C’est un Salif Bictogo serein qui s’est présenté, hier matin à son siège de champagne, à Cocody, face aux journalistes.
Le candidat à la FIF a administré une retentissante gifle à Cyril Domoraud. Pour rappel, depuis le 29 août, l’ex-capitaine des Eléphants, devenu président de l’Association des footballeurs ivoiriens (AFI), qui représentait le Groupement d’intérêt de la liste Bictogo, s’est désisté. Et même si le président du Stella fait fi de minimiser ce coup de poignard, il n’a pas pu se passer de balancer, le sourire narquois, à sa figure : « je n’appellerai pas ça un départ… Ce n’est pas important ! Ce qui est important dans son départ, c’est que Cyril Domoraud était le capitaine des Eléphants. Je comprends pourquoi il ne peut pas tenir une grande pression comme celle du 4 septembre 2005 contre les Lions Indomptables du Cameroun (3-2). Souvenez-vous, ce samedi 4 septembre-là, Domoraud était le capitaine… ». Une façon subtile de dire que l’ex-défenseur de Bordeaux et de l’Inter Milan n’est pas digne de confiance… Au sujet d’un consensus, Bictogo a juré que cela est impossible. «En politique comme chez les syndicalistes, il y a une base sur laquelle on discute. Pour tout consensus, il faut mettre de chaque côté la liste à plat. Or pour être tête de liste, il y a un prix à payer. On ne doit pas nous demander, nous, présidents de clubs, propriétaires de la FIF, de nous retirer… »Entouré de son directeur de campagne, Abi Koffi Richmond et de ses plus fidèles lieutenants (Diabaté Vassiriki, Ya Ader, Armand Gohourou, Dao Mamadou, Ginette Rosse…), il a fait le bilan de sa campagne. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’à 24 heures du scrutin tant attendu, la liste Bictogo est prête. « Nous prenons la FIF le 10 septembre… », répétait-ils d’ailleurs inlassablement. Après avoir relu les grands axes de son projet de campagne et déclaré qu’il n’a subi aucune pression politique, contrairement aux rumeurs.
G.F.Y.
Le candidat à la FIF a administré une retentissante gifle à Cyril Domoraud. Pour rappel, depuis le 29 août, l’ex-capitaine des Eléphants, devenu président de l’Association des footballeurs ivoiriens (AFI), qui représentait le Groupement d’intérêt de la liste Bictogo, s’est désisté. Et même si le président du Stella fait fi de minimiser ce coup de poignard, il n’a pas pu se passer de balancer, le sourire narquois, à sa figure : « je n’appellerai pas ça un départ… Ce n’est pas important ! Ce qui est important dans son départ, c’est que Cyril Domoraud était le capitaine des Eléphants. Je comprends pourquoi il ne peut pas tenir une grande pression comme celle du 4 septembre 2005 contre les Lions Indomptables du Cameroun (3-2). Souvenez-vous, ce samedi 4 septembre-là, Domoraud était le capitaine… ». Une façon subtile de dire que l’ex-défenseur de Bordeaux et de l’Inter Milan n’est pas digne de confiance… Au sujet d’un consensus, Bictogo a juré que cela est impossible. «En politique comme chez les syndicalistes, il y a une base sur laquelle on discute. Pour tout consensus, il faut mettre de chaque côté la liste à plat. Or pour être tête de liste, il y a un prix à payer. On ne doit pas nous demander, nous, présidents de clubs, propriétaires de la FIF, de nous retirer… »Entouré de son directeur de campagne, Abi Koffi Richmond et de ses plus fidèles lieutenants (Diabaté Vassiriki, Ya Ader, Armand Gohourou, Dao Mamadou, Ginette Rosse…), il a fait le bilan de sa campagne. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’à 24 heures du scrutin tant attendu, la liste Bictogo est prête. « Nous prenons la FIF le 10 septembre… », répétait-ils d’ailleurs inlassablement. Après avoir relu les grands axes de son projet de campagne et déclaré qu’il n’a subi aucune pression politique, contrairement aux rumeurs.
G.F.Y.