Les 6 et 7 octobre 2011 s’est tenue à Bamako l’évaluation finale par les Premières Dames des activités 2001-2010 de l’initiative pour la réduction de la mortalité maternelle et néonatale en Afrique de l’Ouest et du Centre dénommée « VISION 2010 ». Au nombre des épouses des chefs d’Etat, Mme Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire. Celle-ci s’est félicitée des engagements qui ont été pris par les Premières dames.
La Première Dame de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara, se soucie des questions touchant le domaine du social. A Bamako (Mali) où elle a pris part à une réunion sur la réduction de la mortalité maternelle et néonatale en Afrique de l’Ouest et du Centre, Mme Dominique Ouattara a donné ses impressions: «Je suis venue au Mali à l’invitation de ma sœur Madame Touré Lobbo Traoré, épouse du Président de la République de ce pays frère pour participer à l’initiative pour la réduction de la mortalité maternelle et néonatale en Afrique de l’Ouest et du Centre. J’ai répondu à cette invitation pour deux raisons. Premièrement, c’est une sœur qui m’invite, j’étais heureuse de voir enfin le Mali que je ne connaissais pas. Deuxièmement, la problématique qu’évoque le forum est en rapport avec la santé des enfants et de leurs mamans. Cela m’a interpellée parce qu’il y a actuellement beaucoup de décès au moment de l’accouchement dus à beaucoup de facteurs dont les problèmes d’argent, de santé et d’éducation. On s’est rendu compte que les femmes qui n’étaient pas éduquées ne connaissaient pas les contraceptifs et autres. Nous avons travaillé sur ce dossier et j’ai pu rencontrer mes autres sœurs Premières Dames. Je repars de Bamako très heureuse des travaux que nous avons effectués. (…) En tant que Première Dame, nous avons pris l’engagement de créer un comité pour lutter contre la mortalité et la morbidité néonatales. C’est ce que je vais essayer de mettre en place avec la ministre de la Santé pour répondre aux exigences de ce forum. Je voudrais souligner à toutes fins utiles que j’étais accompagnée de Madame Coffie Goudou Raymonde, Ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant et d’experts ivoiriens dont la contribution a été appréciable », s’est-elle exprimée. Lors de ces assises, les Premières Dames ont plaidé pour le respect des termes de la résolution des chefs d’Etat prise à Abuja relatifs à la part du secteur de la santé dans le budget national soit 15% ; pour la mise en œuvre dans chaque pays d’un programme multisectoriel de réduction de la mortalité maternelle et néonatale ; pour le renforcement du partenariat public – privé et l’implication effective de la société civile pour la réduction de la mortalité maternelle et néonatale. Elles ont par ailleurs demandé la création d’un environnement propice à l’atteinte des objectifs de la Vision 2010 Plus 5 ; l’instauration de l’assurance d’un plaidoyer pour l’extension de l’offre des services de santé aux communautés surtout rurales et assurer le continuum des soins depuis ces communautés jusqu’au niveau tertiaire conformément à la déclaration de Ouagadougou sur les soins de santé primaires. La mobilisation d’une expertise régionale de haut niveau pour soutenir les différents programmes de réduction de la mortalité et de la morbidité maternelles et néonatales et l’application effective des conventions relatives aux droits des femmes et des enfants font partie entre autres, des plaidoyers des épouses des chefs d’Etat.
HK et Sercom
La Première Dame de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara, se soucie des questions touchant le domaine du social. A Bamako (Mali) où elle a pris part à une réunion sur la réduction de la mortalité maternelle et néonatale en Afrique de l’Ouest et du Centre, Mme Dominique Ouattara a donné ses impressions: «Je suis venue au Mali à l’invitation de ma sœur Madame Touré Lobbo Traoré, épouse du Président de la République de ce pays frère pour participer à l’initiative pour la réduction de la mortalité maternelle et néonatale en Afrique de l’Ouest et du Centre. J’ai répondu à cette invitation pour deux raisons. Premièrement, c’est une sœur qui m’invite, j’étais heureuse de voir enfin le Mali que je ne connaissais pas. Deuxièmement, la problématique qu’évoque le forum est en rapport avec la santé des enfants et de leurs mamans. Cela m’a interpellée parce qu’il y a actuellement beaucoup de décès au moment de l’accouchement dus à beaucoup de facteurs dont les problèmes d’argent, de santé et d’éducation. On s’est rendu compte que les femmes qui n’étaient pas éduquées ne connaissaient pas les contraceptifs et autres. Nous avons travaillé sur ce dossier et j’ai pu rencontrer mes autres sœurs Premières Dames. Je repars de Bamako très heureuse des travaux que nous avons effectués. (…) En tant que Première Dame, nous avons pris l’engagement de créer un comité pour lutter contre la mortalité et la morbidité néonatales. C’est ce que je vais essayer de mettre en place avec la ministre de la Santé pour répondre aux exigences de ce forum. Je voudrais souligner à toutes fins utiles que j’étais accompagnée de Madame Coffie Goudou Raymonde, Ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant et d’experts ivoiriens dont la contribution a été appréciable », s’est-elle exprimée. Lors de ces assises, les Premières Dames ont plaidé pour le respect des termes de la résolution des chefs d’Etat prise à Abuja relatifs à la part du secteur de la santé dans le budget national soit 15% ; pour la mise en œuvre dans chaque pays d’un programme multisectoriel de réduction de la mortalité maternelle et néonatale ; pour le renforcement du partenariat public – privé et l’implication effective de la société civile pour la réduction de la mortalité maternelle et néonatale. Elles ont par ailleurs demandé la création d’un environnement propice à l’atteinte des objectifs de la Vision 2010 Plus 5 ; l’instauration de l’assurance d’un plaidoyer pour l’extension de l’offre des services de santé aux communautés surtout rurales et assurer le continuum des soins depuis ces communautés jusqu’au niveau tertiaire conformément à la déclaration de Ouagadougou sur les soins de santé primaires. La mobilisation d’une expertise régionale de haut niveau pour soutenir les différents programmes de réduction de la mortalité et de la morbidité maternelles et néonatales et l’application effective des conventions relatives aux droits des femmes et des enfants font partie entre autres, des plaidoyers des épouses des chefs d’Etat.
HK et Sercom
