La journée mondiale du “Play Fair” (“jouer honnêtement”) organisée par Microsoft met l’accent sur les $1.5 milliards de pertes causées aux économies locales.
Dakar le 17 Novembre 2011 – Pour attirer l'attention sur les dangers de la contrefaçon de logiciels dans le monde entier, Microsoft suscite chaque année une «Play Fair Day", une initiative mondiale pour sensibiliser le public aux nouvelles technologies de Microsoft et à la coopération avec les pouvoirs publics en matière de lutte contre la contrefaçon, ainsi que sur les ressources éducatives qui peuvent aider les consommateurs en Afrique et partout dans le monde à préserver la sécurité de leurs ordinateurs grâce aux logiciels originaux.
Les entreprises qui choisissent d’utiliser des logiciels illicites volent plus d’un milliard et demi de dollars à leurs concurrents qui eux travaillent honnêtement en utilisant des logiciels originaux, et cela dans une région comme l’Afrique de l’Ouest et du Centrale où 80 % des logiciels sont contrefaits, selon l’Etude 2010 d’IDC. C’est un défi permanent pour les consommateurs de distinguer le vrai du faux. En fait, beaucoup de gens sont conscients des dangers réels causés dans leur vie privée ou sur la sécurité de leurs ordinateurs en utilisant des logiciels contrefaits. Ils affirment même qu’ils choisiraient des logiciels originaux s’ils en avaient la possibilité. Mais, avec la présence d’un nombre important de copies ressemblantes de logiciels contrefaits sur le marché aujourd'hui, la plupart des consommateurs pensent qu'ils ne peuvent pas par eux-mêmes reconnaitre de logiciels de contrefaçon.
Microsoft publie aujourd’hui les résultats de la première étude jamais réalisée qui examine l’impact financier de l’utilisation de logiciels illicites sur l’environnement concurrentiel dans les économies en développement. En soutien au premier “Play Fair Day”, une initiative mondiale destinée à souligner l’importance d’utiliser des logiciels légaux, l’étude commandée apporte la preuve tangible des nuisances causées par le piratage de logiciels aux entreprises qui choisissent de travailler dans la légalité.
Les entreprises informatiques légalement établies, souvent des TPE et des PME, sont les premières à souffrir de la contrefaçon.« Il est important de protéger les professionnels informatiques qui subissent de plein fouet les dégâts causés par la concurrence déloyale de la contrefaçon. Au-delà des pertes économiques, la contrefaçon de logiciels menace, plus généralement, la pérennité de nos activités d’acteurs économiques honnêtes et sérieux », souligne Yasser Aïdibé de BUROTIC Diffusion, un important revendeur informatique au Sénégal.
Dans le cadre de l’étude des conséquences au sens large de la contrefaçon de logiciels, des analystes du cabinet Keystone Strategy(disponible sur le site internet www.keystonestrategy.com) ont évalué l’avantage concurrentiel déloyal procuré par l’utilisation de logiciels illicites. En Chine, les sociétés qui «travaillent honnêtement » avec des logiciels licites et disposant d’une licence légale perdent plus de 863 millions de dollars au profit des sociétés qui utilisent des logiciels pirates. Cela se traduit par plus d’un milliard de dollars chaque année qui ne peut être réinvestis dans l’économie. Alors que ces réinvestissements représentent pour la Chine, par exemple 500 nouveaux sites de fabrication, 65.000 nouvelles machines et ou 200.000 salariés de plus.
« La contrefaçon de logiciels est un fléau pour l’économie en générale. En outre, dans un environnement économique difficile, ces pratiques frauduleuses sont souvent synonymes de perte de chiffre d’affaires, de destruction des possibilités de création d’emploi et de ralentissement de la croissance économique et le plus souvent au détriment de PME innovantes », a fait savoir Serge Ntamack – Directeur du Département Propriété Intellectuelle de Microsoft Afrique de l’Ouest et Centrale. A cet égard continue-t-il, « l’injustice créée par le piratage engendre un désavantage concurrentiel stupéfiant pour les Etats et les entreprises du secteur qui s’élève à plusieurs centaines de millions de francs CFA par an».
Dans certains pays, Microsoft a été en mesure de déterminer avec exactitude combien le piratage coûte aux entreprises concurrentes : 278 millions de dollars au Brésil, 92 en Russie, 344 millions en Inde, et enfin 863 millions en Chine. Microsoft publie ces résultats dans le cadre du Play Fair Day, dont le but est d’éduquer les entreprises, consommateurs, et gouvernements, pour qu’ils jouent selon les règles. L’objectif, c’est aussi de leur apprendre les avantages liés à l’utilisation des logiciels légaux, et de promouvoir le respect de la propriété intellectuelle. Microsoft est actif dans plus de 50 pays dans le monde pour montrer aux entreprises, aux gouvernements et aux consommateurs que l’utilisation des logiciels contrefaits n’est pas seulement risquée pour leurs données personnelles, mais qu’elle est également dangereuse pour le paysage économique.
Afin de protéger la profession, il est plus que nécessaire de sensibiliser de plus en plus contre ce phénomène et surtout de rappeler à l’ordre les fraudeurs. En parallèle, les professionnels de l’informatique sont toujours plus nombreux à s’élever contre la contrefaçon. Travailler honnêtement commence lorsque les entreprises et les particuliers prennent position et exigent qu’on leur fournisse des logiciels licites.
Plus d’informations sur l’impact financier des logiciels illicites sont disponibles sur le site http://www.playfairday.com. Davantage de données sur le piratage de logiciels et ses effets se trouvent sur le Twitter officiel de Microsoft anti-piratage @MSFT_BuyLegit.
Dakar le 17 Novembre 2011 – Pour attirer l'attention sur les dangers de la contrefaçon de logiciels dans le monde entier, Microsoft suscite chaque année une «Play Fair Day", une initiative mondiale pour sensibiliser le public aux nouvelles technologies de Microsoft et à la coopération avec les pouvoirs publics en matière de lutte contre la contrefaçon, ainsi que sur les ressources éducatives qui peuvent aider les consommateurs en Afrique et partout dans le monde à préserver la sécurité de leurs ordinateurs grâce aux logiciels originaux.
Les entreprises qui choisissent d’utiliser des logiciels illicites volent plus d’un milliard et demi de dollars à leurs concurrents qui eux travaillent honnêtement en utilisant des logiciels originaux, et cela dans une région comme l’Afrique de l’Ouest et du Centrale où 80 % des logiciels sont contrefaits, selon l’Etude 2010 d’IDC. C’est un défi permanent pour les consommateurs de distinguer le vrai du faux. En fait, beaucoup de gens sont conscients des dangers réels causés dans leur vie privée ou sur la sécurité de leurs ordinateurs en utilisant des logiciels contrefaits. Ils affirment même qu’ils choisiraient des logiciels originaux s’ils en avaient la possibilité. Mais, avec la présence d’un nombre important de copies ressemblantes de logiciels contrefaits sur le marché aujourd'hui, la plupart des consommateurs pensent qu'ils ne peuvent pas par eux-mêmes reconnaitre de logiciels de contrefaçon.
Microsoft publie aujourd’hui les résultats de la première étude jamais réalisée qui examine l’impact financier de l’utilisation de logiciels illicites sur l’environnement concurrentiel dans les économies en développement. En soutien au premier “Play Fair Day”, une initiative mondiale destinée à souligner l’importance d’utiliser des logiciels légaux, l’étude commandée apporte la preuve tangible des nuisances causées par le piratage de logiciels aux entreprises qui choisissent de travailler dans la légalité.
Les entreprises informatiques légalement établies, souvent des TPE et des PME, sont les premières à souffrir de la contrefaçon.« Il est important de protéger les professionnels informatiques qui subissent de plein fouet les dégâts causés par la concurrence déloyale de la contrefaçon. Au-delà des pertes économiques, la contrefaçon de logiciels menace, plus généralement, la pérennité de nos activités d’acteurs économiques honnêtes et sérieux », souligne Yasser Aïdibé de BUROTIC Diffusion, un important revendeur informatique au Sénégal.
Dans le cadre de l’étude des conséquences au sens large de la contrefaçon de logiciels, des analystes du cabinet Keystone Strategy(disponible sur le site internet www.keystonestrategy.com) ont évalué l’avantage concurrentiel déloyal procuré par l’utilisation de logiciels illicites. En Chine, les sociétés qui «travaillent honnêtement » avec des logiciels licites et disposant d’une licence légale perdent plus de 863 millions de dollars au profit des sociétés qui utilisent des logiciels pirates. Cela se traduit par plus d’un milliard de dollars chaque année qui ne peut être réinvestis dans l’économie. Alors que ces réinvestissements représentent pour la Chine, par exemple 500 nouveaux sites de fabrication, 65.000 nouvelles machines et ou 200.000 salariés de plus.
« La contrefaçon de logiciels est un fléau pour l’économie en générale. En outre, dans un environnement économique difficile, ces pratiques frauduleuses sont souvent synonymes de perte de chiffre d’affaires, de destruction des possibilités de création d’emploi et de ralentissement de la croissance économique et le plus souvent au détriment de PME innovantes », a fait savoir Serge Ntamack – Directeur du Département Propriété Intellectuelle de Microsoft Afrique de l’Ouest et Centrale. A cet égard continue-t-il, « l’injustice créée par le piratage engendre un désavantage concurrentiel stupéfiant pour les Etats et les entreprises du secteur qui s’élève à plusieurs centaines de millions de francs CFA par an».
Dans certains pays, Microsoft a été en mesure de déterminer avec exactitude combien le piratage coûte aux entreprises concurrentes : 278 millions de dollars au Brésil, 92 en Russie, 344 millions en Inde, et enfin 863 millions en Chine. Microsoft publie ces résultats dans le cadre du Play Fair Day, dont le but est d’éduquer les entreprises, consommateurs, et gouvernements, pour qu’ils jouent selon les règles. L’objectif, c’est aussi de leur apprendre les avantages liés à l’utilisation des logiciels légaux, et de promouvoir le respect de la propriété intellectuelle. Microsoft est actif dans plus de 50 pays dans le monde pour montrer aux entreprises, aux gouvernements et aux consommateurs que l’utilisation des logiciels contrefaits n’est pas seulement risquée pour leurs données personnelles, mais qu’elle est également dangereuse pour le paysage économique.
Afin de protéger la profession, il est plus que nécessaire de sensibiliser de plus en plus contre ce phénomène et surtout de rappeler à l’ordre les fraudeurs. En parallèle, les professionnels de l’informatique sont toujours plus nombreux à s’élever contre la contrefaçon. Travailler honnêtement commence lorsque les entreprises et les particuliers prennent position et exigent qu’on leur fournisse des logiciels licites.
Plus d’informations sur l’impact financier des logiciels illicites sont disponibles sur le site http://www.playfairday.com. Davantage de données sur le piratage de logiciels et ses effets se trouvent sur le Twitter officiel de Microsoft anti-piratage @MSFT_BuyLegit.