célébré dimanche le 51ème anniversaire de l’indépendance avec sobriété à cause du drame du vendredi « noir ». Dans ces deux villes, les autorités administratives ont tenu le même message de cohésion sociale et de paix. Le Sous-préfet de Bonoua a invité ses administrés à faire table rase du passé et à travailler pour construire une nation prospère. « Nous venons de vivre une expérience collective et chacun doit en tirer les leçons qui lui permettront de s’élever au-dessus des contingences matérielle et des considérations égoïstes pour penser intérêt national, sans distinction aucune. Nous ne devons considérer que l’intérêt du pays et nous impliquer résolument dans le processus de réconciliation », a suggéré Coulibaly Magloire. Il a rendu un vibrant hommage au président Alassane Ouattara qui a repositionné le pays sur l’échiquier mondial et renouer avec institutions financières internationales. Dans son adresse, le Préfet de Bassam a aussi mis l’accent sur l’esprit d’ouverture du président Ouattara qui a fait de la réconciliation la pierre angulaire de sa politique. Bernard Douabou Gninia lancé un appel à tous les exilés à revenir au bercail pour participer du pays. « A toux ceux qui ont dû quitter notre département, je les exhorte à revenir car leur place est ici avec nous. On n’est jamais mieux ailleurs que chez soi. Allons à la réconciliation, à la paix à l’unité et à la fraternité. Apportons notre contribution afin de soutenir le programme du chef de l’Etat », a invité le gouverneur. L’administrateur civil rêve de voir les prochaines élections se dérouler dans le calme et la convivialité, ce qui va sceller définitivement la paix. Le député-maire Jean Michel Moulod, le Président du Conseil général, Akoï Kacou Innocent étaient présents.
Dali Edison