Konaté Mamadou doit tout à Drogba
«Je ne cesserai pas de dire merci à Drogba et à Dieu. S’il avait marqué le penalty contre la Guinée Equatoriale, en quart de finale, j’étais un homme mort, parce que les gens avaient commencé à dire que j’ai vendu le match », a-t-il confié hier à Malabo. C’est Konaté Mamadou, l’Ivoirien du Nzalang Nacional qui a bien provoqué le penalty sur Zokora Didier. Comme on le dit, Dieu ne fait rien au hasard.
Les journalistes ivoiriens rentrent par vagues
Selon les différents plans de vols, les journalistes ivoiriens ont commencé à fouler le sol ivoirien depuis le mardi 14 février. Le plus gros contingent sera à Abidjan, cet après-midi. Les vice-champions d’Afrique comme le disent leurs confrères des autres pays, rentrent au bercail déçus des Eléphants et des autorités.
La FIF et la Présidence préfèrent la RTI
Seule la télévision nationale a eu le privilège de suivre la rencontre du président de la République, Alassane Ouattara avec les joueurs, à leur QG de Libreville, après la défaite en finale. Et pourtant, la FIF conviait la presse ivoirienne à toutes les conférences de matches depuis Malabo. Mais pour les actions du PR, elle a été oubliée.
Les Ivoiriens de Libreville remontés contre Drogba
Selon de nombreux Ivoiriens, le capitaine ivoirien, Didier Drogba doit refuser de débuter les grands rendez-vous comme les finales de coupes. Ils ne comprennent pas le fait qu’il n’a pas encore tiré les enseignements de ses différents échecs. Drogba est au centre de toutes les conversations dans la capitale gabonaise.
Les rafles ont commencé à Malabo
Depuis lundi dernier, les rafles et patrouilles de police sont fréquentes à Malabo. Les sans-papiers sont déjà traqués. Les perquisitions se font dans les domiciles, nul ne peut donc échapper aux policiers dans la capitale équato-guinéenne.
Une serveuse touche 150.000FCFA
Une serveuse dans un bar ou night-club de Malabo touche entre 150 et 200.000FCFA à Malabo. Le gérant lui, se tape entre 300 et 400.000FCFA. Mais pour une futilité, vous êtes renvoyés sans préavis.
Diabaté Boubacar au service des Ivoiriens
Le président de l’Association des Ivoiriens de Malabo, Diabaté Boubacar, haut cadre à Bouygues Bâtiment, a assisté à la finale de la CAN 2012 avec une forte délégation. De retour à Malabo lundi, il vient en aide aux journalistes ivoiriens qui séjournent en Guinée Equatoriale, avant leur départ.
Une sélection d'AS, envoyé spécial
«Je ne cesserai pas de dire merci à Drogba et à Dieu. S’il avait marqué le penalty contre la Guinée Equatoriale, en quart de finale, j’étais un homme mort, parce que les gens avaient commencé à dire que j’ai vendu le match », a-t-il confié hier à Malabo. C’est Konaté Mamadou, l’Ivoirien du Nzalang Nacional qui a bien provoqué le penalty sur Zokora Didier. Comme on le dit, Dieu ne fait rien au hasard.
Les journalistes ivoiriens rentrent par vagues
Selon les différents plans de vols, les journalistes ivoiriens ont commencé à fouler le sol ivoirien depuis le mardi 14 février. Le plus gros contingent sera à Abidjan, cet après-midi. Les vice-champions d’Afrique comme le disent leurs confrères des autres pays, rentrent au bercail déçus des Eléphants et des autorités.
La FIF et la Présidence préfèrent la RTI
Seule la télévision nationale a eu le privilège de suivre la rencontre du président de la République, Alassane Ouattara avec les joueurs, à leur QG de Libreville, après la défaite en finale. Et pourtant, la FIF conviait la presse ivoirienne à toutes les conférences de matches depuis Malabo. Mais pour les actions du PR, elle a été oubliée.
Les Ivoiriens de Libreville remontés contre Drogba
Selon de nombreux Ivoiriens, le capitaine ivoirien, Didier Drogba doit refuser de débuter les grands rendez-vous comme les finales de coupes. Ils ne comprennent pas le fait qu’il n’a pas encore tiré les enseignements de ses différents échecs. Drogba est au centre de toutes les conversations dans la capitale gabonaise.
Les rafles ont commencé à Malabo
Depuis lundi dernier, les rafles et patrouilles de police sont fréquentes à Malabo. Les sans-papiers sont déjà traqués. Les perquisitions se font dans les domiciles, nul ne peut donc échapper aux policiers dans la capitale équato-guinéenne.
Une serveuse touche 150.000FCFA
Une serveuse dans un bar ou night-club de Malabo touche entre 150 et 200.000FCFA à Malabo. Le gérant lui, se tape entre 300 et 400.000FCFA. Mais pour une futilité, vous êtes renvoyés sans préavis.
Diabaté Boubacar au service des Ivoiriens
Le président de l’Association des Ivoiriens de Malabo, Diabaté Boubacar, haut cadre à Bouygues Bâtiment, a assisté à la finale de la CAN 2012 avec une forte délégation. De retour à Malabo lundi, il vient en aide aux journalistes ivoiriens qui séjournent en Guinée Equatoriale, avant leur départ.
Une sélection d'AS, envoyé spécial