- Madame la Première Dame, Ma Chère Sœur Dominique ;
- Mesdames, Messieurs les Ministres ;
- Excellences, Mesdames, Messieurs les Ambassadeurs ;
- Mesdames, Messieurs, les représentants Organisations Internationales et Africaines ;
- Autorités Administratives, Politiques, Coutumières et Religieuses ;
- Distingués invité ;
- Mesdames, Messieurs,
Je tiens, Madame la Première dame, à vous exprimer la joie et le plaisir que je ressens, à répondre à votre invitation à Abidjan, pour prendre part à cette réunion de suivi de l’accord de coopération Mali/Côte d’Ivoire, en matière de lutte contre la traite des enfants.
C’est l’occasion pour moi, de vous dire combien nous avons apprécié, votre participation et votre contribution de qualité à la rencontre de Bamako, tenue récemment sur la « VISION 2010 ».
Nous avons pu mesurer, votre intérêt pour toutes les questions qui touchent la Mère et l’enfant. Cette fibre sociale, en vous, s’est manifesté par la création, en 1998, de la Fondation « Children of Africa » pour la promotion de l’enfance en Afrique.
Vous donniez ainsi, un cadre formel à votre engagement, depuis 1980, dans les missions humanitaires auprès des populations défavorisées, de Côte d’Ivoire. On comprend dès lors, le regard empreint d’affection que vous jetez sur le sort des enfants, victimes de la traite.
Ainsi, le 16 juin dernier, à l’occasion de la journée de l’Enfant Africain, vous avez fait un vigoureux plaidoyer en leur faveur, je vous cite : « … bien que des efforts aient été faits dans notre pays, nous sommes toujours confrontés à cette tragédie liée à l’économie agricole… en effet, il est nécessaire d’agir en amont sur les trafics qui amènent les enfants dans les plantations de café et de cacao. Une telle action, implique une coopération régionale que nous devons soutenir de toutes nos forces ». Fin de citation.
Madame la Présidente ;
Mesdames, Messieurs,
Je suis en Côte d’Ivoire, pour vous apporter le soutien de mon pays et de la Fondation pour l’Enfance, que je dirige, dans ce noble combat. La traite des Enfants est une pratique immorale contre laquelle nos Etats se sont élevés depuis des années.
On s’en souvient, à Bouaké, le premier Septembre 2000, la Côte d’Ivoire et le Mali ont signé l’accord de coopération, pour lutter contre ce fléau.
Ce document-cadre, fait l’objet d’évaluation régulière, qui indique les progrès accomplis et les moyens mis en œuvre, pour combattre le phénomène.
Toutefois, nous restons convaincus du long chemin à parcourir, pour circonscrire ce mal, violation flagrante du Droit des Enfants.
Madame la Première Dame,
Votre décision de présider cette rencontre donnera, j’en suis sûre, une dimension politique salutaire à l’action des équipe engagées sur le terrain, au quotidien.
Pour notre part, nous consentirons tous les efforts contre cette pratique inhumaine, afin qu’ensemble, nous puissions rendre aux enfants victimes, leur dignité et préserver des milliers d’autres, des réseaux criminels à l’origine de cette traite, car là où il y a une volonté, il y a forcément un chemin.
C’est pourquoi, nous recommandons vivement, la mise en œuvre des conclusions de cette 4ème rencontre.
Chère Sœur,
Je voudrais vous remercier, du fond du cœur, pour l’accueil si chaleureux et les marques d’attention, dont ma délégation et moi-même avons bénéficié.
Je ne saurais terminer, Mesdames, Messieurs, sans transmettre le salut du Président Amadou Toumani TOURE, à son frère et ami, son Excellence Monsieur le Président Alassane Dramane OUATTARA et à l’ensemble du peuple de Côte d’Ivoire
Je vous remercie !
- Mesdames, Messieurs les Ministres ;
- Excellences, Mesdames, Messieurs les Ambassadeurs ;
- Mesdames, Messieurs, les représentants Organisations Internationales et Africaines ;
- Autorités Administratives, Politiques, Coutumières et Religieuses ;
- Distingués invité ;
- Mesdames, Messieurs,
Je tiens, Madame la Première dame, à vous exprimer la joie et le plaisir que je ressens, à répondre à votre invitation à Abidjan, pour prendre part à cette réunion de suivi de l’accord de coopération Mali/Côte d’Ivoire, en matière de lutte contre la traite des enfants.
C’est l’occasion pour moi, de vous dire combien nous avons apprécié, votre participation et votre contribution de qualité à la rencontre de Bamako, tenue récemment sur la « VISION 2010 ».
Nous avons pu mesurer, votre intérêt pour toutes les questions qui touchent la Mère et l’enfant. Cette fibre sociale, en vous, s’est manifesté par la création, en 1998, de la Fondation « Children of Africa » pour la promotion de l’enfance en Afrique.
Vous donniez ainsi, un cadre formel à votre engagement, depuis 1980, dans les missions humanitaires auprès des populations défavorisées, de Côte d’Ivoire. On comprend dès lors, le regard empreint d’affection que vous jetez sur le sort des enfants, victimes de la traite.
Ainsi, le 16 juin dernier, à l’occasion de la journée de l’Enfant Africain, vous avez fait un vigoureux plaidoyer en leur faveur, je vous cite : « … bien que des efforts aient été faits dans notre pays, nous sommes toujours confrontés à cette tragédie liée à l’économie agricole… en effet, il est nécessaire d’agir en amont sur les trafics qui amènent les enfants dans les plantations de café et de cacao. Une telle action, implique une coopération régionale que nous devons soutenir de toutes nos forces ». Fin de citation.
Madame la Présidente ;
Mesdames, Messieurs,
Je suis en Côte d’Ivoire, pour vous apporter le soutien de mon pays et de la Fondation pour l’Enfance, que je dirige, dans ce noble combat. La traite des Enfants est une pratique immorale contre laquelle nos Etats se sont élevés depuis des années.
On s’en souvient, à Bouaké, le premier Septembre 2000, la Côte d’Ivoire et le Mali ont signé l’accord de coopération, pour lutter contre ce fléau.
Ce document-cadre, fait l’objet d’évaluation régulière, qui indique les progrès accomplis et les moyens mis en œuvre, pour combattre le phénomène.
Toutefois, nous restons convaincus du long chemin à parcourir, pour circonscrire ce mal, violation flagrante du Droit des Enfants.
Madame la Première Dame,
Votre décision de présider cette rencontre donnera, j’en suis sûre, une dimension politique salutaire à l’action des équipe engagées sur le terrain, au quotidien.
Pour notre part, nous consentirons tous les efforts contre cette pratique inhumaine, afin qu’ensemble, nous puissions rendre aux enfants victimes, leur dignité et préserver des milliers d’autres, des réseaux criminels à l’origine de cette traite, car là où il y a une volonté, il y a forcément un chemin.
C’est pourquoi, nous recommandons vivement, la mise en œuvre des conclusions de cette 4ème rencontre.
Chère Sœur,
Je voudrais vous remercier, du fond du cœur, pour l’accueil si chaleureux et les marques d’attention, dont ma délégation et moi-même avons bénéficié.
Je ne saurais terminer, Mesdames, Messieurs, sans transmettre le salut du Président Amadou Toumani TOURE, à son frère et ami, son Excellence Monsieur le Président Alassane Dramane OUATTARA et à l’ensemble du peuple de Côte d’Ivoire
Je vous remercie !