En attendant la liste des joueurs retenus par François Zahoui pour la CAN 2012, les sportifs s’interrogent sur la valeur de leurs gardiens de but. En dehors de Copa Barry,compétitif, c’est le désert… Tout cela inquiète. Que vaut une sélection nationale sans bon(s) gardien (s) de but ? Rien… Cela, François Zahoui le sait. C’est pourquoi il se triture les méninges depuis quelques semaines pour attaquer la prochaine Coupe d’Afrique des nations (21 janvier-12 février 2012) en Guinée Equatoriale avec de vrais sauveurs de filets. Dans sa besace, François Zahoui a Barry Boubacar dit Copa (Lokeren), Daniel Yeboah, sans club, Gérard Gnahouan (Avranches- D5 France).
Et dans l’antichambre, Ibrahim Koné(Boulogne-sur-mer-France), Sangaré Badra Ali (Séwé) et Cissé Abdul Karim (Africa Sports) tournent comme des lions en cage. Impatients de quitter l’ombre pour la lumière. Chacun avec ses qualités et défauts attend un signe de François Zahoui.
Mais, avouons-le, le choix s’annonce cornélien. La hiérarchisation aussi. Le portier du Sporting Lokeren en Belgique, Copa Barry, semble revenu à son meilleur niveau après un long passage à vide mais pour remporter une CAN, il devra le hisser encore plus haut. Jusqu’à un passé récent, il apparaissait comme le numéro 2 derrière Daniel Yeboah. Il est redevenu le gardien des cages orange-blanc-vert depuis trois rencontres et espère le rester le plus longtemps possible. Laurent Spinosi, le coach des gardiens des Eléphants, aurait une préférence pour l’ancien gardien de Bastia et de l’Asec, Daniel Yeboah, de sources proches de la sélection.
Vrai ou faux ? Une chose est sûre, le gabarit de rugbyman de Daniel Yeboah plaide pour lui. Mais cela suffit-il ? Pas sûr. Très vulnérable sur les frappes lointaines et peu sûr dans ses prises de balles, Daniel Yeboah risque de payer cash sa mise à l’écart de l’effectif de l’Asec mimosas pour indiscipline caractérisée. Sans club depuis bientôt deux mois, sa présence en Guinée Equatoriale risque d’être difficile à justifier. Derrière Copa Barry et Daniel Yeboah, qui aura la chance de prendre le wagon pour Malabo 2012 ? Cissé Abdul Karim ? Sangaré Badra Ali ? Ibrahim Koné ? Inutile de dire qu’il y aura match. Une chose est certaine, les performances des Eléphants à la prochaine CAN dépendront de la prestation de nos gardiens.
Guy-Florentin Yaméogo
Et dans l’antichambre, Ibrahim Koné(Boulogne-sur-mer-France), Sangaré Badra Ali (Séwé) et Cissé Abdul Karim (Africa Sports) tournent comme des lions en cage. Impatients de quitter l’ombre pour la lumière. Chacun avec ses qualités et défauts attend un signe de François Zahoui.
Mais, avouons-le, le choix s’annonce cornélien. La hiérarchisation aussi. Le portier du Sporting Lokeren en Belgique, Copa Barry, semble revenu à son meilleur niveau après un long passage à vide mais pour remporter une CAN, il devra le hisser encore plus haut. Jusqu’à un passé récent, il apparaissait comme le numéro 2 derrière Daniel Yeboah. Il est redevenu le gardien des cages orange-blanc-vert depuis trois rencontres et espère le rester le plus longtemps possible. Laurent Spinosi, le coach des gardiens des Eléphants, aurait une préférence pour l’ancien gardien de Bastia et de l’Asec, Daniel Yeboah, de sources proches de la sélection.
Vrai ou faux ? Une chose est sûre, le gabarit de rugbyman de Daniel Yeboah plaide pour lui. Mais cela suffit-il ? Pas sûr. Très vulnérable sur les frappes lointaines et peu sûr dans ses prises de balles, Daniel Yeboah risque de payer cash sa mise à l’écart de l’effectif de l’Asec mimosas pour indiscipline caractérisée. Sans club depuis bientôt deux mois, sa présence en Guinée Equatoriale risque d’être difficile à justifier. Derrière Copa Barry et Daniel Yeboah, qui aura la chance de prendre le wagon pour Malabo 2012 ? Cissé Abdul Karim ? Sangaré Badra Ali ? Ibrahim Koné ? Inutile de dire qu’il y aura match. Une chose est certaine, les performances des Eléphants à la prochaine CAN dépendront de la prestation de nos gardiens.
Guy-Florentin Yaméogo