La Première dame de Côte d'Ivoire, Mme Dominique Ouattara, a vu ses mérites reconnus au plus haut niveau de l'état ivoirien. Mardi, à son cabinet, en présence de son époux, le Chef de l'Etat Alassane Ouattara et plusieurs membres du gouvernement, elle a reçu, des mains de la Grande Chancelière, Henriette Dagri Diabaté, les insignes de la plus haute distinction de l'Ordre national. Elle a été faite Commandeur de l'Ordre national. Une manière pour l'Etat de Côte d'Ivoire de lui rendre hommage pour s'être consacrée aux œuvres de bienfaisance, et de l'encourager, à continuer à faire le don de soi aux enfants en détresse et aux déshérités. « Femme rigoureuse, femme engagée et battante, femme d'action, femme généreux, femme de cœur... ». Le répertoire du poète Alain Taï et même de la Grande Chancelière était certainement pauvre pour traduire la grandeur de cœur » de la Première dame, Dominique Ouattara.
Rêve d’enfant…
Vision de femme
En fait, durant toute son enfance, elle a caressé un rêve : celui d'aider les autres. Et elle l'a même rappelé en rendant hommage à sa mère qui n'est plus de ce-monde : « Ma mère.... me racontait, que déjà toute petite, j'étais toujours en larmes devant la souffrance des autres ». Son engagement dans l'action humanitaire va prendre véritablement forme et consistance depuis qu'elle a mis en place en 1998, la Fondation Children of Africa, qui est aujourd'hui représentée dans 13 pays africains.
Un appel divin pour assister les pauvres
A partir de là, la machine humanitaire s'est vraiment mise en branle et de façon méthodique, et coordonnée. L'actuelle Première dame de Côte d'Ivoire a senti comme un appel divin, le besoin d'assister les enfants de la rue, les femmes en détresse, les enfants malades, les enfants à scolariser. « Il serait fastidieux d'égrener ici la liste des actes posés depuis lors par Madame Dominique Ouattara : les campagnes et les programmes de vaccination contre la poliomyélite et la fièvre typhoïde à travers la Côte d'Ivoire et l'Afrique, les lots de médicaments Attribués aux malades, les kits scolaires aux enfants, l'équipement des artisans en outils de travail... Et les ambulances, et les lits d'hospitalisations... Et les kits d'hospitalisation, et les fauteuils roulants, et les tables de consultations gynécologiques, la couffins pour les nouveautés, des médicaments de première nécessité et du matériel biomédical destinés aux centres de santé de Man, Bangolo, logoualé, Duékoué, Guiglo, Bloléquin, Toulepleu, Taï, Zagné... et d'ailleurs », a rappelé la Grande Chancelière, Henriette Diabaté. A toutes ces actions, il faut adjoindre sa dernière mission sur le terrain dans le Moyen Cavally où 10. 000 personnes ont été vaccinées contre la fièvre typhoïde, tandis que les femmes recevaient des broyeurs et de machines à coudre. « De même, elle revient de Yamoussoukro où elle a pris une part active à la Journée de la lutte contre le Sida et fait parler son cœur » a encore rappelé Mme Henriette Diabaté. Non sans égrener également les lauriers remportés par Mme Ouattara dont celui glané en 2000, au plan mondial, « le prix très envié de Leading Women Entrepreneurs of the World ». Pour la Première dame, ces actions ont été possibles grâce au soutien indéfectible de son époux, le Président Alassane Ouattara, de sa famille, de leurs enfants et de tous les donateurs ainsi qu'à ses collaborateurs, à qui elle a rendu hommage. Pour elle, cette distinction qu'elle dédie à tous les enfants d'Afrique et particulièrement ceux de la Côte d'Ivoire, vient renforcer sa conviction de continuer son engagement dans les activités humanitaires.
Un engagement continu
« Il faut continuer parce que trop d'enfants sont victimes du Sida, parce qu'un enfant non scolarisé est voué à la rue ; il faut continuer parce que chacun de nous, comme des gouttes d'eau qui, l’une après l’autre, finissent par creuser la roche la plus dure, nous pouvons ensemble faire reculer la misère des frontières de notre beau pays. Alors, je continuerai tant que les enfants auront besoin de moi ». Cette assurance et cette foi, la Première dame veut les partager avec tous les Ivoiriens. Pour donner l'occasion à plusieurs autres enfants de témoigner un jour de leur succès à l'instar du jeune Kouamé Nguessan Eric, ancien pensionnaire de la Case de la Fondation Children of Africa, qui va devenir bientôt professeur de l'enseignement technique et la formation professionnelle en menuiserie.
Rêve d’enfant…
Vision de femme
En fait, durant toute son enfance, elle a caressé un rêve : celui d'aider les autres. Et elle l'a même rappelé en rendant hommage à sa mère qui n'est plus de ce-monde : « Ma mère.... me racontait, que déjà toute petite, j'étais toujours en larmes devant la souffrance des autres ». Son engagement dans l'action humanitaire va prendre véritablement forme et consistance depuis qu'elle a mis en place en 1998, la Fondation Children of Africa, qui est aujourd'hui représentée dans 13 pays africains.
Un appel divin pour assister les pauvres
A partir de là, la machine humanitaire s'est vraiment mise en branle et de façon méthodique, et coordonnée. L'actuelle Première dame de Côte d'Ivoire a senti comme un appel divin, le besoin d'assister les enfants de la rue, les femmes en détresse, les enfants malades, les enfants à scolariser. « Il serait fastidieux d'égrener ici la liste des actes posés depuis lors par Madame Dominique Ouattara : les campagnes et les programmes de vaccination contre la poliomyélite et la fièvre typhoïde à travers la Côte d'Ivoire et l'Afrique, les lots de médicaments Attribués aux malades, les kits scolaires aux enfants, l'équipement des artisans en outils de travail... Et les ambulances, et les lits d'hospitalisations... Et les kits d'hospitalisation, et les fauteuils roulants, et les tables de consultations gynécologiques, la couffins pour les nouveautés, des médicaments de première nécessité et du matériel biomédical destinés aux centres de santé de Man, Bangolo, logoualé, Duékoué, Guiglo, Bloléquin, Toulepleu, Taï, Zagné... et d'ailleurs », a rappelé la Grande Chancelière, Henriette Diabaté. A toutes ces actions, il faut adjoindre sa dernière mission sur le terrain dans le Moyen Cavally où 10. 000 personnes ont été vaccinées contre la fièvre typhoïde, tandis que les femmes recevaient des broyeurs et de machines à coudre. « De même, elle revient de Yamoussoukro où elle a pris une part active à la Journée de la lutte contre le Sida et fait parler son cœur » a encore rappelé Mme Henriette Diabaté. Non sans égrener également les lauriers remportés par Mme Ouattara dont celui glané en 2000, au plan mondial, « le prix très envié de Leading Women Entrepreneurs of the World ». Pour la Première dame, ces actions ont été possibles grâce au soutien indéfectible de son époux, le Président Alassane Ouattara, de sa famille, de leurs enfants et de tous les donateurs ainsi qu'à ses collaborateurs, à qui elle a rendu hommage. Pour elle, cette distinction qu'elle dédie à tous les enfants d'Afrique et particulièrement ceux de la Côte d'Ivoire, vient renforcer sa conviction de continuer son engagement dans les activités humanitaires.
Un engagement continu
« Il faut continuer parce que trop d'enfants sont victimes du Sida, parce qu'un enfant non scolarisé est voué à la rue ; il faut continuer parce que chacun de nous, comme des gouttes d'eau qui, l’une après l’autre, finissent par creuser la roche la plus dure, nous pouvons ensemble faire reculer la misère des frontières de notre beau pays. Alors, je continuerai tant que les enfants auront besoin de moi ». Cette assurance et cette foi, la Première dame veut les partager avec tous les Ivoiriens. Pour donner l'occasion à plusieurs autres enfants de témoigner un jour de leur succès à l'instar du jeune Kouamé Nguessan Eric, ancien pensionnaire de la Case de la Fondation Children of Africa, qui va devenir bientôt professeur de l'enseignement technique et la formation professionnelle en menuiserie.