Les obus, les grenades, les roquettes et les munitions continuent d’endeuiller la population abidjanaise. Face à cela, la Croix-Rouge de Côte d’Ivoire est montée au créneau. Elle a initié une campagne de sensibilisation sur toute l’étendue du district.
Les violents combats armés qui ont eu lieu à Abidjan ont laissé des restes explosifs de guerre (obus, grenades, roquettes, munitions…). La Croix-Rouge a initié une campagne d’éducation aux risques liés à ces engins qui demeurent une menace pour la population, samedi. Selon le coordonnateur du projet, Dr Franck Kodjo, il ne faut jamais toucher un objet inconnu, ni le taper avec le pied. « Ne laissez jamais les enfants jouer avec ces objets. Signalez la présence de tout objet suspect en appelant gratuitement les services de neutralisation au 06 20 80 59 ou 20 23 80 59 pour l’Onuci/ 20 22 91 05 ou 07 08 70 30 pour le Pc Minos », a-t-il lancé à l’endroit des populations. Cette caravane qui a sillonné les différentes communes d’Abidjan en stationnant aux endroits où les combats ont été plus violents a pour objectif de réduire les risques d’accidents et de blessures causés par ces restes. Notons que mercredi dernier, le petit Ouattara Aboulaye en a fait les frais, à Koumassi. Une grenade à fragmentation a causé sa mort.
Les violents combats armés qui ont eu lieu à Abidjan ont laissé des restes explosifs de guerre (obus, grenades, roquettes, munitions…). La Croix-Rouge a initié une campagne d’éducation aux risques liés à ces engins qui demeurent une menace pour la population, samedi. Selon le coordonnateur du projet, Dr Franck Kodjo, il ne faut jamais toucher un objet inconnu, ni le taper avec le pied. « Ne laissez jamais les enfants jouer avec ces objets. Signalez la présence de tout objet suspect en appelant gratuitement les services de neutralisation au 06 20 80 59 ou 20 23 80 59 pour l’Onuci/ 20 22 91 05 ou 07 08 70 30 pour le Pc Minos », a-t-il lancé à l’endroit des populations. Cette caravane qui a sillonné les différentes communes d’Abidjan en stationnant aux endroits où les combats ont été plus violents a pour objectif de réduire les risques d’accidents et de blessures causés par ces restes. Notons que mercredi dernier, le petit Ouattara Aboulaye en a fait les frais, à Koumassi. Une grenade à fragmentation a causé sa mort.