Dans une déclaration dont copie a été transmise à notre rédaction, le planteur d`Adaou, dans le département d`Aboisso, réagit formellement pour s`insurger contre des ``allégations`` contre sa personne, l`impliquant dans une opération de déstabilisation du régime. Indigné par ces allégations, le doyen Georges Bléhoué Aka hausse le ton et invite les auteurs ``de fausses informations`` à se ressaisir, pour ce qui le concerne, après les moments difficiles qu`il a traversés durant la crise.
Des informations me parviennent de façon récurrente, faisant état de ce que je financerais des activités visant à déstabiliser le régime en place. On me conseille même de quitter le pays. Je demande aux colporteurs de fausses informations d’arrêter. Mais, diantre, Bléhoué Aka va contribuer à déstabiliser son propre pays pour rechercher quoi? Je n’ai jamais été à l’école et mon bic, c’est la machette. Ce que je sais faire, c’est le travail de la terre. Je ne serai jamais ministre ou directeur de société d’Etat et que sais-je encore. Je ne vise aucun poste électif. Je le répète à souhait; je ne suis pas un homme politique, mais je suis un acteur social et de développement. Je ne détruis pas mais je construis. Je ne suis pas membre d’une instance du FPI. C’est Laurent Gbagbo qui est mon ami et ça je ne le nie pas. Notre amitié remonte depuis les années 1989. Je tiens à dire aux forces du mal que si je suis rentré au pays, c’est parce que je n’ai rien à me reprocher. Je m’étais mis à l’abri aux heures chaudes de la crise et j’ai répondu à l’appel du président de la République SEM Alassane Ouattara invitant tous les Ivoiriens à regagner leur pays. Pour rien au monde, je ne quitterai mon pays en m’éloignant de mes plantations. Le travail de la terre, c’est ma vie. Je suis confiant car le président de la République prône un Etat de droit. Arrêtez vos affirmations sans fondement, car je souffre déjà beaucoup du gel de mes avoirs. Ma résidence a été pillée et saccagée, mes véhicules de ramassage de mes productions, le matériel de travail (atomiseurs, machines à décortiqueuses…) ont été volés… Je me bats pour la réhabilitation de ma résidence, pour le renouvellement de mon matériel de travail afin de soutenir l’Economie de mon pays à travers l’agriculture et cela demande beaucoup d’argent. C’est aussi la rentrée scolaire. Je dois faire face à la scolarité de mes enfants qui se trouvent dans des universités étrangères. “Alors, arrêtez vos moqueries”. Bléhoué Aka reste au pays et continuera d’apporter modestement sa pierre à la construction de la Côte d’Ivoire avec la même ardeur et la même détermination. J’invite tous ceux qui veulent visiter mes plantations à ne pas hésiter. Venez et jugez-en vous-mêmes. J’ai construit ma vie à la sueur de mon front. Nous devons travailler davantage sinon à quoi serviront tous ces milliards que le président de la République est en train d’obtenir pour le développement de la Côte d’Ivoire? Redoublons d’ardeur au travail afin de mieux ressentir l’impact du développement dans notre quotidien. Les défis sont énormes; quand je prends mon secteur d’activité qui est l’agriculture, nous travaillons encore avec la daba et la machette. Nous sommes encore au stade de la production des matières premières, loin de la mécanisation et de l’industrialisation. On parle de chômage et pourtant il y a un manque de main d’œuvre dans les plantations. Voilà des débats constructifs qui méritent d’être menés. Le gouvernement entreprend des réformes dans plusieurs secteurs d’activité; travaillons à leur réussite pour le développement économique et social de la Côte d’Ivoire que nous aimons tous. Allons sincèrement, franchement, à la réconciliation et à la paix.
BLEHOUE Aka Georges
Exploitant Agricole
Des informations me parviennent de façon récurrente, faisant état de ce que je financerais des activités visant à déstabiliser le régime en place. On me conseille même de quitter le pays. Je demande aux colporteurs de fausses informations d’arrêter. Mais, diantre, Bléhoué Aka va contribuer à déstabiliser son propre pays pour rechercher quoi? Je n’ai jamais été à l’école et mon bic, c’est la machette. Ce que je sais faire, c’est le travail de la terre. Je ne serai jamais ministre ou directeur de société d’Etat et que sais-je encore. Je ne vise aucun poste électif. Je le répète à souhait; je ne suis pas un homme politique, mais je suis un acteur social et de développement. Je ne détruis pas mais je construis. Je ne suis pas membre d’une instance du FPI. C’est Laurent Gbagbo qui est mon ami et ça je ne le nie pas. Notre amitié remonte depuis les années 1989. Je tiens à dire aux forces du mal que si je suis rentré au pays, c’est parce que je n’ai rien à me reprocher. Je m’étais mis à l’abri aux heures chaudes de la crise et j’ai répondu à l’appel du président de la République SEM Alassane Ouattara invitant tous les Ivoiriens à regagner leur pays. Pour rien au monde, je ne quitterai mon pays en m’éloignant de mes plantations. Le travail de la terre, c’est ma vie. Je suis confiant car le président de la République prône un Etat de droit. Arrêtez vos affirmations sans fondement, car je souffre déjà beaucoup du gel de mes avoirs. Ma résidence a été pillée et saccagée, mes véhicules de ramassage de mes productions, le matériel de travail (atomiseurs, machines à décortiqueuses…) ont été volés… Je me bats pour la réhabilitation de ma résidence, pour le renouvellement de mon matériel de travail afin de soutenir l’Economie de mon pays à travers l’agriculture et cela demande beaucoup d’argent. C’est aussi la rentrée scolaire. Je dois faire face à la scolarité de mes enfants qui se trouvent dans des universités étrangères. “Alors, arrêtez vos moqueries”. Bléhoué Aka reste au pays et continuera d’apporter modestement sa pierre à la construction de la Côte d’Ivoire avec la même ardeur et la même détermination. J’invite tous ceux qui veulent visiter mes plantations à ne pas hésiter. Venez et jugez-en vous-mêmes. J’ai construit ma vie à la sueur de mon front. Nous devons travailler davantage sinon à quoi serviront tous ces milliards que le président de la République est en train d’obtenir pour le développement de la Côte d’Ivoire? Redoublons d’ardeur au travail afin de mieux ressentir l’impact du développement dans notre quotidien. Les défis sont énormes; quand je prends mon secteur d’activité qui est l’agriculture, nous travaillons encore avec la daba et la machette. Nous sommes encore au stade de la production des matières premières, loin de la mécanisation et de l’industrialisation. On parle de chômage et pourtant il y a un manque de main d’œuvre dans les plantations. Voilà des débats constructifs qui méritent d’être menés. Le gouvernement entreprend des réformes dans plusieurs secteurs d’activité; travaillons à leur réussite pour le développement économique et social de la Côte d’Ivoire que nous aimons tous. Allons sincèrement, franchement, à la réconciliation et à la paix.
BLEHOUE Aka Georges
Exploitant Agricole