Le président Alassane Ouattara a mis fin, le vendredi 18 novembre 2011, à sa visite d’amitié et de travail entamée dans la sous-région. Un sommet de haut niveau entre le chef de l’Etat et son homologue burkinabé Blaise Compaoré a marqué la dernière étape de cette tournée. Les deux chefs d’Etat ont signé, à l’issue du deuxième conseil des ministres conjoint à Ouagadougou, un traité de coopération en vue de renforcer les relations bilatérales entre leurs deux pays. Ce traité qui a sanctionné la visite de travail et d’amitié du président, Alassane Ouattara dans la capitale Burkinabé, prévoit la réalisation de trois projets économiques majeurs communs.
A savoir, la construction d’une autoroute reliant Yamoussoukro et Ouagadougou, la réfection de la ligne ferroviaire Abidjan-Ouagadougou et son prolongement jusqu’à Niamey, au Niger, l’interconnexion des réseaux électriques entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso. Selon le communiqué final de ce Conseil qui a précédé la signature du traité, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire entendent, par cet acte, coopérer dans divers domaines socioéconomiques et diplomatiques. Les deux délégations se sont également accordées sur la représentation diplomatique réciproque, en cas de nécessité, la mise en œuvre effective des lois relatives au foncier rural dans chaque pays, le renforcement de la coopération administrative et transfrontalière, l’implication des hommes d’affaires des deux Etats dans le renforcement de leurs relations.
La Côte d’Ivoire et le Burkina Faso ont aussi décidé de renforcer les échanges d’informations en matière de sécurité, tout en réaffirmant leur volonté d’œuvrer à garantir la libre circulation des biens et des personnes à leurs frontières et sur leurs territoires respectifs. Par ailleurs, les deux chefs d’Etat sont convenus que la coopération entre Abidjan et Ouagadougou sera également renforcée dans les domaines de la culture et du tourisme, du changement climatique et de la gestion des forêts, du transport, du commerce et de l’industrie, ainsi que ceux de l’éducation et de la recherche scientifique. C’est un grand coup réussi par le président Alassane Ouattara car, le fossé entre la Côte d’Ivoire et la République sœur du Burkina Faso, au cours de cette dernière décennie, était grand. Toutes les brouilles au niveau de la coopération qui existaient entre les deux pays, sous Laurent Gbagbo, ont été levées par le président Alassane Ouattara, au cours de cette visite.
ADAYE KOUAKOU
A savoir, la construction d’une autoroute reliant Yamoussoukro et Ouagadougou, la réfection de la ligne ferroviaire Abidjan-Ouagadougou et son prolongement jusqu’à Niamey, au Niger, l’interconnexion des réseaux électriques entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso. Selon le communiqué final de ce Conseil qui a précédé la signature du traité, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire entendent, par cet acte, coopérer dans divers domaines socioéconomiques et diplomatiques. Les deux délégations se sont également accordées sur la représentation diplomatique réciproque, en cas de nécessité, la mise en œuvre effective des lois relatives au foncier rural dans chaque pays, le renforcement de la coopération administrative et transfrontalière, l’implication des hommes d’affaires des deux Etats dans le renforcement de leurs relations.
La Côte d’Ivoire et le Burkina Faso ont aussi décidé de renforcer les échanges d’informations en matière de sécurité, tout en réaffirmant leur volonté d’œuvrer à garantir la libre circulation des biens et des personnes à leurs frontières et sur leurs territoires respectifs. Par ailleurs, les deux chefs d’Etat sont convenus que la coopération entre Abidjan et Ouagadougou sera également renforcée dans les domaines de la culture et du tourisme, du changement climatique et de la gestion des forêts, du transport, du commerce et de l’industrie, ainsi que ceux de l’éducation et de la recherche scientifique. C’est un grand coup réussi par le président Alassane Ouattara car, le fossé entre la Côte d’Ivoire et la République sœur du Burkina Faso, au cours de cette dernière décennie, était grand. Toutes les brouilles au niveau de la coopération qui existaient entre les deux pays, sous Laurent Gbagbo, ont été levées par le président Alassane Ouattara, au cours de cette visite.
ADAYE KOUAKOU