x Télécharger l'application mobile Abidjan.net Abidjan.net partout avec vous
Télécharger l'application
INSTALLER
PUBLICITÉ

Sport Publié le vendredi 2 septembre 2011 |

Election à la Fif Bictogo : rien que de grandes ambitions pour le football

©
Election à la FIF : Campagne du candidat Salif Bictogo
Election à la fédération ivoirienne de Football : le candidat Salif Bictogo en campagne
L’histoire du sport mondial et particulièrement africain révèle à un moment donné, aux communs des mortels, les grands acteurs dont elle a besoin, qu’ils soient joueurs ou dirigeants. Comme une coïncidence naturelle, la fédération ivoirienne de football (FIF) qui s’inscrit dans ce tempo tient à faire sa mue, en élisant un successeur au président Jacques Anouma et cela au terme de deux mandats dans la maison de verre de Treichville. Bien que ce soit une compétition démocratique, faut il donner le fauteuil de la de la fédération du sport roi dans notre pays au premier venu ? De chorus et de concert, nous parions que la réponse des partenaires sportifs est non.
Tous voudraient confier leur destin à quelqu’un qui a fait et bien fait toutes ses humanités dans le sérail initiatique jusqu’à la maturité. Il n’en faut pas davantage pour que la majorité des initiés et des acteurs sportifs, au sens large du terme portent leur choix sur le jeune mature Salif Bictogo.
Celui- là même dont les grandes ambitions pour le football ivoirien est connu, depuis longtemps par tout le monde. A commencer par les dirigeants des clubs qui bénissent et soutiennent sa candidature à la conquête du fauteuil de Jacques Anouma.

Pour qui connaît Salif Bictogo, nul doute qu’en cas de victoire au soir du 10 septembre prochain c’est aussitôt le lancement judicieux du vaisseau du sport ROI vers des rivages radieux.

Dans cette nouvelle Cote d’Ivoire que les ivoiriens que les ivoiriens s’emploient, nuit et jour à construire, après une période de crise postélectorale.
C’est le lieu de souligner que pour cette dernière tache qui nous attend, il n’y a pas à disperser les énergies comme par le passé.
Le président FHB le disait : « On peut servir son pays, quelque soit le poste qu’on occupe ». Le passé étant le passé, c’est un nouveau cycle qui s’ouvre pour interpeller les uns et les autres à ne pas se marcher dessus, dans la mesure où chaque responsable aura à œuvrer dans le domaine spécifique qui lui sera attribué. Selon qu’on dit souvent que : le forgeron doit s’occuper de sa forge, tout comme l’ébéniste qui est dans l’ébénisterie et le maçon qui excelle dans l’Art de faire des murs.

Alors pourquoi pas les grands commis de l’Etat au chevet de la nation et ses urgences. Pendant que les dirigeants sportifs gèrent les stades, les joueurs, les athlètes et les supporters qui ne remplissaient plus de manière effective, nos différents stades, compte tenu de la qualité du sport ivoirien qui se détériore. Au nom d’un désamour que l’on doit solder avec la pilule Salif Bictogo en cas de victoire presque acquise.
C’est en cela que la charte éthique signée par les Ministres du Président Alassane Ouattara prend tout son sens, dans la mesure ou elle s’impose à tout le monde, notamment aux membres du gouet et à leurs collaborateurs directs ou indirects qui ont à charge les différents compartiments et institutions auxquelles ils sont rattachés.
Avec cela, il convient de mettre en garde les hauts fonctionnaires ou grand commis de l’Etat aux idées rétrogrades.
Depuis la fin du conflit post électoral, la CI nouvelle a opté pour la rupture, comme pour dire que ce qui était de mise, naïvement ou délibérément dans les années 60,70,80, n’est plus d’actualité aujourd’hui. C’est pourquoi, le candidat Salif Bictogo évite de trop regarder dans le rétroviseur. Parce que les ivoiriens, surtout la jeune génération et les sportifs « « « cuvée 3è millénaire » » » sont dans un autre tempo pour ne pas dire une nouvelle vision. Ils ne veulent plus faire les choses de manière mécanique, mais plutôt scientifique. Haro donc sur les méthodes archaïques qui gravitent autour de l’implication des politiques et autres dans le domaine sportif qui ne constitue plus un bon exemple aujourd’hui. Les candidats potentiels qui s’accrochent à ces tristes expériences sont tout simplement à coté de la plaque.
Pis, ils labourent en mer, parce que les électeurs du 10 septembre n’hésiteront pas à les renvoyer à leur copie passéiste, au regard de la réalité. En un mot comme en cent, cette élection au niveau de sommet de notre sport Roi, ne doit pas être vu comme une bataille des ennemis déclarés mais comme une compétition saine.
En tout cas, du coté de Salif Bictogo, aucune hache de guerre n’est déterrée, bien au contraire, il s’agit pour lui d’un jeu de convivialité partagé. Parce qu’il considère que tous les candidats, notamment lui, portent la Cote d’Ivoire dans le cœur. Et que c’est parce que chacun tient à donner un peu plus de lui-même au sport Ivoirien, qu’il va à la conquête du fauteuil de la FIF. Le seul fait qu’il interdise toute attaque et diatribe contre ses adversaires suffit pour cerner son état d’esprit.
Salif Bictogo a des solutions pour sortir le football de l’ornière.

Mieux, il veut susciter le rayonnement du sport Roi dans les cœurs et les esprits de tous et de toutes. Salif Bictogo s’inscrit dans la logique de faire mieux que ses paires et prédécesseurs. C’est le serment d’un digne fils et d’un successeur. Pour paraphraser le petit supporter nous disons : « Affaire de FIF là,, c’est pas lazent ; c’est pourquoi avec un Togo, Bictogo va marquer bi !!! »Le 10 Septembre. Le candidat Salif Bictogo est parti pour gagner tout simplement.
PUBLICITÉ
PUBLICITÉ

Playlist Sport

Toutes les vidéos Sport à ne pas rater, spécialement sélectionnées pour vous

PUBLICITÉ