« Solidarité, gage de réconciliation vraie », c’est autour de ce thème que la 6ème édition de la journée nationale de la solidarité a été célébrée, le vendredi 16 septembre 2011, dans la commune d’Abobo, comme partout en Côte d’Ivoire. La Première Dame, engagée dans les actions caritatives, a saisi l’occasion pour faire parler son cœur.
2000 sacs de riz, 200 cartons d’huile, 10 tricycles pour handicapés, 200 seaux, 43 tentes pour les soldats d’Abobo, sont, entre autres, les dons d’une valeur de 100 millions de F CFA offerts par Mme Dominique Ouattara à 1526 bénéficiaires issus des 13 communes d’Abidjan, à plus de 500 enfants de 5 à 12 ans , à toutes les institutions spécialisées ( pouponnières, orphelinats) et à 10 handicapés. Pour la Première Dame, un geste de solidarité unit les cœurs, favorise la paix et instaure l’amour entre les êtres. Raison pour laquelle, elle a invité, au nom de la réconciliation nationale, les uns et les autres à ouvrir leur cœur et à agir pour leurs prochains. « Un sourire, une main tendue, un conseil ou un repas peut avoir un impact décisif sur l’avenir de notre prochain », a-t-elle conseillé. Le sentiment de solidarité de chaque Ivoirien, a poursuivi Mme Dominique Ouattara, doit aller bien au-delà des limites de sa famille, de ses amis, de sa religion ou de sa culture. « (…) Il doit s’étendre à l’humanité toute entière. C’est ainsi que nous pourrons participer à l’éclosion d’une société plus juste gage d’une réconciliation vraie », a-t-elle affirmé. Bien avant, le ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires Sociales et de la Solidarité, Gilbert Koné Kafana, a demandé, après la grave crise qu’a connue la Côte d’Ivoire, à ses compatriotes de dire pardon et d’accepter également le pardon de leurs prochains. « Nous devons nous donner la main pour assister ceux des nôtres qui ont traversé ou qui vivent encore des moments difficiles liés à l’indigence, aux effets de la violence, du handicap et toutes autres formes de vulnérabilité », a-t-il exhorté. Puis de remercier la Première Dame pour tous ces lots mobilisés à l’endroit des populations. Pour Gilbert Koné Kafana, la Journée nationale de la solidarité doit être pour tous, l’occasion de renforcer les fondements culturels et sociaux de la cohésion sociale. « A l’occasion de cette journée, nous devons, dans un élan de solidarité, tendre la main à ceux qui sont dans le besoin, pour semer les germes de l’amour , consacrer la démocratie sociale et réaliser le progrès pour tous», a-t-il conclu.
R. Dibi
2000 sacs de riz, 200 cartons d’huile, 10 tricycles pour handicapés, 200 seaux, 43 tentes pour les soldats d’Abobo, sont, entre autres, les dons d’une valeur de 100 millions de F CFA offerts par Mme Dominique Ouattara à 1526 bénéficiaires issus des 13 communes d’Abidjan, à plus de 500 enfants de 5 à 12 ans , à toutes les institutions spécialisées ( pouponnières, orphelinats) et à 10 handicapés. Pour la Première Dame, un geste de solidarité unit les cœurs, favorise la paix et instaure l’amour entre les êtres. Raison pour laquelle, elle a invité, au nom de la réconciliation nationale, les uns et les autres à ouvrir leur cœur et à agir pour leurs prochains. « Un sourire, une main tendue, un conseil ou un repas peut avoir un impact décisif sur l’avenir de notre prochain », a-t-elle conseillé. Le sentiment de solidarité de chaque Ivoirien, a poursuivi Mme Dominique Ouattara, doit aller bien au-delà des limites de sa famille, de ses amis, de sa religion ou de sa culture. « (…) Il doit s’étendre à l’humanité toute entière. C’est ainsi que nous pourrons participer à l’éclosion d’une société plus juste gage d’une réconciliation vraie », a-t-elle affirmé. Bien avant, le ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires Sociales et de la Solidarité, Gilbert Koné Kafana, a demandé, après la grave crise qu’a connue la Côte d’Ivoire, à ses compatriotes de dire pardon et d’accepter également le pardon de leurs prochains. « Nous devons nous donner la main pour assister ceux des nôtres qui ont traversé ou qui vivent encore des moments difficiles liés à l’indigence, aux effets de la violence, du handicap et toutes autres formes de vulnérabilité », a-t-il exhorté. Puis de remercier la Première Dame pour tous ces lots mobilisés à l’endroit des populations. Pour Gilbert Koné Kafana, la Journée nationale de la solidarité doit être pour tous, l’occasion de renforcer les fondements culturels et sociaux de la cohésion sociale. « A l’occasion de cette journée, nous devons, dans un élan de solidarité, tendre la main à ceux qui sont dans le besoin, pour semer les germes de l’amour , consacrer la démocratie sociale et réaliser le progrès pour tous», a-t-il conclu.
R. Dibi
