Même dans la douleur, Abobo ne peut s’empêcher de célébrer son idole. A la cérémonie d’hier, le président de la République a été accueilli par des « ADO, ADO, ADO… ». A la fin, d’aucuns se bousculaient pour lui serrer la main.
Coulisses Publié le vendredi 14 octobre 2011 | Nord-Sud