Les travaux de la 4ème rencontre de suivi de l’accord Côte d’Ivoire-Mali en matière de lutte contre la traite transfrontalière des enfants, débutés le 29 octobre dernier, ont été clos le lundi 31 octobre 2011, par la Première dame Dominique Ouattara, en présence de son homologue malien.
Dans son allocution de clôture de ces assises, Dominique Ouattara a d’abord révélé le tort que ce phénomène cause aux enfants dans leurs droits les plus fondamentaux dont le droit de vivre avec leurs parents, le droit à l’accès aux services éducatifs et sanitaires, le droit à la protection contre l’exploitation économique et la maltraitance, le droit aux jeux et aux loisirs. Avant de marquer sa volonté de prendre le problème à bras-le-corps. « Pour ma part, étant résolument engagée pour le bien-être des enfants à travers ma Fondation Children Of Africa, j’ai décidé de m’impliquer personnellement dans la lutte contre la traite transfrontalière des enfants entre la Côte d’Ivoire et le Mali », a-t-elle indiqué.
Félicitant son hôte, Mme Lobbo Touré, Première dame de la république du Mali pour sa détermination à œuvrer depuis de longues années contre la mortalité maternelle et néonatale, Dominique Ouattara n’a pas hésité à solliciter l’appui de son homologue malien dans la lutte contre la traite des enfants aux frontières de leurs pays respectifs. « Souvenons-nous que l’avenir appartient aux enfants et que nos luttes les plus acharnées sont celles que nous engageons pour leur donner une vie meilleure », a conclu la Première dame de Côte d’Ivoire. L’honneur est revenu au ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Goudou Coffie Raymonde, de lire le communiqué final qui a sanctionné ces trois jours de travaux. Selon elle, au regard des problématiques soulevées dans les différentes présentations et débats et qui constituent des entraves à la bonne exécution des actions de lutte contre le phénomène de la traite, les participants ont formulé des recommandations.
Il s’agit, entre autres, de réviser l’Accord pour prendre en compte les thématiques émergentes et pour instituer un secrétariat permanant, introduire dans les programmes scolaires et autres programmes de formation des modules relatifs à la traite des enfants, former les médias à la culture de protection de l’enfant, créer et renforcer des structures de prise en charge des enfants en situation d’urgence, encourager le réseautage entre structures, tant au niveau national qu’au niveau transfrontalier, entre les deux pays et organiser un sommet des Premières dames d’Afrique sur la traite des enfants à Abidjan.
ADAYE KOUAKOU
Dans son allocution de clôture de ces assises, Dominique Ouattara a d’abord révélé le tort que ce phénomène cause aux enfants dans leurs droits les plus fondamentaux dont le droit de vivre avec leurs parents, le droit à l’accès aux services éducatifs et sanitaires, le droit à la protection contre l’exploitation économique et la maltraitance, le droit aux jeux et aux loisirs. Avant de marquer sa volonté de prendre le problème à bras-le-corps. « Pour ma part, étant résolument engagée pour le bien-être des enfants à travers ma Fondation Children Of Africa, j’ai décidé de m’impliquer personnellement dans la lutte contre la traite transfrontalière des enfants entre la Côte d’Ivoire et le Mali », a-t-elle indiqué.
Félicitant son hôte, Mme Lobbo Touré, Première dame de la république du Mali pour sa détermination à œuvrer depuis de longues années contre la mortalité maternelle et néonatale, Dominique Ouattara n’a pas hésité à solliciter l’appui de son homologue malien dans la lutte contre la traite des enfants aux frontières de leurs pays respectifs. « Souvenons-nous que l’avenir appartient aux enfants et que nos luttes les plus acharnées sont celles que nous engageons pour leur donner une vie meilleure », a conclu la Première dame de Côte d’Ivoire. L’honneur est revenu au ministre de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Goudou Coffie Raymonde, de lire le communiqué final qui a sanctionné ces trois jours de travaux. Selon elle, au regard des problématiques soulevées dans les différentes présentations et débats et qui constituent des entraves à la bonne exécution des actions de lutte contre le phénomène de la traite, les participants ont formulé des recommandations.
Il s’agit, entre autres, de réviser l’Accord pour prendre en compte les thématiques émergentes et pour instituer un secrétariat permanant, introduire dans les programmes scolaires et autres programmes de formation des modules relatifs à la traite des enfants, former les médias à la culture de protection de l’enfant, créer et renforcer des structures de prise en charge des enfants en situation d’urgence, encourager le réseautage entre structures, tant au niveau national qu’au niveau transfrontalier, entre les deux pays et organiser un sommet des Premières dames d’Afrique sur la traite des enfants à Abidjan.
ADAYE KOUAKOU