Le directeur adjoint de campagne de la liste Bictogo Salif, Kobenan Yoboua Cévérin, par ailleurs président de l’AS Tanda et colistier, fait le point de la tournée effectuée dans l’Est du pays, dans le cadre des élections à la présidence de la FIF.
Président, que peut-on retenir de votre tournée dans les régions de l’Indénié, du Djuablin et du Zanzan ?
L’engouement était réel parce que nous étions en territoire conquis. Cependant, cela ne nous a pas empêchés d’aller à la rencontre de nos pairs présidents de clubs pour leur dire notre intention de diriger la Fédération ivoirienne de football, le 10 septembre prochain. Nous avons dévoilé un pan de notre programme et vu la mobilisation d’Abengourou à Bondoukou en passant par Niablé et Agnibilekro, nous pouvions dire sans nous tromper que le bilan est satisfaisant.
Est-ce à dire que les différents clubs de ces régions ont décidé de porter votre tête de liste à la présidence de la FIF le 10 septembre 2011 ?
Les clubs ont donné leur avis favorable pour voter notre liste conduite par le président Bictogo Salif. Et cela n’est pas dû à la tournée que nous avons faite à partir du 1er septembre. Il faut dire que nous avons entretenu de bons rapports avec les responsables de clubs depuis belle lurette. Nous sommes avec nos pairs tous les jours et il est question maintenant que nous dirigions la FIF de façon collégiale.
Qu’est-ce que les clubs vous ont dit durant la tournée à l’Est du pays ?
Les différents responsables de clubs ont remercié le président Bictogo pour l’honneur qu’il leur a fait en se déplaçant jusqu’à eux. A Agnibilekro, le président de l’US Fermier qui a offert un repas à la délégation jeudi, n’a pas caché sa joie de voir le président Bictogo et sa suite venir à sa rencontre. C’est important et cela compte beaucoup. Les clubs ont adhéré à notre programme et ont promis de nous accompagner.
Quel a été le message fort de votre délégation au point que les clubs de l’Est acceptent de vous soutenir ?
Nous leur avons dit que les présidents de clubs ont décidé de prendre le contrôle de la Fédération suite au retrait de Jacques Anouma de la course à la présidence de la FIF. Nous voulons prendre notre affaire en main et nous pouvons dire que le message a été entendu cinq sur cinq.
Depuis quelques jours, nous avons ouï dire que certains présidents de clubs font l’objet de menaces et d’intimidations de la part de vos adversaires. Un mot sur cet état de fait…
Les menaces sont fréquentes. Dans tous les cas, là où nous sommes arrivés, il n’est plus question de reculer. C’est pour vous dire que nous n’avons pas peur des menaces de toutes sortes. Ce qui importe, c’est de voter le candidat Bictogo le jour du vote. C’est là que tout va se passer. Les présidents doivent se faire confiance et surtout ne doivent pas se laisser intimider.
Ne craignez-vous pas une volte-face de certains de vos pairs présidents à cause de fortes sommes d’argent proposées par vos adversaires ?
Nous sommes d’abord 18 présidents de clubs sur la liste Bictogo. Ce qui constitue une avance considérable avant le scrutin. Nous avons aussi des soutiens de taille, des clubs qui ont épousé notre cause et qui sont prêts à voter pour nous. Nous avons une base solide.
Selon vous, qu’est-ce qui fait la différence entre le programme de Bictogo et celui des autres candidats ?
La différence fondamentale, c’est que les présidents de clubs veulent diriger leur Fédération à partir du 10 septembre 2011. Et nous ne comprenons pas encore la colère de certaines personnes qui n’ont rien à voir au football. Il faut que les gens arrêtent leur démagogie quand nous parlons d’offrir des cars aux clubs. Nous ne pouvons pas nous inscrire dans le faux dans la mesure où nous connaissons nos problèmes réels.
Un mot à l’endroit des présidents de clubs qui sont encore hésitants…
Nous sommes en contact avec eux tous les jours. C’est aussi une stratégie mais il est impérieux qu’ils reviennent à la Conférence afin de soutenir notre cause. Le meilleur programme, c’est celui des présidents de clubs.
Réalisé par Annoncia Sehoué, envoyé spécial à Bondoukou
Président, que peut-on retenir de votre tournée dans les régions de l’Indénié, du Djuablin et du Zanzan ?
L’engouement était réel parce que nous étions en territoire conquis. Cependant, cela ne nous a pas empêchés d’aller à la rencontre de nos pairs présidents de clubs pour leur dire notre intention de diriger la Fédération ivoirienne de football, le 10 septembre prochain. Nous avons dévoilé un pan de notre programme et vu la mobilisation d’Abengourou à Bondoukou en passant par Niablé et Agnibilekro, nous pouvions dire sans nous tromper que le bilan est satisfaisant.
Est-ce à dire que les différents clubs de ces régions ont décidé de porter votre tête de liste à la présidence de la FIF le 10 septembre 2011 ?
Les clubs ont donné leur avis favorable pour voter notre liste conduite par le président Bictogo Salif. Et cela n’est pas dû à la tournée que nous avons faite à partir du 1er septembre. Il faut dire que nous avons entretenu de bons rapports avec les responsables de clubs depuis belle lurette. Nous sommes avec nos pairs tous les jours et il est question maintenant que nous dirigions la FIF de façon collégiale.
Qu’est-ce que les clubs vous ont dit durant la tournée à l’Est du pays ?
Les différents responsables de clubs ont remercié le président Bictogo pour l’honneur qu’il leur a fait en se déplaçant jusqu’à eux. A Agnibilekro, le président de l’US Fermier qui a offert un repas à la délégation jeudi, n’a pas caché sa joie de voir le président Bictogo et sa suite venir à sa rencontre. C’est important et cela compte beaucoup. Les clubs ont adhéré à notre programme et ont promis de nous accompagner.
Quel a été le message fort de votre délégation au point que les clubs de l’Est acceptent de vous soutenir ?
Nous leur avons dit que les présidents de clubs ont décidé de prendre le contrôle de la Fédération suite au retrait de Jacques Anouma de la course à la présidence de la FIF. Nous voulons prendre notre affaire en main et nous pouvons dire que le message a été entendu cinq sur cinq.
Depuis quelques jours, nous avons ouï dire que certains présidents de clubs font l’objet de menaces et d’intimidations de la part de vos adversaires. Un mot sur cet état de fait…
Les menaces sont fréquentes. Dans tous les cas, là où nous sommes arrivés, il n’est plus question de reculer. C’est pour vous dire que nous n’avons pas peur des menaces de toutes sortes. Ce qui importe, c’est de voter le candidat Bictogo le jour du vote. C’est là que tout va se passer. Les présidents doivent se faire confiance et surtout ne doivent pas se laisser intimider.
Ne craignez-vous pas une volte-face de certains de vos pairs présidents à cause de fortes sommes d’argent proposées par vos adversaires ?
Nous sommes d’abord 18 présidents de clubs sur la liste Bictogo. Ce qui constitue une avance considérable avant le scrutin. Nous avons aussi des soutiens de taille, des clubs qui ont épousé notre cause et qui sont prêts à voter pour nous. Nous avons une base solide.
Selon vous, qu’est-ce qui fait la différence entre le programme de Bictogo et celui des autres candidats ?
La différence fondamentale, c’est que les présidents de clubs veulent diriger leur Fédération à partir du 10 septembre 2011. Et nous ne comprenons pas encore la colère de certaines personnes qui n’ont rien à voir au football. Il faut que les gens arrêtent leur démagogie quand nous parlons d’offrir des cars aux clubs. Nous ne pouvons pas nous inscrire dans le faux dans la mesure où nous connaissons nos problèmes réels.
Un mot à l’endroit des présidents de clubs qui sont encore hésitants…
Nous sommes en contact avec eux tous les jours. C’est aussi une stratégie mais il est impérieux qu’ils reviennent à la Conférence afin de soutenir notre cause. Le meilleur programme, c’est celui des présidents de clubs.
Réalisé par Annoncia Sehoué, envoyé spécial à Bondoukou
