C’est un Aristide Bancé, triste, qui nous a joint au téléphone, hier, pour dénoncer la cabale qui ternit son image. Notamment au sujet de la prostituée à qui il aurait remis un million cinq cent mille, après Angola-Burkina Faso (2-1) pour de supposées folles nuits de plaisir. «Je ne sais pas d’où vient cette histoire. Ceux qui connaissent le football savent qu’on ne peut pas jouer un match et traîner à 3 heures du matin à l’hôtel. Nos dirigeants surveillent si chaque joueur est dans sa chambre (…) Je ne suis pas si inconscient. Ce sont des conneries», a-t-il craché.
Coulisses Publié le mardi 31 janvier 2012 | Nord-Sud