Le Centre féminin pour la démocratie et des droits humains salue le transfèrement de Laurent Gbagbo à la Cpi. Selon ces femmes, c’est un signal fort qui vient renforcer la crédibilité de la justice internationale qui se donne pour objectif de lutter contre l’impunité. Pour elles, la réconciliation passe par la justice et la vérité. Nathalie Koné, présidente de ce centre, a estimé que ce sont les femmes qui ont été les principales victimes des atrocités nées de la crise postélectorale.
Coulisses Publié le mardi 6 décembre 2011 | Nord-Sud