Pour être présente aux Jeux olympiques Londres 2012, la Côte d’Ivoire a l’impérieux devoir de bien se comporter à la Can des U 23 qui débute aujourd’hui 26 novembre et qui prendra fin le 10 décembre prochain au Maroc. Ce sont les villes de Tanger et Marrakech qui abriteront cette compétition de la Caf. Les Ivoiriens commencent demain à Marrakech avec comme adversaires les Sud-Africains. Une victoire d’entrée fera du bien au coach Alain Gouaméné qui n’a pu avoir les professionnelles qu’il souhaitait, cette compétition n’étant pas inscrite au calendrier Fifa. Arrivée à Marrakech (Ouest du Maroc) dans la soirée du lundi 21 novembre, Gouaméné et ses poulains se sont mis au travail. Déjà en retard sur la préparation, le coach Alain Gouaméné et ses joueurs se sont immédiatement mis à la tâche depuis le mardi 22 novembre sur la pelouse synthétique du stade d’entraînement du Koukabe Atelier Club de Marrakech (l’équipe fanion de cette localité qui est la 4ème ville du Maroc). Les Eléphants olympiques devront faire face à la température qui varie entre 9 et 29°C. Avec en plus, un temps pluvieux. La Côte d’Ivoire, malgré tout, doit donc tout mettre en œuvre pour épingler d’entrée de jeu l’Afrique du Sud avant d’affronter l’Egypte le mercredi 30 novembre à 20 h 30 à Marrakech et le Gabon le 3 décembre à Tanger à 19 h.
Objectif : faire partie des 3 premiers
La moitié des équipes engagées dans la compétition qualificative africaine pour le Tournoi Olympique de Football Masculin 2012 ont une chance d`aller à Londres. Il faudra donc s`attendre à des joutes électriques dès les premières rencontres. Les trois premiers de ce tournoi à huit disputé sur deux semaines obtiendront un billet direct pour les J.O tandis que le quatrième disputera un match de barrage sec contre une équipe asiatique à Coventry, en avril 2012. Les Eléphants olympiques ne doivent donc pas baisser les bras un seul instant. Les deux premiers de chaque groupe accèderont aux demi-finales, qui sont programmées le 6 décembre et dont les vainqueurs assureront leur présence à Londres. Le match pour la troisième place, le 10 décembre à Marrakech, ne risque pas de se disputer dans l`indifférence puisque son vainqueur se verra octroyer un autre sésame pour Londres. Quant au perdant, il aura droit à une séance de rattrapage avec le barrage intercontinental.
Maroc - Nigeria en attraction
Le Maroc a beau avoir remplacé l`Égypte à l`organisation au pied levé, il avait déjà prouvé sa motivation l`an dernier en confiant ses destinées olympiques à Pim Verbeek, le technicien néerlandais qui avait emmené l`Australie à la Coupe du Monde Afrique du Sud 2010. Pour les Lionceaux, la rencontre la plus importante du week-end sera peut-être celle contre le Nigeria, l’une des nations-phares du continent africain sur la scène olympique. Surnommée la Dream Team, la sélection nigériane avait décroché l`or à Atlanta 1996 et l`argent à Pékin 2008. L`équipe qui débutera le mieux la compétition se mettra sûrement dans la bonne dynamique pour affronter l`Algérie et le Sénégal lors des deux matches suivants.
La détermination des Nigérians
Même s`il devra se passer de nombreuses stars, telles que Joel Obi, Lukman Haruna et Ahmed Musa, le sélectionneur nigérian Austin Eguavoen a su forger une mentalité de gagneurs à ses protégés. "J`accorde toute ma confiance au groupe que nous emmenons au Maroc. L`équipe est de plus en plus convaincue qu`elle peut décrocher son billet pour Londres", annonce l`ancien défenseur des Super Eagles. Au total, la sélection masculine nigériane a participé à six éditions du Tournoi de Football Olympique, tout comme le Maroc, qui pourra s`appuyer sur l`immense avantage de jouer à domicile, contrairement aux autres équipes.
Eugène Djabia
Objectif : faire partie des 3 premiers
La moitié des équipes engagées dans la compétition qualificative africaine pour le Tournoi Olympique de Football Masculin 2012 ont une chance d`aller à Londres. Il faudra donc s`attendre à des joutes électriques dès les premières rencontres. Les trois premiers de ce tournoi à huit disputé sur deux semaines obtiendront un billet direct pour les J.O tandis que le quatrième disputera un match de barrage sec contre une équipe asiatique à Coventry, en avril 2012. Les Eléphants olympiques ne doivent donc pas baisser les bras un seul instant. Les deux premiers de chaque groupe accèderont aux demi-finales, qui sont programmées le 6 décembre et dont les vainqueurs assureront leur présence à Londres. Le match pour la troisième place, le 10 décembre à Marrakech, ne risque pas de se disputer dans l`indifférence puisque son vainqueur se verra octroyer un autre sésame pour Londres. Quant au perdant, il aura droit à une séance de rattrapage avec le barrage intercontinental.
Maroc - Nigeria en attraction
Le Maroc a beau avoir remplacé l`Égypte à l`organisation au pied levé, il avait déjà prouvé sa motivation l`an dernier en confiant ses destinées olympiques à Pim Verbeek, le technicien néerlandais qui avait emmené l`Australie à la Coupe du Monde Afrique du Sud 2010. Pour les Lionceaux, la rencontre la plus importante du week-end sera peut-être celle contre le Nigeria, l’une des nations-phares du continent africain sur la scène olympique. Surnommée la Dream Team, la sélection nigériane avait décroché l`or à Atlanta 1996 et l`argent à Pékin 2008. L`équipe qui débutera le mieux la compétition se mettra sûrement dans la bonne dynamique pour affronter l`Algérie et le Sénégal lors des deux matches suivants.
La détermination des Nigérians
Même s`il devra se passer de nombreuses stars, telles que Joel Obi, Lukman Haruna et Ahmed Musa, le sélectionneur nigérian Austin Eguavoen a su forger une mentalité de gagneurs à ses protégés. "J`accorde toute ma confiance au groupe que nous emmenons au Maroc. L`équipe est de plus en plus convaincue qu`elle peut décrocher son billet pour Londres", annonce l`ancien défenseur des Super Eagles. Au total, la sélection masculine nigériane a participé à six éditions du Tournoi de Football Olympique, tout comme le Maroc, qui pourra s`appuyer sur l`immense avantage de jouer à domicile, contrairement aux autres équipes.
Eugène Djabia
