Me voilà donc à New York! Enfin et après plusieurs rendez-vous manqués; après un transit très furtif en Août 2008. Après avoir également échappé à ce voyage du mois de Septembre 2001. L'attaque d'Al Qaïda ayant eu lieu juste après l'obtention de mon premier visa américain, j'ai renoncé à répondre à l'invitation du Corporate Council for Africa. A nous deux donc New York qui fait le plein de sommités et de leaders mondiaux à qui Ban Ki-Moon offrira une réception .
A l'étranger, les citoyens de tous les pays rencontrent et côtoient plus facilement leurs dirigeants, qu'ils soient ministres ou chefs d'Etat. A la faveur des voyages à l'étranger, les cartes de visite sont distribuées. Certains plus chanceux obtiennent les contacts directs de ministres ou de chefs d'Etat. Mais quand ce n'est pas leur destin, ou quand ils n'ont pas de projet sérieux et crédible, impossible pour eux de joindre à nouveau les personnalités. A Lomé, Accra, Paris ou ailleurs combien ne se plaignent pas de ces ministres et cadres avec qui ils font même des virées ou des courses, mais qui deviennent injoignables et intouchables une fois rentrés au pays? En réalité, telle est la loi de la vie. Quelquefois ça marche pour certains qui parviennent à établir des relations solides, sérieuses et durables avec les personnalités de passage. Lass, Ivoirien, conducteur de taxi, originaire d'Anyama venu au pays en Juillet 2010 pour la première fois à quatorze ans, se souvient de cette dame membre de la délégation de l'ex-Président Laurent Gbagbo. Il avait fait les courses. Elle réclamait les factures et le soupçonnait de surfacturer des achats. La dame semblait près de ses sous. Le jour du départ, elle lui a offert un pourboire de 500 dollars, là où les autres n'ont donné que 50 dollars à ses collègues. Chacun son style! Lass qui aime le Président Ouattara, souhaiterait avoir des nouvelles de cette dame qu'il a perdue de vue depuis plusieurs mois. La vie, ce sont ces rencontres çà et là. A New York, on ne se lasse jamais d'écouter les aventures des uns et des autres. Mais ce sont plus souvent des histoires d'hommes. Faudra qu'on entende et qu'on écoute de plus en plus les femmes. Vous avez suivi mon regard. On est bel et bien à New York. Et oui, j'ai fait un tour au Sofitel du coin, sur les traces de Strauss-Kahn et de Nafissatou Diallo. A demain....
Wakili Alafé
A l'étranger, les citoyens de tous les pays rencontrent et côtoient plus facilement leurs dirigeants, qu'ils soient ministres ou chefs d'Etat. A la faveur des voyages à l'étranger, les cartes de visite sont distribuées. Certains plus chanceux obtiennent les contacts directs de ministres ou de chefs d'Etat. Mais quand ce n'est pas leur destin, ou quand ils n'ont pas de projet sérieux et crédible, impossible pour eux de joindre à nouveau les personnalités. A Lomé, Accra, Paris ou ailleurs combien ne se plaignent pas de ces ministres et cadres avec qui ils font même des virées ou des courses, mais qui deviennent injoignables et intouchables une fois rentrés au pays? En réalité, telle est la loi de la vie. Quelquefois ça marche pour certains qui parviennent à établir des relations solides, sérieuses et durables avec les personnalités de passage. Lass, Ivoirien, conducteur de taxi, originaire d'Anyama venu au pays en Juillet 2010 pour la première fois à quatorze ans, se souvient de cette dame membre de la délégation de l'ex-Président Laurent Gbagbo. Il avait fait les courses. Elle réclamait les factures et le soupçonnait de surfacturer des achats. La dame semblait près de ses sous. Le jour du départ, elle lui a offert un pourboire de 500 dollars, là où les autres n'ont donné que 50 dollars à ses collègues. Chacun son style! Lass qui aime le Président Ouattara, souhaiterait avoir des nouvelles de cette dame qu'il a perdue de vue depuis plusieurs mois. La vie, ce sont ces rencontres çà et là. A New York, on ne se lasse jamais d'écouter les aventures des uns et des autres. Mais ce sont plus souvent des histoires d'hommes. Faudra qu'on entende et qu'on écoute de plus en plus les femmes. Vous avez suivi mon regard. On est bel et bien à New York. Et oui, j'ai fait un tour au Sofitel du coin, sur les traces de Strauss-Kahn et de Nafissatou Diallo. A demain....
Wakili Alafé