Les risques d’une dissémination de plantes génétiquement modifiées ne sont toujours pas clairs, estime la Commission fédérale d’éthique pour la biotechnologie dans le domaine non-humain (Cenh). Elle plaide donc pour la prudence dans l’utilisation de ces plantes. Dans deux ans, le moratoire interdisant la culture à but commercial de plantes génétiquement modifiées arrivera à échéance. S’il n’est pas prolongé, les agriculteurs suisses pourront alors cultiver de telles plantes. Dans un rapport publié lundi et présenté à Berne, la Cenh formule les critères éthiques applicables à ces disséminations.
Sciences Publié le mardi 13 décembre 2011 | Nord-Sud