Au-delà de la simple communication (échanges téléphoniques ou par Internet), les Nouvelles technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) jouent dorénavant, un grand rôle dans la structure socio-économique de la Côte d’Ivoire. Leur apport inestimable participe à la création de richesses et au bien-être des Ivoiriens.
En Côte d’Ivoire, le secteur des Nouvelles technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) est dominé par la téléphonie (mobile et fixe). C’est l’un des secteurs qui génère plus de devises et absorbe plus de jeunes sans emplois (diplômés ou non). Au niveau du mobile, il en existe cinq (5). Il s’agit d’Orange Côte d’ Ivoire, MTN, Moov, KoZ et GreeN. Une sixième est même annoncée. Le secteur du fixe reste dominé par l’opérateur historique, Côte d’Ivoire Télécom suivi d’Arobase-Télécom. Cette dernière fait désormais partie du patrimoine de MTN, parce que rachetée par le groupe Sud-africain (MTN). Toutes ces sociétés participent à l’animation de la vie économique. En 2009, ce secteur a réalisé un chiffre d’affaires compris entre 850 et 900 milliards de FCFA. Malgré les crises, il reste l’un des secteurs performants.
Enjeu économique et social
Enjeu économique. Parce que le secteur des télécoms fait partie des secteurs d’activités dont les résultats se consolident d’année en année. Devenus indispensables, ils ont vu leurs chiffres d’affaires s’accroître au fil des années, témoignant ainsi du caractère primordial des Ntic dans les comportements et aptitudes des uns et des autres. Pour satisfaire les besoins des consommateurs, les sociétés ont dû revoir à la hausse, leurs investissements. Ainsi, sur la période 1997-2008, l’investissement a été porté à 1065 milliards de FCFA. Selon des données de l’ATCI, Côte d’Ivoire Télécom a, lui seul, investi sur les dix dernières années plus de 24 milliards de FCFA. Quant aux opérateurs du mobile, ils réalisent annuellement un investissement de près de 65 milliards de FCFA. Dans ce secteur, les investissements se sont accrus, dépassant aujourd’hui la barre de 11200 milliards de FCFA. En plus, ils contribuent à la sécurisation de la trésorerie de l’Etat, à travers le paiement de redevances à coups de milliards de FCFA. Les cinq opérateurs de téléphonie, selon des données de l’UNETEL (Union nationale des entreprises de Télécommunications) contribuent directement à la production nationale pour une valeur de 600 milliards de francs CFA, soit plus de 6% du produit intérieur brut (PIB).
En ce qui concerne le volet social, les télécoms participent à la résorption de la question de l’emploi. Aujourd’hui, ce sont près de 3000 emplois directs que génère le secteur de la téléphonie, en plus des activités connexes. Ce nombre devrait s’accroître avec l’entrée prochaine du sixième opérateur du mobile.
Les Ntic dans la santé, l’éducation, la banque…
Les NTIC ou les télécoms n’ont pas que pour seule vocation de servir de courroie de transmission de message (conversation ou échange avec des voisins). Avec les NTIC, tout est possible. Ainsi dans le secteur de la santé, l’on parle aujourd’hui de la télésanté. C’est une révolution dans le secteur. La Côte d’Ivoire est en expérimentation. Elle participe à la résorption de la problématique du déficit de spécialistes et de leur indisponibilité. Dans le secteur, de l’éducation, les Ntic sont également présentes, à travers la formation à distance. C’est encore une révolution à mettre à leur actif. En Côte d’Ivoire, des centres de formation offrent la possibilité à leurs étudiants ou à des travailleurs d’acquérir des diplômes à partir d’Internet.
Le portefeuille électronique ou virtuel
Avec les Télécoms, le monde bouge autrement : flexibilité, aisance, gain de temps… Les Ivoiriens en tirent aussi profit. Désormais, grâce aux outils des Ntic, l’on est en mesure d’accomplir des actes d’achat ou de paiement de factures. Avec l’électricité et l’eau, c’est chose possible, grâce au téléphone portable, qui sert de portefeuille virtuel. Mais les Ntic n’entendent pas s’arrêter en si bon chemin. Elles sont appelées en rescousse, dans le cadre de la bancarisation. Le technocentre du Groupe France Telecom répond à des objectifs précis : améliorer et adapter les services aux besoins de la consommation. En tant que pôle de technologies, le technocentre a pour vocation de devenir le point d’ancrage de développement de l’économie numérique. Il fait partie des moyens et mécanismes à mettre en œuvre pour développer des services à valeur ajoutée.
Kouassi Victoire Source : blogs info plus
En Côte d’Ivoire, le secteur des Nouvelles technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) est dominé par la téléphonie (mobile et fixe). C’est l’un des secteurs qui génère plus de devises et absorbe plus de jeunes sans emplois (diplômés ou non). Au niveau du mobile, il en existe cinq (5). Il s’agit d’Orange Côte d’ Ivoire, MTN, Moov, KoZ et GreeN. Une sixième est même annoncée. Le secteur du fixe reste dominé par l’opérateur historique, Côte d’Ivoire Télécom suivi d’Arobase-Télécom. Cette dernière fait désormais partie du patrimoine de MTN, parce que rachetée par le groupe Sud-africain (MTN). Toutes ces sociétés participent à l’animation de la vie économique. En 2009, ce secteur a réalisé un chiffre d’affaires compris entre 850 et 900 milliards de FCFA. Malgré les crises, il reste l’un des secteurs performants.
Enjeu économique et social
Enjeu économique. Parce que le secteur des télécoms fait partie des secteurs d’activités dont les résultats se consolident d’année en année. Devenus indispensables, ils ont vu leurs chiffres d’affaires s’accroître au fil des années, témoignant ainsi du caractère primordial des Ntic dans les comportements et aptitudes des uns et des autres. Pour satisfaire les besoins des consommateurs, les sociétés ont dû revoir à la hausse, leurs investissements. Ainsi, sur la période 1997-2008, l’investissement a été porté à 1065 milliards de FCFA. Selon des données de l’ATCI, Côte d’Ivoire Télécom a, lui seul, investi sur les dix dernières années plus de 24 milliards de FCFA. Quant aux opérateurs du mobile, ils réalisent annuellement un investissement de près de 65 milliards de FCFA. Dans ce secteur, les investissements se sont accrus, dépassant aujourd’hui la barre de 11200 milliards de FCFA. En plus, ils contribuent à la sécurisation de la trésorerie de l’Etat, à travers le paiement de redevances à coups de milliards de FCFA. Les cinq opérateurs de téléphonie, selon des données de l’UNETEL (Union nationale des entreprises de Télécommunications) contribuent directement à la production nationale pour une valeur de 600 milliards de francs CFA, soit plus de 6% du produit intérieur brut (PIB).
En ce qui concerne le volet social, les télécoms participent à la résorption de la question de l’emploi. Aujourd’hui, ce sont près de 3000 emplois directs que génère le secteur de la téléphonie, en plus des activités connexes. Ce nombre devrait s’accroître avec l’entrée prochaine du sixième opérateur du mobile.
Les Ntic dans la santé, l’éducation, la banque…
Les NTIC ou les télécoms n’ont pas que pour seule vocation de servir de courroie de transmission de message (conversation ou échange avec des voisins). Avec les NTIC, tout est possible. Ainsi dans le secteur de la santé, l’on parle aujourd’hui de la télésanté. C’est une révolution dans le secteur. La Côte d’Ivoire est en expérimentation. Elle participe à la résorption de la problématique du déficit de spécialistes et de leur indisponibilité. Dans le secteur, de l’éducation, les Ntic sont également présentes, à travers la formation à distance. C’est encore une révolution à mettre à leur actif. En Côte d’Ivoire, des centres de formation offrent la possibilité à leurs étudiants ou à des travailleurs d’acquérir des diplômes à partir d’Internet.
Le portefeuille électronique ou virtuel
Avec les Télécoms, le monde bouge autrement : flexibilité, aisance, gain de temps… Les Ivoiriens en tirent aussi profit. Désormais, grâce aux outils des Ntic, l’on est en mesure d’accomplir des actes d’achat ou de paiement de factures. Avec l’électricité et l’eau, c’est chose possible, grâce au téléphone portable, qui sert de portefeuille virtuel. Mais les Ntic n’entendent pas s’arrêter en si bon chemin. Elles sont appelées en rescousse, dans le cadre de la bancarisation. Le technocentre du Groupe France Telecom répond à des objectifs précis : améliorer et adapter les services aux besoins de la consommation. En tant que pôle de technologies, le technocentre a pour vocation de devenir le point d’ancrage de développement de l’économie numérique. Il fait partie des moyens et mécanismes à mettre en œuvre pour développer des services à valeur ajoutée.
Kouassi Victoire Source : blogs info plus