Après sa défaite, samedi, affalé dans son fauteuil et le regard noir, le perdant s’est confié à Nord Sud Quotidien.
Quelles leçons retenez-vous de votre défaite ?
Il y avait deux résultats possibles : la victoire ou la défaite. Je suis habitué aux victoires mais aussi aux défaites. Ce qu’il faut retenir, c’est la démocratie. Nous devons être fiers de ce que nous venons de montrer. Certains présidents de clubs ont estimé qu’il était préférable de confier la FIF à Sidy Diallo. Nous prenons acte. Nous espérons que le programme du vainqueur sera appliqué scrupuleusement pour le développement du football ivoirien.
Etes-vous déçu ?
Pas du tout ! C’est vrai qu’on espère toujours gagner une élection. Mais rassurez-vous, il n’y a pas d’animosité.
Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
Je constate que nous avons perdu surtout au niveau de la Division 3. En Ligue 2 aussi. Pourtant, les clubs de ces divisions étaient les mieux représentés au niveau de notre comité exécutif. C’est dommage qu’ils n’aient pas pris leurs responsabilités. Mais la vie continue…
N’avez-vous pas le sentiment d’avoir été trahi ?
Non, je ne parlerais pas de trahison. Les présidents de clubs qui ne m’ont pas voté ont fait leur choix. Et comme je dis, la vie continue.
Resterez-vous président du Stella-Club ou comptez-vous faire autre chose désormais ?
Je demeure le président du Stella-Club. Il faut repartir à la conquête de trophées et de titres. Je peux me permettre d’être champion de Côte d’Ivoire cette année. Je souhaite bonne chance à mon frère Sidy Diallo. Je resterais là pour bâtir le Stella et en même temps j’esayerai de (re)cadrer le nouveau président pour qu’il réussisse son mandat.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Quelles leçons retenez-vous de votre défaite ?
Il y avait deux résultats possibles : la victoire ou la défaite. Je suis habitué aux victoires mais aussi aux défaites. Ce qu’il faut retenir, c’est la démocratie. Nous devons être fiers de ce que nous venons de montrer. Certains présidents de clubs ont estimé qu’il était préférable de confier la FIF à Sidy Diallo. Nous prenons acte. Nous espérons que le programme du vainqueur sera appliqué scrupuleusement pour le développement du football ivoirien.
Etes-vous déçu ?
Pas du tout ! C’est vrai qu’on espère toujours gagner une élection. Mais rassurez-vous, il n’y a pas d’animosité.
Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
Je constate que nous avons perdu surtout au niveau de la Division 3. En Ligue 2 aussi. Pourtant, les clubs de ces divisions étaient les mieux représentés au niveau de notre comité exécutif. C’est dommage qu’ils n’aient pas pris leurs responsabilités. Mais la vie continue…
N’avez-vous pas le sentiment d’avoir été trahi ?
Non, je ne parlerais pas de trahison. Les présidents de clubs qui ne m’ont pas voté ont fait leur choix. Et comme je dis, la vie continue.
Resterez-vous président du Stella-Club ou comptez-vous faire autre chose désormais ?
Je demeure le président du Stella-Club. Il faut repartir à la conquête de trophées et de titres. Je peux me permettre d’être champion de Côte d’Ivoire cette année. Je souhaite bonne chance à mon frère Sidy Diallo. Je resterais là pour bâtir le Stella et en même temps j’esayerai de (re)cadrer le nouveau président pour qu’il réussisse son mandat.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo