Les cours n’ont toujours pas repris dans les établissements primaires et secondaires de la commune d’Agboville (85 km d’Abidjan), dans le cadre de la rentrée scolaire débutée le 24 octobre sur toute l’étendue du territoire national.
Très peu d’élèves étaient visibles, ce lundi dans la cour des écoles primaires d’Ogbodjikro et de Dioulabougou, ainsi que des groupes scolaires Plateau et Lycée de la ville, a constaté l’AIP.
Selon des élèves rencontrés, les instituteurs sont présents, "mais il n’y a pas cours".
Interrogés sur les raisons qui motivent le retard dans le démarrage des cours, un directeur d’école qui a requis l’anonymat, a expliqué que "les enseignants attendent la distribution des kits scolaires", ajoutant que les cours débuteront sûrement à partir du 07 novembre.
A Agboville, les parents d’élèves ne semblent pas préoccupés par cette situation. Certains rencontrés soutiennent avoir l’habitude de constater les retards dans le début effectif des cours.
Mais un enfant de CP1, visiblement était heureux de mettre pour la première fois dans une cour d’école, a menacé de porter plainte à la CPI (Cour pénale internationale) si l’école n’ouvre pas.
"S’ils n’ouvrent pas l’école, je vais poser plainte contre eux à la CPI", a-t-il affirmé avec un air sérieux.
(AIP)
Dd/kp
Très peu d’élèves étaient visibles, ce lundi dans la cour des écoles primaires d’Ogbodjikro et de Dioulabougou, ainsi que des groupes scolaires Plateau et Lycée de la ville, a constaté l’AIP.
Selon des élèves rencontrés, les instituteurs sont présents, "mais il n’y a pas cours".
Interrogés sur les raisons qui motivent le retard dans le démarrage des cours, un directeur d’école qui a requis l’anonymat, a expliqué que "les enseignants attendent la distribution des kits scolaires", ajoutant que les cours débuteront sûrement à partir du 07 novembre.
A Agboville, les parents d’élèves ne semblent pas préoccupés par cette situation. Certains rencontrés soutiennent avoir l’habitude de constater les retards dans le début effectif des cours.
Mais un enfant de CP1, visiblement était heureux de mettre pour la première fois dans une cour d’école, a menacé de porter plainte à la CPI (Cour pénale internationale) si l’école n’ouvre pas.
"S’ils n’ouvrent pas l’école, je vais poser plainte contre eux à la CPI", a-t-il affirmé avec un air sérieux.
(AIP)
Dd/kp