Le coordonnateur de la société civile émet des appréhensions quant à la composition de la Commission dialogue, vérité et réconciliation. Selon Patrick N’Gouan, la coordination de la société civile, il aurait souhaité que les membres de la commission soient désignés sur des bases de consensus à l’intérieur des corps constitués. Des personnalités reconnues pour leur droiture, leur indépendance d’esprit et leur capacité à faire le consensus. « L’ordonnance montre que la procédure ne sera pas forcément collégiale, (…) mais pourvu que cela puisse aboutir à la réconciliation ».
Coulisses Publié le mercredi 7 septembre 2011 | Nord-Sud