Bonne nouvelle, l'héritage d'Houphouët-Boigny va, une fois encore, être préservé, réhabilité.
La Résidence ivoirienne à Washington, D.C. laissée en délabrement avancé par les Refondateurs, sera retapée et sauvée. C'est tout un pan de l'histoire de notre pays que le Président Alassane Ouattara, s'est engagé à honorer et à magnifier.
En effet, si aujourd'hui, le câble, l'internet, et autres ipod, n'occupaient pas le précieux temps des veillées, on aurait pu conter aux petits enfants, comment notre pays fut le premier africain à avoir eu une résidence à elle aux Etats-Unis d'Amérique.
Nous sommes dans les années 70. La Côte d'Ivoire est en plein essor économique. On parle alors de miracle dont le maître d'ouvre est le père fondateur, et le maître d'ouvrage, l'ex-ambassadeur à Washington DC, devenu ministre des finances, le président Henri Konan Bédié.
En grand visionnaire, le sage de l'Afrique avait planifié dès notre accession à l'indépendance, que toutes les chancelleries et résidences devraient êtres des propriétés de l'Etat de Côte d'Ivoire.
Ainsi, en octobre 1972, le leader du parti nationaliste chinois Chang Kai- chek met sa belle propriété dans le quartier chic de Chevy Chase à Washington DC sur le marché immobilier. En novembre 1972, notre pays achète la résidence du mentor chinois, localisée au 5111 Broad Branch RD à Washington avec quatre chambres, 6.5 douches, sur une superficie habitable de 585,103346 mètres carrés, avec un terrain nu de 10.926.5123 mètres carrés. Cet achat est applaudi et accueilli avec fierté par la petite communauté ivoirienne d'alors, estimée à 100 âmes dans la région de Washington DC Metro.
Nous dirions alors aux petits-enfants que le premier locataire de cette fierté nationale fut S.E.M. Ahoua N’Guetta et le dernier S.E.M. Bamba Youssoufou.
Depuis 2001 jusqu’ à ce jour, nos ambassadeurs louent les résidences dont la location avoisine mensuellement 4 millions de francs CFA.
Face à cette hérésie, autant financière que diplomatique, le président Ouattara, lors de son récent voyage au pays de l’oncle Sam, en économiste averti et patriote scrupuleux, a promis de réhabiliter dans un très bref cette résidence historique (il faut aussi souligner que l’ex-étudiant de Penn state était un visiteur de cette résidence).
Soukalo de Kibouo
(Source Lebanco.net)
La Résidence ivoirienne à Washington, D.C. laissée en délabrement avancé par les Refondateurs, sera retapée et sauvée. C'est tout un pan de l'histoire de notre pays que le Président Alassane Ouattara, s'est engagé à honorer et à magnifier.
En effet, si aujourd'hui, le câble, l'internet, et autres ipod, n'occupaient pas le précieux temps des veillées, on aurait pu conter aux petits enfants, comment notre pays fut le premier africain à avoir eu une résidence à elle aux Etats-Unis d'Amérique.
Nous sommes dans les années 70. La Côte d'Ivoire est en plein essor économique. On parle alors de miracle dont le maître d'ouvre est le père fondateur, et le maître d'ouvrage, l'ex-ambassadeur à Washington DC, devenu ministre des finances, le président Henri Konan Bédié.
En grand visionnaire, le sage de l'Afrique avait planifié dès notre accession à l'indépendance, que toutes les chancelleries et résidences devraient êtres des propriétés de l'Etat de Côte d'Ivoire.
Ainsi, en octobre 1972, le leader du parti nationaliste chinois Chang Kai- chek met sa belle propriété dans le quartier chic de Chevy Chase à Washington DC sur le marché immobilier. En novembre 1972, notre pays achète la résidence du mentor chinois, localisée au 5111 Broad Branch RD à Washington avec quatre chambres, 6.5 douches, sur une superficie habitable de 585,103346 mètres carrés, avec un terrain nu de 10.926.5123 mètres carrés. Cet achat est applaudi et accueilli avec fierté par la petite communauté ivoirienne d'alors, estimée à 100 âmes dans la région de Washington DC Metro.
Nous dirions alors aux petits-enfants que le premier locataire de cette fierté nationale fut S.E.M. Ahoua N’Guetta et le dernier S.E.M. Bamba Youssoufou.
Depuis 2001 jusqu’ à ce jour, nos ambassadeurs louent les résidences dont la location avoisine mensuellement 4 millions de francs CFA.
Face à cette hérésie, autant financière que diplomatique, le président Ouattara, lors de son récent voyage au pays de l’oncle Sam, en économiste averti et patriote scrupuleux, a promis de réhabiliter dans un très bref cette résidence historique (il faut aussi souligner que l’ex-étudiant de Penn state était un visiteur de cette résidence).
Soukalo de Kibouo
(Source Lebanco.net)
