- Les diplomates prennent les choses en main
Les choses s’accélèrent dans ce qu’il est convenu d’appeler l’affaire ‘’un opérateur économique chasse une famille à Marcory’’. En effet, ne voulant pas accepter ‘’cette injustice’’, la famille Boundy, concernée par la mesure de déguerpissement dont nous avons parlé dans une parution récente, a décidé de mener le combat afin de rentrer en possession de son site. C’est ainsi que, dans la journée du lundi, une délégation de cette famille accompagnée par une foule de jeunes en colère s’est rendue à l’ambassade du Liban, pays originaire du mis en cause. Ce, pour demander assistance. « Nous sommes venus prier l’ambassadeur libanais de dire à M. Aly Fawaz de nous laisser le terrain que notre père nous a légué », a souligné Miss Boundy, fille aînée de la famille. Un véritable cri du cœur qui a rencontré l’adhésion du diplomate en poste dans la capitale économique ivoirienne. Celui-ci a même promis à la famille Boundy d’analyser minutieusement le dossier, au besoin de contacter M. Fawaz pour essayer de régler ce problème sans incident. Des assurances qui ont provoqué un grand soulagement chez ces hommes et femmes qui menaçaient d’assiéger les locaux de l’ambassade. C’est donc une population riveraine acquise à la cause de la famille Boundy, arborant des tee-shirts à l’effigie de ladite famille, qui est retournée chez elle avec la ferme conviction que justice leur sera rendue. Rappelons que, depuis la menace d’expulsion, Miss Boundy et ses frères et sœurs cohabitent avec des policiers sur le site conflictuel
Les choses s’accélèrent dans ce qu’il est convenu d’appeler l’affaire ‘’un opérateur économique chasse une famille à Marcory’’. En effet, ne voulant pas accepter ‘’cette injustice’’, la famille Boundy, concernée par la mesure de déguerpissement dont nous avons parlé dans une parution récente, a décidé de mener le combat afin de rentrer en possession de son site. C’est ainsi que, dans la journée du lundi, une délégation de cette famille accompagnée par une foule de jeunes en colère s’est rendue à l’ambassade du Liban, pays originaire du mis en cause. Ce, pour demander assistance. « Nous sommes venus prier l’ambassadeur libanais de dire à M. Aly Fawaz de nous laisser le terrain que notre père nous a légué », a souligné Miss Boundy, fille aînée de la famille. Un véritable cri du cœur qui a rencontré l’adhésion du diplomate en poste dans la capitale économique ivoirienne. Celui-ci a même promis à la famille Boundy d’analyser minutieusement le dossier, au besoin de contacter M. Fawaz pour essayer de régler ce problème sans incident. Des assurances qui ont provoqué un grand soulagement chez ces hommes et femmes qui menaçaient d’assiéger les locaux de l’ambassade. C’est donc une population riveraine acquise à la cause de la famille Boundy, arborant des tee-shirts à l’effigie de ladite famille, qui est retournée chez elle avec la ferme conviction que justice leur sera rendue. Rappelons que, depuis la menace d’expulsion, Miss Boundy et ses frères et sœurs cohabitent avec des policiers sur le site conflictuel