30 novembre 2005- 30 novembre 2011. Il y a 6 ans, Hadja Nabintou Cissé, la mère du Président de la République était arrachée à l'affection des siens. A l'occasion de ce 6ème anniversaire, Touré Nabi Issouf, président de la Fondation Hadja Nabintou Cissé appelle à rendre hommage à la défunte.
Le Patriote: Six ans après la mort de Hadja Nabintou Cissé, quel message?
Touré Nabi Issouf: Six ans après, ce sont des sentiments de joie qui nous animent aujourd'hui. Parce que notre maman, Hadja Nabintou Cissé, s'est battue contre l'injustice. Elle a été marquée dans sa chair face aux différents régimes qui se sont succédé. Six ans après, son fils le Dr Alassane Ouattara est Président de la République de Côte d'Ivoire.
LP: Pour cet anniversaire, avez-vous des activités spécifiques?
TNI: Nous irons nous incliner demain (aujourd'hui) sur la tombe de notre maman. L'anniversaire, nous comptons l'organiser officiellement le 9 décembre prochain à Kong. Nous allons profiter pour prier pour tous nos martyrs. Nous allons profiter pour rendre hommage aux compagnons du Président. Il faut en toute chose, faire le bilan. En 17 ans de lutte, il y a eu des combats, des hommes de confiance, des gens qui ont encadré le Président. Nous pensons à notre maman Henriette Dagri Diabaté, à Amadou Gon Coulibaly, à Amon Tanoh. Ainsi qu'à toutes ces personnalités qui, de près ou de loin, ont apporté leur prière et leur contribution à la victoire du Président. Cette cérémonie sera placée sous le parrainage d'Ibrahim Ouattara qui sera là lui-même.
LP: On ne peut pas parler de la maman du Président sans parler de son exhumation. Six ans après, quel sentiment?
TNI: La Côte d'Ivoire était tombée bas. Ce sont des moments d'amertume, de douleur. Notre maman a vécu des difficultés de son vivant. A sa mort, les gens ont continué de l'humilier. Ce qui est déplorable. La Côte d'Ivoire doit changer. Elle doit aller vers une certaine éthique. La Côte d'Ivoire d'Alassane Ouattara, sera la Côte d'Ivoire du travail, respectueuse des valeurs. Il demeure un grand homme qui peut apporter beaucoup à la Côte d'Ivoire. La preuve, en seulement six mois d'exercice du pouvoir, nous constatons que c'est lui qu'il fallait à la Côte d'Ivoire. (…) Pour notre part, si la Fondation a connu cette longévité, c'est grâce à des personnalités que je voudrais ici remercier. Il s'agit entre autres de Konaté Mamadou, DG de la Poste de Côte d'Ivoire, Mahama Diagabaté, DG de la CECP, Sylla Sékou DG de la SIDAM qui, durant les six ans, ont apporté leur soutien à la Fondation. Je n'oublie pas tous les anonymes pour les sacrifices qu'ils ont fait pour soutenir la Fondation. Grace à leurs actions, la Fondation a vécu. C'est une joie pour nous car Hadja Nabintou Cissé n'appartenait pas seulement à la famille d'Alassane Ouattara. Elle était un patrimoine national. C'était une femme de cœur. C'était notre mère Thérésa.
YMA
Le Patriote: Six ans après la mort de Hadja Nabintou Cissé, quel message?
Touré Nabi Issouf: Six ans après, ce sont des sentiments de joie qui nous animent aujourd'hui. Parce que notre maman, Hadja Nabintou Cissé, s'est battue contre l'injustice. Elle a été marquée dans sa chair face aux différents régimes qui se sont succédé. Six ans après, son fils le Dr Alassane Ouattara est Président de la République de Côte d'Ivoire.
LP: Pour cet anniversaire, avez-vous des activités spécifiques?
TNI: Nous irons nous incliner demain (aujourd'hui) sur la tombe de notre maman. L'anniversaire, nous comptons l'organiser officiellement le 9 décembre prochain à Kong. Nous allons profiter pour prier pour tous nos martyrs. Nous allons profiter pour rendre hommage aux compagnons du Président. Il faut en toute chose, faire le bilan. En 17 ans de lutte, il y a eu des combats, des hommes de confiance, des gens qui ont encadré le Président. Nous pensons à notre maman Henriette Dagri Diabaté, à Amadou Gon Coulibaly, à Amon Tanoh. Ainsi qu'à toutes ces personnalités qui, de près ou de loin, ont apporté leur prière et leur contribution à la victoire du Président. Cette cérémonie sera placée sous le parrainage d'Ibrahim Ouattara qui sera là lui-même.
LP: On ne peut pas parler de la maman du Président sans parler de son exhumation. Six ans après, quel sentiment?
TNI: La Côte d'Ivoire était tombée bas. Ce sont des moments d'amertume, de douleur. Notre maman a vécu des difficultés de son vivant. A sa mort, les gens ont continué de l'humilier. Ce qui est déplorable. La Côte d'Ivoire doit changer. Elle doit aller vers une certaine éthique. La Côte d'Ivoire d'Alassane Ouattara, sera la Côte d'Ivoire du travail, respectueuse des valeurs. Il demeure un grand homme qui peut apporter beaucoup à la Côte d'Ivoire. La preuve, en seulement six mois d'exercice du pouvoir, nous constatons que c'est lui qu'il fallait à la Côte d'Ivoire. (…) Pour notre part, si la Fondation a connu cette longévité, c'est grâce à des personnalités que je voudrais ici remercier. Il s'agit entre autres de Konaté Mamadou, DG de la Poste de Côte d'Ivoire, Mahama Diagabaté, DG de la CECP, Sylla Sékou DG de la SIDAM qui, durant les six ans, ont apporté leur soutien à la Fondation. Je n'oublie pas tous les anonymes pour les sacrifices qu'ils ont fait pour soutenir la Fondation. Grace à leurs actions, la Fondation a vécu. C'est une joie pour nous car Hadja Nabintou Cissé n'appartenait pas seulement à la famille d'Alassane Ouattara. Elle était un patrimoine national. C'était une femme de cœur. C'était notre mère Thérésa.
YMA
