Les deux Premières dames ont apporté leur caution aux conclusions des travaux.
Les deux Premières dames de côte d’ivoire et du Mali unissent leurs forces pour mettre un frein à la traite transfrontalière qui atteint des milliers d’enfants dans leurs droits les plus fondamentaux.
Une grande première depuis la création en 2004 à Bouaké, de la Commission permanente de suivi de l’accord de coopération entre la Côte d’Ivoire et le Mali en matière de lutte contre la traite des enfants. D’ailleurs, à cet effet, une motion de remerciement au nom de la délégation malienne a été lue par la ministre malienne de la Promotion de la femme et de la Famille, Dr Mariam Kalapo Konaré, à l’adresse des autorités ivoiriennes, à la cérémonie de clôture de la 4ème rencontre et cet accord. Ou Mmes Dominique Ouattara et Lobbo Traoré Touré ont réaffirmé leur engagement commun pourpour le bien-être de la femme et de l’enfant. En présence de plusieurs membres des gouvernements ivoirien et malien des organismes internationaux de protection de l’enfance. Au regard des problématiques soulevés dans la présentation et débats lors des travaux qui se sont déroulés du 29 au 31 octobre, plusieurs recommandations, égrenées par Dr. Raymonde Goudou Coffie, ministre de la Famille, de la Femme et de l’enfant ont été faites. Entre autre la révision de l’accord pour prendre en compte les thématiques émergentes (excision, mariage précoce, mendicité, exploitation sexuelle) ; l’élaboration d’un manuel commun de procédures de prises en charge ; le renforcement des mécanismes judicaires de protection ; la mobilisation des fonds pour la mise en œuvre du plan d’action commun. Des résolutions que Mme Lobbo traoré Touré dont on connait depuis longtemps l’engagement dans la lutte contre la mortalité maternelle et néonatale à travers sa « Fondation pour l’enfance ». Elle a dit sa détermination à poursuivre son combat en faveur des couches les plus vulnérables, sans exclusive. Dans son discours de clôture Mme Dominique Ouattara Première Dame de Côte d’Ivoire a reconnu que malgré cet accord et les efforts accomplis, beaucoup reste à faire, « mais notre détermination commune viendra à bout des obstacles ». Aussi s’est-elle engagée à servir pleinement pour le succès de ce plan d’action, à travers non seulement sa fondation « Children of Africa », mais aussi en suscitant « L’implication des autorités ivoirienne de la prise en charge des enfants en situation d’urgence. C’est pourquoi j’ai rencontré à washington au mois de septembre dernier les chocolatiers qui nous ont donné l’assurance de leur soutien à ce projet »
Dominique Ouattara a, par ailleurs, salué les différents programmes qui ont permis « de retirer les enfants du travail et de leur proposer des alternatives telles que les bourses scolaires, des formations professionnelles et des aides aux parents sous forme d’activités génératrice de revenus ». Avant de faire ce plaidoyer : «Souvenons-nous que l’avenir appartient aux enfants et que nos luttes les plus acharnées sont celles que nous engageons pour leur donner une vie meilleure. » c’est sur ces notes pleines d’espoir qu’elle a déclaré la fin des travaux de ces 4ème assises ivoiro-malienne sur la traite transfrontalière des enfants. Faut-il rappeler, le phénomène de la traite des enfants entre la Côte d’ivoire et le Mali à des fins d’exploitation avait été relevée en 1998 par rapport d’enquête de l’Unicef.
Après ces assises, se tiendra bientôt à Abidjan, un sommet des Premières Dames d’Afrique sur ce fléau.
Les deux Premières dames de côte d’ivoire et du Mali unissent leurs forces pour mettre un frein à la traite transfrontalière qui atteint des milliers d’enfants dans leurs droits les plus fondamentaux.
Une grande première depuis la création en 2004 à Bouaké, de la Commission permanente de suivi de l’accord de coopération entre la Côte d’Ivoire et le Mali en matière de lutte contre la traite des enfants. D’ailleurs, à cet effet, une motion de remerciement au nom de la délégation malienne a été lue par la ministre malienne de la Promotion de la femme et de la Famille, Dr Mariam Kalapo Konaré, à l’adresse des autorités ivoiriennes, à la cérémonie de clôture de la 4ème rencontre et cet accord. Ou Mmes Dominique Ouattara et Lobbo Traoré Touré ont réaffirmé leur engagement commun pourpour le bien-être de la femme et de l’enfant. En présence de plusieurs membres des gouvernements ivoirien et malien des organismes internationaux de protection de l’enfance. Au regard des problématiques soulevés dans la présentation et débats lors des travaux qui se sont déroulés du 29 au 31 octobre, plusieurs recommandations, égrenées par Dr. Raymonde Goudou Coffie, ministre de la Famille, de la Femme et de l’enfant ont été faites. Entre autre la révision de l’accord pour prendre en compte les thématiques émergentes (excision, mariage précoce, mendicité, exploitation sexuelle) ; l’élaboration d’un manuel commun de procédures de prises en charge ; le renforcement des mécanismes judicaires de protection ; la mobilisation des fonds pour la mise en œuvre du plan d’action commun. Des résolutions que Mme Lobbo traoré Touré dont on connait depuis longtemps l’engagement dans la lutte contre la mortalité maternelle et néonatale à travers sa « Fondation pour l’enfance ». Elle a dit sa détermination à poursuivre son combat en faveur des couches les plus vulnérables, sans exclusive. Dans son discours de clôture Mme Dominique Ouattara Première Dame de Côte d’Ivoire a reconnu que malgré cet accord et les efforts accomplis, beaucoup reste à faire, « mais notre détermination commune viendra à bout des obstacles ». Aussi s’est-elle engagée à servir pleinement pour le succès de ce plan d’action, à travers non seulement sa fondation « Children of Africa », mais aussi en suscitant « L’implication des autorités ivoirienne de la prise en charge des enfants en situation d’urgence. C’est pourquoi j’ai rencontré à washington au mois de septembre dernier les chocolatiers qui nous ont donné l’assurance de leur soutien à ce projet »
Dominique Ouattara a, par ailleurs, salué les différents programmes qui ont permis « de retirer les enfants du travail et de leur proposer des alternatives telles que les bourses scolaires, des formations professionnelles et des aides aux parents sous forme d’activités génératrice de revenus ». Avant de faire ce plaidoyer : «Souvenons-nous que l’avenir appartient aux enfants et que nos luttes les plus acharnées sont celles que nous engageons pour leur donner une vie meilleure. » c’est sur ces notes pleines d’espoir qu’elle a déclaré la fin des travaux de ces 4ème assises ivoiro-malienne sur la traite transfrontalière des enfants. Faut-il rappeler, le phénomène de la traite des enfants entre la Côte d’ivoire et le Mali à des fins d’exploitation avait été relevée en 1998 par rapport d’enquête de l’Unicef.
Après ces assises, se tiendra bientôt à Abidjan, un sommet des Premières Dames d’Afrique sur ce fléau.
