Après Salif Bictogo et Sidy Diallo Augustin, ça été au tour d’Albert Kacou Anzouan de lancer sa campagne pour la course à la présidence de la FIF. C’était hier à son QG en zone 4. Une cérémonie sobre où la presse était à l’honneur.
Il a su se vendre. Et n’a pas voulu se joindre à la liste Salif Bictogo sans être candidat. En revanche, Albert Anzouan Kacou s’est engagé avec cette liste en signant un gentlemen agreement qui recommande aux deux parties de s’allier au cas où le scrutin finit au deuxième tour. Celui qui arrive en seconde position devra bénéficier des voix du troisième. L’ancien président de la commission d’organisation des compétitions à la FIF est donc candidat à la succession de Jacques Anouma. A l’instar de ses deux concurrents, il a présenté sa candidature hier à son QG en zone 4. Une cérémonie qui s’est voulue sobre. Où les journalistes sportifs ont été mis au premier rang. « J’ai voulu que cette cérémonie soit réservée à la presse. C’est elle qui en fera l’écho. Pas que je n’ai pas besoin de présidents de clubs, bien au contraire. Mais je sais comment aller vers les clubs. Ce ne sont pas les clubs qui doivent venir vers moi, c’est moi qui doit aller vers eux », dit-il tranquillement. Pour son programme, il n’a vogué dans des chiffres astronomiques. Le camp Anzouan a sans doute compris que pour donner fière allure à notre football, il suffit d’orienter l’essentiel des ressources vers les clubs, les vrais acteurs de la discipline. Sa vision pour le football ivoirien s’articule donc autour de trois points focaux. Redynamiser en rendant plus efficace le fonctionnement de la Fédération, rendre les compétitions performantes et attractives, puis renforcer les capacités financières des clubs, afin de les rendre autonomes. Sur ce point précis, il compte, si les clubs lui accordent leurs suffrages le 10 septembre, augmenter les subventions des clubs de D1, D2 et D3 à respectivement 50, 25 et 20 millions de Fcfa. Quant à la convention signée avec Salif Bictogo, il a été clair : « C’est un partenariat gagnant, c’est pour assurer la victoire qu’on l’a signé. C’est un partenariat stratégique ». Pour le 10 septembre, il est optimiste. Mais avant, il continue, comme les deux candidats, d’aller au contact des clubs pour pêcher des voix. Vivement le 10 septembre !
Tibet Kipré
Il a su se vendre. Et n’a pas voulu se joindre à la liste Salif Bictogo sans être candidat. En revanche, Albert Anzouan Kacou s’est engagé avec cette liste en signant un gentlemen agreement qui recommande aux deux parties de s’allier au cas où le scrutin finit au deuxième tour. Celui qui arrive en seconde position devra bénéficier des voix du troisième. L’ancien président de la commission d’organisation des compétitions à la FIF est donc candidat à la succession de Jacques Anouma. A l’instar de ses deux concurrents, il a présenté sa candidature hier à son QG en zone 4. Une cérémonie qui s’est voulue sobre. Où les journalistes sportifs ont été mis au premier rang. « J’ai voulu que cette cérémonie soit réservée à la presse. C’est elle qui en fera l’écho. Pas que je n’ai pas besoin de présidents de clubs, bien au contraire. Mais je sais comment aller vers les clubs. Ce ne sont pas les clubs qui doivent venir vers moi, c’est moi qui doit aller vers eux », dit-il tranquillement. Pour son programme, il n’a vogué dans des chiffres astronomiques. Le camp Anzouan a sans doute compris que pour donner fière allure à notre football, il suffit d’orienter l’essentiel des ressources vers les clubs, les vrais acteurs de la discipline. Sa vision pour le football ivoirien s’articule donc autour de trois points focaux. Redynamiser en rendant plus efficace le fonctionnement de la Fédération, rendre les compétitions performantes et attractives, puis renforcer les capacités financières des clubs, afin de les rendre autonomes. Sur ce point précis, il compte, si les clubs lui accordent leurs suffrages le 10 septembre, augmenter les subventions des clubs de D1, D2 et D3 à respectivement 50, 25 et 20 millions de Fcfa. Quant à la convention signée avec Salif Bictogo, il a été clair : « C’est un partenariat gagnant, c’est pour assurer la victoire qu’on l’a signé. C’est un partenariat stratégique ». Pour le 10 septembre, il est optimiste. Mais avant, il continue, comme les deux candidats, d’aller au contact des clubs pour pêcher des voix. Vivement le 10 septembre !
Tibet Kipré