Ce qui n’a pas marché chez les Eléphants dames
La 22éme édition du championnat d’Afrique de basket féminin a clos ses portes le dimanche 2 octobre 2011 dans la capitale malienne Bamako, avec la victoire de l’Angola sur le Sénégal (62-54). Eliminées en quarts de finale, les Eléphants basketteuses de Côte d’Ivoire ont déçu plus d’un lors de cette compétition. Après avoir concédé trois défaites d’affilée, il leur a fallu attendre les deux derniers matchs pour qu’elles relèvent la tête un tout petit peu. Mais ces victoires n’auront pas été suffisantes pour cacher la grosse plaie qui mine cette équipe. Car Mariama Kouyaté et ses coéquipières seront très rapidement éliminées de la course lors des quarts de finale face à l’Angola. Classée 8ème sur 12 équipes nationales, la sélection ivoirienne doit son échec à beaucoup de facteurs. C’est une équipe mal appliquée dans son schéma tactique avec un entraîneur qui a du mal à lire le jeu de l’équipe adverse. «Sur le plan technique, il faut commencer le travail plus tôt. Notre équipe n’a pas véritablement un bagage assez technique pour lire tout de suite un match. Il faut aussi qu’on fasse de bons regroupements à l’extérieur, afin de permettre aux filles de s’aguerrir au contact de grandes équipes», a avoué l’entraîneur Souleymane Tembely au cours d’une conférence de presse à Bamako. Le manque de préparation adéquate des filles, semble-t-il dire, aurait encore été la principale faille qui a conduit l’équipe ivoirienne à l’échec. Qu’à cela ne tienne ! Un confrère présent à Bamako a fait savoir que la question de la prime a également été à la base de la débâcle des Eléphants basketteuses. A l’en croire, le sélectionneur ivoirien aurait refusé de diriger l’entraînement de ses troupes avant le match contre l’Angola en quarts de finale. Il aurait été mécontent de la prime à lui octroyée et c’est son adjoint Clément Djadji qui aurait conduit la séance. Le ministre des Sports et Loisirs serait donc au banc des accusés après la débâcle de Bamako.
D.Yala
La 22éme édition du championnat d’Afrique de basket féminin a clos ses portes le dimanche 2 octobre 2011 dans la capitale malienne Bamako, avec la victoire de l’Angola sur le Sénégal (62-54). Eliminées en quarts de finale, les Eléphants basketteuses de Côte d’Ivoire ont déçu plus d’un lors de cette compétition. Après avoir concédé trois défaites d’affilée, il leur a fallu attendre les deux derniers matchs pour qu’elles relèvent la tête un tout petit peu. Mais ces victoires n’auront pas été suffisantes pour cacher la grosse plaie qui mine cette équipe. Car Mariama Kouyaté et ses coéquipières seront très rapidement éliminées de la course lors des quarts de finale face à l’Angola. Classée 8ème sur 12 équipes nationales, la sélection ivoirienne doit son échec à beaucoup de facteurs. C’est une équipe mal appliquée dans son schéma tactique avec un entraîneur qui a du mal à lire le jeu de l’équipe adverse. «Sur le plan technique, il faut commencer le travail plus tôt. Notre équipe n’a pas véritablement un bagage assez technique pour lire tout de suite un match. Il faut aussi qu’on fasse de bons regroupements à l’extérieur, afin de permettre aux filles de s’aguerrir au contact de grandes équipes», a avoué l’entraîneur Souleymane Tembely au cours d’une conférence de presse à Bamako. Le manque de préparation adéquate des filles, semble-t-il dire, aurait encore été la principale faille qui a conduit l’équipe ivoirienne à l’échec. Qu’à cela ne tienne ! Un confrère présent à Bamako a fait savoir que la question de la prime a également été à la base de la débâcle des Eléphants basketteuses. A l’en croire, le sélectionneur ivoirien aurait refusé de diriger l’entraînement de ses troupes avant le match contre l’Angola en quarts de finale. Il aurait été mécontent de la prime à lui octroyée et c’est son adjoint Clément Djadji qui aurait conduit la séance. Le ministre des Sports et Loisirs serait donc au banc des accusés après la débâcle de Bamako.
D.Yala