«Promotion de la culture de la paix et de la réconciliation pour une paix durable à Bazré.» Tel a été le thème d’un atelier de réflexion initié par Mme Jacquet, sous-préfet de ladite localité en collaboration avec le contingent onusien basé à Sinfra, le week-end dernier au foyer polyvalent de Gonfla.
Cette rencontre a regroupé les chefs de villages, les responsables des associations de femmes, de jeunes, les responsables des différentes communautés, les forces républicaines et la confrérie «dozo.» Tous, se sont mis d’accord pour la recherche d’une solution durable à la promotion de la culture de la paix, de la réconciliation, après des événements post-électoraux. Administratrice avertie, Mme le sous-préfet a pris le taureau par les cornes en rassemblant autour d’une table, les autochtones, les allogènes, les allochtones avec à leur tête, le chef de tribu, Nanan Goné Kalou Bi, les associations féminines, les responsables locaux des partis politiques, les jeunes afin de réfléchir ensemble et contribuer à la consolidation de la paix entre les populations.
Pour que, dit-elle, la sous-préfecture de Bazré s’inscrive résolument dans la dynamique de la nouvelle Côte d’Ivoire qui envisage un développement prometteur autour de la politique du «vivre ensemble,» cher au président de la République. Pour le chef intérimaire du bureau onusien du secteur Ouest à Sinfra, Malick Faye, les sillons du dialogue et de la paix que trace Mme le sous-préfet ne sont pas fortuits. Car Bazré a traversé il y a quelques mois après la présidentielle du 28 novembre 2010, une fracture sociale ayant connu des morts et beaucoup de dégâts matériels.
Toute chose qui a engendré des rancœurs et des sentiments de vengeance. Avec cet atelier, il s’agit pour l’Onuci, de donner des réponses justes à «comment pardonner? Comment arriver à cohabiter à nouveau avec celui, ou celle qui m’a fait du mal » Et «comment trouver la force pour oublier?» Selon le chef de bureau par intérim du secteur Ouest de l’Onuci, «il n’y a pas de formule miracle, ni de réponse toute faite.» Avant d’ajouter que la réponse se trouve au plus profond de chacun et cette réponse est «la Côte d’Ivoire» qui unit tous, dans son présent et son futur. Répartis en trois groupes d’atelier, les participants ont trouvé que la paix est un élément qui a de tous les temps, caractérisé la Côte d’Ivoire. Pour la reconstitution du tissu social, les participants ont recommandé le dialogue, la justice, la vérité et le respect des lois et des institutions.
Mme le sous-préfet s’est réjoui de l’ouverture d’esprit des populations au dialogue, la promotion et culture de la paix et a demandé à l’Onuci de continuer de les appuyer à tout moment pour maintenir le climat d’apaisement.
Jacquelin Mintoh
Cette rencontre a regroupé les chefs de villages, les responsables des associations de femmes, de jeunes, les responsables des différentes communautés, les forces républicaines et la confrérie «dozo.» Tous, se sont mis d’accord pour la recherche d’une solution durable à la promotion de la culture de la paix, de la réconciliation, après des événements post-électoraux. Administratrice avertie, Mme le sous-préfet a pris le taureau par les cornes en rassemblant autour d’une table, les autochtones, les allogènes, les allochtones avec à leur tête, le chef de tribu, Nanan Goné Kalou Bi, les associations féminines, les responsables locaux des partis politiques, les jeunes afin de réfléchir ensemble et contribuer à la consolidation de la paix entre les populations.
Pour que, dit-elle, la sous-préfecture de Bazré s’inscrive résolument dans la dynamique de la nouvelle Côte d’Ivoire qui envisage un développement prometteur autour de la politique du «vivre ensemble,» cher au président de la République. Pour le chef intérimaire du bureau onusien du secteur Ouest à Sinfra, Malick Faye, les sillons du dialogue et de la paix que trace Mme le sous-préfet ne sont pas fortuits. Car Bazré a traversé il y a quelques mois après la présidentielle du 28 novembre 2010, une fracture sociale ayant connu des morts et beaucoup de dégâts matériels.
Toute chose qui a engendré des rancœurs et des sentiments de vengeance. Avec cet atelier, il s’agit pour l’Onuci, de donner des réponses justes à «comment pardonner? Comment arriver à cohabiter à nouveau avec celui, ou celle qui m’a fait du mal » Et «comment trouver la force pour oublier?» Selon le chef de bureau par intérim du secteur Ouest de l’Onuci, «il n’y a pas de formule miracle, ni de réponse toute faite.» Avant d’ajouter que la réponse se trouve au plus profond de chacun et cette réponse est «la Côte d’Ivoire» qui unit tous, dans son présent et son futur. Répartis en trois groupes d’atelier, les participants ont trouvé que la paix est un élément qui a de tous les temps, caractérisé la Côte d’Ivoire. Pour la reconstitution du tissu social, les participants ont recommandé le dialogue, la justice, la vérité et le respect des lois et des institutions.
Mme le sous-préfet s’est réjoui de l’ouverture d’esprit des populations au dialogue, la promotion et culture de la paix et a demandé à l’Onuci de continuer de les appuyer à tout moment pour maintenir le climat d’apaisement.
Jacquelin Mintoh