Pour le petit-déjeuner de presse du ministre-délégué à la Défense, le quotidien ‘’Notre voie’’ était représenté au plus haut niveau. Outre le directeur de publication, il y avait le secrétaire général de la Rédaction. Ils étaient flanqués de deux autres reporters. En réalité, les ‘’boss’’ du quotidien proche de Laurent Gbagbo étaient venus plaider la libération du siège de leur journal auprès de Paul Koffi koffi.
…Ils ont une date…
D’ici la fin du mois d’août, les agents de ‘’Notre voie’’ devraient pouvoir avoir accès au siège de leur entreprise. C’est l’engagement pris, hier, par le ministre-délégué à la Défense, Paul Koffi Koffi. Celui-ci a confié que le siège avait été pris d’assaut par les Frci après que celles-ci ont été informées qu’il abritait une cache d’armes. Il s’en est suivi une perquisition puis, finalement, un état de siège qui prendra fin, bientôt. Un engagement accueilli à sa juste mesure par le ministre de la Communication, Souleymane Diakité Coty.
…Qu’ils auraient eu plus tôt
Si le siège de ‘’Notre voie’’ était resté jusque-là occupé par les Frci, c’est sans doute parce que les chefs de cette entreprise de presse ont frappé à la mauvaise porte. « Si vous m’aviez contacté, j’aurais déjà réglé le problème », leur a confié le lieutenant-colonel Jules Yao Yao, à la fin du petit-déjeuner de presse. No more comment !
…Ils ont une date…
D’ici la fin du mois d’août, les agents de ‘’Notre voie’’ devraient pouvoir avoir accès au siège de leur entreprise. C’est l’engagement pris, hier, par le ministre-délégué à la Défense, Paul Koffi Koffi. Celui-ci a confié que le siège avait été pris d’assaut par les Frci après que celles-ci ont été informées qu’il abritait une cache d’armes. Il s’en est suivi une perquisition puis, finalement, un état de siège qui prendra fin, bientôt. Un engagement accueilli à sa juste mesure par le ministre de la Communication, Souleymane Diakité Coty.
…Qu’ils auraient eu plus tôt
Si le siège de ‘’Notre voie’’ était resté jusque-là occupé par les Frci, c’est sans doute parce que les chefs de cette entreprise de presse ont frappé à la mauvaise porte. « Si vous m’aviez contacté, j’aurais déjà réglé le problème », leur a confié le lieutenant-colonel Jules Yao Yao, à la fin du petit-déjeuner de presse. No more comment !