Le budget de finances 2012 est connu, depuis le 28 décembre dernier. Il est estimé à 3160 milliards FCFA. En croissance de 3,6% par rapport à 2011. La particularité de ce budget est qu’il est axé sur des actions dites prioritaires. A travers lui, le gouvernement Ouattara entend remettre la Côte d’Ivoire au travail et donner un sens de vie à chacun. Donner un sens de vie aux Ivoiriens, cela implique beaucoup de sacrifices.
Et le chef de l’Etat Alassane Ouattara en est la solution. Cette augmentation est orientée principalement vers les investissements, en vue de faire face à la reconstruction post crise et à la lutte contre la pauvreté. Ce budget sera bâti sur les ressources intérieures : 2505,8 milliards, soit 79,3% du Pib. Elles comprennent les recettes fiscales, les autres ressources intérieures et les emprunts sur le marché financier et monétaire. Ensuite, avec les ressources extérieures, 654,3 milliards FCFA, qui comprennent les échéances rééchelonnées, les annulations de dette, les appuis budgétaires et les projets et programmes.
Les dépenses sont axées sur la dette publique, 882,1 milliards FCFA, dont la dette intérieure (422 milliards FCFA) et la dette extérieure (460 milliards de FCFA) et les dépenses ordinaires: 1628 milliards CFA, comprenant les dépenses de personnel (919 milliards FCFA), les abonnements et les autres dépenses ordinaires (662 milliards FCFA). Enfin, les dépenses d’investissements, 649 milliards FCFA (dont 518 milliards sur financement intérieur). A l’analyse, en priorité, le chef de l’Etat veut restituer aux Ivoiriens ce pour lequel ils ont consenti des sacrifices énormes, à savoir le Ppte (initiative pour la réduction de la dette des pays pauvres très endettés) en mai 2012.
Autre volet important, le président de la République entend répondre aux exigences de la reconstruction du pays, qui doit nécessairement passer par la remise en état des outils de production, à travers ceux des entreprises. Au titre des investissements, la part prévue est de 518 milliards FCFA. Le président de la République entend, à travers cette enveloppe, lutter contre la pauvreté, et surtout contre le chômage.
Son souci est d’aider les entreprises du secteur privé à occuper une partie de la jeunesse, jusque-là sans emploi et qui constitue de façon permanente un danger pour la société et pour la vie de la nation. Cela prend en compte le développement rural, la construction d’infrastructures de base, l’éducation, la santé, l’accès à l’eau potable et à l’électricité.
Benjamin Soro
Et le chef de l’Etat Alassane Ouattara en est la solution. Cette augmentation est orientée principalement vers les investissements, en vue de faire face à la reconstruction post crise et à la lutte contre la pauvreté. Ce budget sera bâti sur les ressources intérieures : 2505,8 milliards, soit 79,3% du Pib. Elles comprennent les recettes fiscales, les autres ressources intérieures et les emprunts sur le marché financier et monétaire. Ensuite, avec les ressources extérieures, 654,3 milliards FCFA, qui comprennent les échéances rééchelonnées, les annulations de dette, les appuis budgétaires et les projets et programmes.
Les dépenses sont axées sur la dette publique, 882,1 milliards FCFA, dont la dette intérieure (422 milliards FCFA) et la dette extérieure (460 milliards de FCFA) et les dépenses ordinaires: 1628 milliards CFA, comprenant les dépenses de personnel (919 milliards FCFA), les abonnements et les autres dépenses ordinaires (662 milliards FCFA). Enfin, les dépenses d’investissements, 649 milliards FCFA (dont 518 milliards sur financement intérieur). A l’analyse, en priorité, le chef de l’Etat veut restituer aux Ivoiriens ce pour lequel ils ont consenti des sacrifices énormes, à savoir le Ppte (initiative pour la réduction de la dette des pays pauvres très endettés) en mai 2012.
Autre volet important, le président de la République entend répondre aux exigences de la reconstruction du pays, qui doit nécessairement passer par la remise en état des outils de production, à travers ceux des entreprises. Au titre des investissements, la part prévue est de 518 milliards FCFA. Le président de la République entend, à travers cette enveloppe, lutter contre la pauvreté, et surtout contre le chômage.
Son souci est d’aider les entreprises du secteur privé à occuper une partie de la jeunesse, jusque-là sans emploi et qui constitue de façon permanente un danger pour la société et pour la vie de la nation. Cela prend en compte le développement rural, la construction d’infrastructures de base, l’éducation, la santé, l’accès à l’eau potable et à l’électricité.
Benjamin Soro