Abidjan - La commission nationale ivoirienne pour l’Unesco, célèbrant son cinquantenaire, ce jeudi, à Abidjan, au centre de recherche et d’action pour la paix(CERAP), à Cocody-Mermoz, appelle la communauté nationale à s'approprier durablement la culture de la paix et à la célébrer pleinement, l'ont prôné, à l'unisson, les différents intervenants parmi lesquels des universitaires.
présence du "Nous sommes prêts à redonner une visibilité à cette commission qui est peu connue", a déclaré le ministre ivoirien de l’Education nationale, Mme Kandia Kamissoko-Camara, présidente de cette commission, et membre exécutif de l’Unesco. Le premier responsable de l'Education en Côte d'Ivoire a réitéré son engagement à contribuer, pour sa part, à faire en sorte la Commission oeuvre dans le sens des missions qui lui sont principalement assignées.
Experts et spécialistes des questions de l'éducation et de ses segments, devront exposer autour de la thématique de la paix, durant ces deux jours de célébration du cinquantenaire de la Commission. La Côte d'Ivoire, à travers une délégation de 45 membres, conduite le ministre de l'Education nationale, a pris part, à Paris, aux assises de la 36ème session de la conférence générale, qui s'est tenue du 25 octobre au 10 novembre.
Focalisant son intervention sur la mission de promotion de la paix de la Commission, Bah Henri, professeur de philosophie à l’université de Bouaké, propose que l'action ou les initiatives s'inscrivent dans la sensibilisation des masses pour mieux édifier les vertus de la paix et la tolérance dans les consciences, en vue de la cohésion sociale.
"Il faudrait sensibiliser nos populations à la culture de la paix, établir la confiance entre les populations, et choisir de façon impartiale les acteurs pour le processus de réconciliation", préconise cet universitaire, suggérant que seules l'implication de la communauté nationale, la volonté de chacun de ses membres ainsi que de l'imagination, dans leurs initiatives ou actions, sont à même de créer l'espoir. "Pour que la paix soit effective, il faudrait de l’espoir, de la volonté et de l’imagination de la part de chacun", a-t-il assuré.
La Commission nationale ivoirienne pour l’Unesco, créée par décret N°61-102 du 12 avril 1961, est un organe gouvernemental, et il est placé sous la tutelle du ministère de l’Education nationale, en relation avec d'autres ministères techniques intervenant dans les domaines de compétence de l’Unesco. Elle assure, de ce fait, la promotion et l’exécution du mandat de l’Organisation en Côte d’Ivoire, à travers la coopération intellectuelle, le développement durable et l’action éthique.
présence du "Nous sommes prêts à redonner une visibilité à cette commission qui est peu connue", a déclaré le ministre ivoirien de l’Education nationale, Mme Kandia Kamissoko-Camara, présidente de cette commission, et membre exécutif de l’Unesco. Le premier responsable de l'Education en Côte d'Ivoire a réitéré son engagement à contribuer, pour sa part, à faire en sorte la Commission oeuvre dans le sens des missions qui lui sont principalement assignées.
Experts et spécialistes des questions de l'éducation et de ses segments, devront exposer autour de la thématique de la paix, durant ces deux jours de célébration du cinquantenaire de la Commission. La Côte d'Ivoire, à travers une délégation de 45 membres, conduite le ministre de l'Education nationale, a pris part, à Paris, aux assises de la 36ème session de la conférence générale, qui s'est tenue du 25 octobre au 10 novembre.
Focalisant son intervention sur la mission de promotion de la paix de la Commission, Bah Henri, professeur de philosophie à l’université de Bouaké, propose que l'action ou les initiatives s'inscrivent dans la sensibilisation des masses pour mieux édifier les vertus de la paix et la tolérance dans les consciences, en vue de la cohésion sociale.
"Il faudrait sensibiliser nos populations à la culture de la paix, établir la confiance entre les populations, et choisir de façon impartiale les acteurs pour le processus de réconciliation", préconise cet universitaire, suggérant que seules l'implication de la communauté nationale, la volonté de chacun de ses membres ainsi que de l'imagination, dans leurs initiatives ou actions, sont à même de créer l'espoir. "Pour que la paix soit effective, il faudrait de l’espoir, de la volonté et de l’imagination de la part de chacun", a-t-il assuré.
La Commission nationale ivoirienne pour l’Unesco, créée par décret N°61-102 du 12 avril 1961, est un organe gouvernemental, et il est placé sous la tutelle du ministère de l’Education nationale, en relation avec d'autres ministères techniques intervenant dans les domaines de compétence de l’Unesco. Elle assure, de ce fait, la promotion et l’exécution du mandat de l’Organisation en Côte d’Ivoire, à travers la coopération intellectuelle, le développement durable et l’action éthique.
