Au propre comme au figuré, le grand public sent déjà les effets positifs de la gouvernance ADO. Et ce, après seulement un trimestre de présence effective. A Abidjan comme à l’intérieur du pays, la lutte acharnée menée contre les ordures ménagères porte ses fruits. Les tas d’immondice qui obstruaient la vie des populations et mettaient à rude épreuve leurs appareils respiratoires, disparaissent les uns après les autres. En tout cas, pourrait-on dire pour paraphraser une publicité qui a fait les beaux jours d’un produit de consommation local: depuis qu’Alassane Ouattara est là, la Côte d’Ivoire respire bien. L’air est plus sain. Les promeneurs des bords de la lagune Ebrié ne sont plus obligés de se boucher le nez pour éviter d’inhaler les mauvaises odeurs. Quand vous parcourez les rues de la capitale économique du pays et certaines villes de l’intérieur, vous constatez tout le bien que fait l’opération déguerpissement initiée, il y a quelques semaines, dans le cadre du programme d’urgence du gouvernement, par la ministère de la Salubrité urbaine. Les quartiers retrouvent leurs couleurs et les espaces perdus à cause des occupations anarchiques. Le carrefour « Mel » cesse, tous les jours que Dieu fait, d’être un cauchemar pour les automobilistes après la pluie. Les effets des travaux entrepris en amont de cet ouvrage se sentent déjà. Quel bonheur !
Avec Ouattara au pouvoir, il faut le reconnaître également, ce n’est pas seulement le paysage qui change. Les rapports de l’Ivoirien au travail ont également évolué. Les embouteillages, signaux premiers de la reprise des activités à Abidjan, se forment désormais à partir de 6h du matin au lieu de 8h. C’est donc tout frais et le soleil encore endormi que les travailleurs et surtout les agents de l’Etat arrivent dans leurs bureaux. Sous l’ancien régime, le monde s’éveillait à la mi-journée. Le soir, les bars et les boîtes de nuit faisaient le plein. La baie des milliardaires recevaient les bateaux de plaisance des nouveaux riches. C’était à qui aurait le dernier pavillon ou la voiture la plus rutilante. Pendant ce temps, les rues se remplissaient de teuf-teuf. Or, rien que par le contrôle rigoureux des pièces afférentes aux véhicules, l’ordre revient dans les transports urbains. Les vieux tacots Woro-woro partent au garage ou à la casse. Une aubaine pour les propriétaires des taxis-compteurs qui subissaient une concurrence déloyale de la part des conducteurs de ces voitures sans papiers et souvent en très mauvais état. Les guimbardes bruyantes, perdant des pièces en pleine circulation sont désormais retirées des circuits. Pour arriver à ces résultats, nul n’a été besoin de faire de grands discours ou des opérations spectaculaires. La simple volonté de faire a suffi. Avec Alassane Ouattara, ce qui apparaissait impossible, devient réalité rien que par la méthode. Il avait bien dit, au cours de sa campagne électorale, qu’il était la solution et qu’il avait les solutions aux problèmes qui assaillent les Ivoiriens. Comme il fait toujours ce qu’il dit, à mesure que les jours passent, le grand public découvre que tel ou tel problème a trouvé solution.
S’il y a un autre niveau où les Ivoiriens sentent la douceur de la vie, c’est bine à celui du discours politique. Depuis l’avènement d’Alassane Ouattara, la population a rompu avec le ton guerrier, les invectives inutiles. Le monde n’est plus divisé en deux parties. Les amis du président qui seraient les bons et les adversaires politiques, des damnés de la terre. Alassane Ouattara a bien dit qu’il sera le président de tous les Ivoiriens et il l’est, le démontre à chaque instant et dans chaque discours. Il parle toujours pour « ses chers compatriotes, ses frères et sœurs » qui sont les habitants de ce pays. Cet air frais fait du bien au pays. Les animosités baissent, la fraternité gagne du terrain. Les voisinages ne présentent plus des foyers de tension. Cette atmosphère de convivialité est à mettre au crédit du nouveau président de la République. On espère seulement que le FPI quoi reprend du service ne va pas venir rompre cette quiétude avec son discours de guerre et de provocation inutile.
C’est vrai que la sécurité reste encore une épine et que l’activité économique n’a pas encore atteint sa vitesse de croisière et que la vie est encore trop chère mais, avec ces frémissements évoqués plus haut, il y a fort à parier que les lendemains des Ivoiriens seront meilleurs. Il n’y a pas de doute.
Raphaël Lakpé
Gouali Dodo (DDC d’ADO à Vavoua)
«Le bilan est largement positif»
Avec Ouattara au pouvoir, il faut le reconnaître également, ce n’est pas seulement le paysage qui change. Les rapports de l’Ivoirien au travail ont également évolué. Les embouteillages, signaux premiers de la reprise des activités à Abidjan, se forment désormais à partir de 6h du matin au lieu de 8h. C’est donc tout frais et le soleil encore endormi que les travailleurs et surtout les agents de l’Etat arrivent dans leurs bureaux. Sous l’ancien régime, le monde s’éveillait à la mi-journée. Le soir, les bars et les boîtes de nuit faisaient le plein. La baie des milliardaires recevaient les bateaux de plaisance des nouveaux riches. C’était à qui aurait le dernier pavillon ou la voiture la plus rutilante. Pendant ce temps, les rues se remplissaient de teuf-teuf. Or, rien que par le contrôle rigoureux des pièces afférentes aux véhicules, l’ordre revient dans les transports urbains. Les vieux tacots Woro-woro partent au garage ou à la casse. Une aubaine pour les propriétaires des taxis-compteurs qui subissaient une concurrence déloyale de la part des conducteurs de ces voitures sans papiers et souvent en très mauvais état. Les guimbardes bruyantes, perdant des pièces en pleine circulation sont désormais retirées des circuits. Pour arriver à ces résultats, nul n’a été besoin de faire de grands discours ou des opérations spectaculaires. La simple volonté de faire a suffi. Avec Alassane Ouattara, ce qui apparaissait impossible, devient réalité rien que par la méthode. Il avait bien dit, au cours de sa campagne électorale, qu’il était la solution et qu’il avait les solutions aux problèmes qui assaillent les Ivoiriens. Comme il fait toujours ce qu’il dit, à mesure que les jours passent, le grand public découvre que tel ou tel problème a trouvé solution.
S’il y a un autre niveau où les Ivoiriens sentent la douceur de la vie, c’est bine à celui du discours politique. Depuis l’avènement d’Alassane Ouattara, la population a rompu avec le ton guerrier, les invectives inutiles. Le monde n’est plus divisé en deux parties. Les amis du président qui seraient les bons et les adversaires politiques, des damnés de la terre. Alassane Ouattara a bien dit qu’il sera le président de tous les Ivoiriens et il l’est, le démontre à chaque instant et dans chaque discours. Il parle toujours pour « ses chers compatriotes, ses frères et sœurs » qui sont les habitants de ce pays. Cet air frais fait du bien au pays. Les animosités baissent, la fraternité gagne du terrain. Les voisinages ne présentent plus des foyers de tension. Cette atmosphère de convivialité est à mettre au crédit du nouveau président de la République. On espère seulement que le FPI quoi reprend du service ne va pas venir rompre cette quiétude avec son discours de guerre et de provocation inutile.
C’est vrai que la sécurité reste encore une épine et que l’activité économique n’a pas encore atteint sa vitesse de croisière et que la vie est encore trop chère mais, avec ces frémissements évoqués plus haut, il y a fort à parier que les lendemains des Ivoiriens seront meilleurs. Il n’y a pas de doute.
Raphaël Lakpé
Gouali Dodo (DDC d’ADO à Vavoua)
«Le bilan est largement positif»