Du 29 au 31 octobre s’est tenu à Abidjan la 4ème rencontre de la Commission Permanente de Suivi de l’Accord de Coopération entre la République de Côte d’Ivoire et la République du Mali, en matière de lutte contre la traite transfrontalière des enfants.
Evaluer la mise en œuvre de l’accord sur la période 2009 – 2011 ainsi que les recommandations de la 3ème rencontre, élaborer un plan d’action commun de la mise en œuvre de l’accord. Elaborer une procédure standard opérationnelle de prise en charge des enfants victimes de traite. Tels sont les objectifs de la 4ème rencontre de la commission permanente de suivi de l’accord de coopération entre la République de Côte d’Ivoire et la République du Mali, en matière de lutte contre la traite transfrontalière des enfants qui s’est tenue du 29 au 31 Octobre 2011 à Abidjan. Selon Mme Dominique Ouattara Première dame de Côte d’ivoire, le phénomène de la traite des enfants entre la Côte d’ivoire et le Mali à des fins d’exploitation, avait été relevé en 1998par rapport d’enquête de l’UNICEF, le soulignant comme étant une réalité préoccupante. La Côte d’ivoire et le Mali avait alors signé en 2000, à Bouaké, un accord de coopération de lutte contre la traite transfrontalière des enfants, qui marquait la volonté de nos deux états à prendre le problème à bras le corps.
Cependant malgré cet accord et les efforts accomplis, trop d’enfants continuent d’être victimes de cet odieux trafic, et la Côte d’ivoire ainsi que les autres pays de la sous-région sont fréquemment interpellés sur l’utilisation des enfants dans la cacao culture. A déploré Mme Ouattara. Avant d’ajouter « Pour ma part, étant résolument engagée pour le bienêtre des enfants, à travers ma Fondation Children Of africa, j’ai décidé de m’impliquer personnellement dans le règlement de ce problèmes qui atteint nos enfants dans leurs droits les plus fondamentaux : le droit de vivre avec leurs parents ; le droit à l’accès aux services éducatifs et sanitaires ;le droit à la protection contre l’exploitation économique et la maltraitance ; le droit aux jeux et aux loisirs. La Première dame du Mali, Mme Touré Lobbo Traoré pour sa part a expliqué le sens de son combat. « Je suis en Côte d’Ivoire pour vous apporter le soutien de mon pays et de la Fondation pour l’enfance, que je dirige, dans ce noble combat. La traite des enfants est une pratique immorale contre laquelle nos Etats se sont élevés depuis des années »a-t-elle relevé. Au regard des problématiques soulevées dans les différents présentation et débats qui constituent des entraves à la bonne exécution des actions de lutte contre le phénomène de traite, les participants ont recommandé entre autre la révision de l’accord pour prendre en compte les thématiques émergentes (MGF, mariage précoce, mendicité, exploitation sexuelle à des fins commerciales enfants non accompagnés etc.) et pour instituer un secrétariat permanent ; la mobilisation des fonds pour la mise en œuvre d’un plan d’action commun. Par ailleurs , la rencontre a mis en exergue la nécessité d’introduire dans les programmes scolaires et autres programmes de formations, des modules relatifs à la traite des enfants ; d’impliquer davantage les communautés à la base dans l’identification de la mise en œuvre des actions de lutte contre la traite des enfants ; sans oublier la mise en place des mécanismes simple et fonctionnels de communication et de partage des informations et de données entre les acteurs . ils encourage le réseautage entre structures, tant au niveau matériels qu’au niveau transformation entre les deux pays l’implication des avantages dans la prise en charge des enfants victimes de traite et recommandent l’organisation d’un sommet des Premières Dames d’Afrique au la Traite des Enfants à Abidjan.
Evaluer la mise en œuvre de l’accord sur la période 2009 – 2011 ainsi que les recommandations de la 3ème rencontre, élaborer un plan d’action commun de la mise en œuvre de l’accord. Elaborer une procédure standard opérationnelle de prise en charge des enfants victimes de traite. Tels sont les objectifs de la 4ème rencontre de la commission permanente de suivi de l’accord de coopération entre la République de Côte d’Ivoire et la République du Mali, en matière de lutte contre la traite transfrontalière des enfants qui s’est tenue du 29 au 31 Octobre 2011 à Abidjan. Selon Mme Dominique Ouattara Première dame de Côte d’ivoire, le phénomène de la traite des enfants entre la Côte d’ivoire et le Mali à des fins d’exploitation, avait été relevé en 1998par rapport d’enquête de l’UNICEF, le soulignant comme étant une réalité préoccupante. La Côte d’ivoire et le Mali avait alors signé en 2000, à Bouaké, un accord de coopération de lutte contre la traite transfrontalière des enfants, qui marquait la volonté de nos deux états à prendre le problème à bras le corps.
Cependant malgré cet accord et les efforts accomplis, trop d’enfants continuent d’être victimes de cet odieux trafic, et la Côte d’ivoire ainsi que les autres pays de la sous-région sont fréquemment interpellés sur l’utilisation des enfants dans la cacao culture. A déploré Mme Ouattara. Avant d’ajouter « Pour ma part, étant résolument engagée pour le bienêtre des enfants, à travers ma Fondation Children Of africa, j’ai décidé de m’impliquer personnellement dans le règlement de ce problèmes qui atteint nos enfants dans leurs droits les plus fondamentaux : le droit de vivre avec leurs parents ; le droit à l’accès aux services éducatifs et sanitaires ;le droit à la protection contre l’exploitation économique et la maltraitance ; le droit aux jeux et aux loisirs. La Première dame du Mali, Mme Touré Lobbo Traoré pour sa part a expliqué le sens de son combat. « Je suis en Côte d’Ivoire pour vous apporter le soutien de mon pays et de la Fondation pour l’enfance, que je dirige, dans ce noble combat. La traite des enfants est une pratique immorale contre laquelle nos Etats se sont élevés depuis des années »a-t-elle relevé. Au regard des problématiques soulevées dans les différents présentation et débats qui constituent des entraves à la bonne exécution des actions de lutte contre le phénomène de traite, les participants ont recommandé entre autre la révision de l’accord pour prendre en compte les thématiques émergentes (MGF, mariage précoce, mendicité, exploitation sexuelle à des fins commerciales enfants non accompagnés etc.) et pour instituer un secrétariat permanent ; la mobilisation des fonds pour la mise en œuvre d’un plan d’action commun. Par ailleurs , la rencontre a mis en exergue la nécessité d’introduire dans les programmes scolaires et autres programmes de formations, des modules relatifs à la traite des enfants ; d’impliquer davantage les communautés à la base dans l’identification de la mise en œuvre des actions de lutte contre la traite des enfants ; sans oublier la mise en place des mécanismes simple et fonctionnels de communication et de partage des informations et de données entre les acteurs . ils encourage le réseautage entre structures, tant au niveau matériels qu’au niveau transformation entre les deux pays l’implication des avantages dans la prise en charge des enfants victimes de traite et recommandent l’organisation d’un sommet des Premières Dames d’Afrique au la Traite des Enfants à Abidjan.